Test Asus Vivobook S15 : les débuts décevants des PC Copilot+ avec le fameux Snapdragon X Elite

Test Asus Vivobook S15 : les débuts décevants des PC Copilot+ avec le fameux Snapdragon X Elite

Microsoft promettait une révolution avec les PC Copilot+ dotés du fameux processeur ARM Qualcomm Snapdragon X Elite. Ce nouveau Vivobook S15 Asus, l'un des premiers du genre, prouve qu'il va falloir attendre de sérieuses améliorations.

On vous en rebat les oreilles depuis des mois et il arrive enfin. Nous testons ici notre premier PC portable équipé du nouveau processeur Snapdragon X Elite de Qualcomm. Et c'est Asus avec le Vivobook S15 (S5507QA) qui se plie en premier à l'exercice en ce 18 juin, date de lancement officiel des PC Copilot+ dans le monde.

Le constructeur taïwanais n'est bien sûr pas le seul pas le seul à proposer des PC équipés de cette nouvelle plateforme pour Windows. Pas moins d'une vingtaine d'ordinateurs signés Microsoft, évidemment, Samsung, Acer, Lenovo, Dell ou encore HP participent aussi à l'aventure. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours qu'une "nouvelle" architecture débarque dans le monde des PC, tenu historiquement par les deux géants du secteur, Intel et AMD. ARM (pour Advanced RISC Machine) n'est bien sûr pas une nouvelle architecture de processeur au sens propre du terme. Elle existe depuis près de 40 ans déjà. C'est elle qui est à bord de votre smartphone, de consoles de jeu comme la Nintendo Switch mais aussi des Mac depuis 2020 avec les fameuses puces M1, M2, M3 et tout récemment la M4 introduite dans le dernier iPad Pro de la marque. Et le principal acteur à s'y intéresser n'est autre que l'américain Qualcomm à qui l'on doit les fameuses puces Snapdragon qui équipent déjà des centaines de millions de smartphones et de tablettes Android.

© CCM

Windows sur ARM : tout est prêt (ou presque)

Faire tourner Windows sur processeur ARM ne représente pas un galop d'essai pour Microsoft. L'éditeur s'y est déjà frotté par le passé avec toutefois quelques déboires retentissants (Windows RT en 2012) mais aussi plus tard avec Qualcomm. Le fondeur avait ainsi fait une première tentative pour introduire ses puces dans le monde Windows en 2018 avec les PC " Always Connected ". Fiasco une fois encore. Windows 10 on ARM n'était à l'époque pas vraiment une réussite. Recourir fortement à l'émulation pour faire tourner les appli X86 ne représentait pas la meilleure idée pour que le processeur (Snapdragon 835 à l'époque) puisse venir à bout des ralentissements. Résultat, on disposait d'un PC très mou, loin des performances attendues. Mais en 2024, les choses changent. Microsoft a travaillé ardemment à une version de Windows 11 optimisée pour les SoC ARM. Surtout, Microsoft peut se sentir moins seul. Plus d'une dizaine d'éditeurs fournissent des versions ARM de leur propres applis. Adobe avec Photoshop et Lightroom, Google Chrome, Firefox, Spotify, VLC, etc. s'alignent aux côtés des outils de Microsoft (Office, Visual Studio…). Et pour les applis qui ne sont pas encore optimisées pour ARM ? Microsoft a la solution avec Prism. Il s'agit là d'un émulateur X86, une fois de plus, mais qui serait selon la firme bien plus performant qu'auparavant. Une sorte de boîte noire comme Rosetta 2 utilisé par Apple lors du passage aux puces Apple Silicon, qui se charge de faire tourner les applis conçues pour processeur Intel ou AMD avec le plus de transparence et le moins de casse possible afin de faciliter la transition vers les nouveaux processeurs.

Quels sont les avantages de l'architecture ARM ?

Pourquoi tourner le dos à un processeur Intel ou AMD sur un PC Windows ? Un début de réponse se dessine déjà en jetant un coup d'œil sur l'effet produit chez Apple. Ses Mac ne se sont jamais aussi bien portés que depuis leur passage aux puces Apple Silicon M basées sur l'architecture ARM. La performance est au rendez-vous surclassant sur de nombreux terrains ce que proposent Intel et AMD. L'autonomie a aussi grimpé en flèche tandis que la consommation électrique est descendue à un niveau insolent. Bref, de quoi transformer un ordinateur en bête de puissance sans devoir trimballer un chargeur avec soi tout au long de la journée. Mais ce qui est mis en avant également, c'est tout le travail mené d'un côté par Qualcomm et de l'autre par Microsoft pour faire tourner facilement la star de l'année 2024 : l'intelligence artificielle. Le Snapdragon X Elite embarque un processeur neuronal (NPU) revendiquant fièrement 45 TOPS (trillons d'opérations par secondes). Le NPU est le nerf de la guerre pour mener les tâches exigées par Copilot, l'IA de Microsoft qui s'appuie sur DALL-E 3 pour le traitement de l'image et ChatGPT 4 pour les recherches textuelles. Un processeur puissant et peu énergivore semble tout indiqué pour mener en local ces opérations demandant énormément de ressources. De belles promesses sur le papier qu'il va maintenant falloir tenir.

Nous n'avons disposé que de quelques jours pour tester ce Vivobook S15 qui inaugure non seulement le processeur Snapdragon X Elite de Qualcomm mais aussi la version de Windows 11 adaptée à l'architecture ARM. Un ultra-portable de 15 pouces présenté ici dans sa version dotée de 32 Go de RAM et 1 To d'espace de stockage facturé 1500 euros. L'occasion d'en apprécier les performances mais aussi de constater comment se comportent les applications non encore réécrites pour ARM. À l'heure où nous écrivons ces lignes, les fonctions IA de Microsoft ne sont pas actives. Certaines, comme la très attendue Recall (lire notre article), devraient faire leur apparition plus tard dans l'année. Voici notre verdict.

© Asus
Asus Vivobook S15 Snadragon X Elite : l'avis de CCM
  • Châssis fin et léger
  • Très bel écran Oled
  • Connectique complète
  • Silencieux
  • Plantages et bugs d'affichage agaçants
  • Performances décevantes
  • Manque d'applis optimisées pour ARM
  • Autonomie inférieure aux promesses
  • Recharge lente
  • Prix élevé

Asus Vivobook S15 2024 : un design toujours aussi soigné

Pour ce Vivobook un peu particulier, Asus met les petits plats dans les grands. Le PC profite ici d'un châssis tout métal plutôt rassurant. Les finitions sont impeccables et l'appareil se montre plutôt fin pour son grand gabarit avec 1,47 cm d'épaisseur à l'extrémité du capot et 1,59 cm près de la charnière. Le taïwanais n'est pas ailleurs pas pingre côté connectique. La tanche gauche aligne un port HDMI 2.1 plein format, deux ports USB-C 4 (dont l'un est utilisé pour l'alimentation), un lecteur de carte microSD et une prise jack. De l'autre côté, on retrouve deux ports USB 3.2 Gen 1 type A (les fans de clés USB apprécieront). L'ensemble respire la solidité et demeure assez léger avec 1,42 kg.

Une fois ouvert le Vivobook dévoile un grand clavier doté d'un pavé numérique et un trackpad lui aussi généreux, légèrement excentré vers la gauche. Et, enfin, Asus a placé la touche de mise sous tension à l'extrémité de la première rangée. Il était temps.

Notre principal regret vient du choix de la couleur des touches, ton sur ton avec le châssis et surtout du rétro-éclairage RGB (comme sur un clavier de gaming). Il ne faudra certainement pas le laisser allumé en journée sous peine de ne plus distinguer la sérigraphie.

L'écran est de son côté surmonté d'une webcam certifiée Windows Hello pour déverrouiller Windows avec le reconnaissance faciale. Il n'y a pas de lecteur d'empreinte sur le clavier. Ce Vivobook adopte un design plutôt classique et sobre mais réussi.

Asus Vivobook S15 2024 : un écran Oled qui en jette

L'ensemble des PC Asus se dotent à présent d'un écran Oled. Ce Vivobook ne fait donc pas exception à la règle. Asus a ici opté pour une dalle de 15 pouces 3k (2880 x 1620 pixels) offrant un taux de rafraîchissement jusqu'à 120 Hz. Il ne s'agit pas d'une dalle tactile ce qui ne l'empêche pas de se montrer particulièrement brillante et sensible aux reflets, même en intérieur. Passé ce désagrément, on apprécie la bonne luminosité capable de proposer un pic à 600 nits. Largement suffisant pour travailler dans de bonnes conditions quelle que soit l'ambiance lumineuse. Mais gare aux reflets une fois encore.

Asus Vivobook S15 2024 : un processeur Snapdragon au top, vraiment ?

Fiche Technique

Taille écran 15,6 pouces
Technologie écran Oled
Définition écran 2880 x 1620 pixels
Processeur Qualcomm Snapdragon X Elite
Processeur graphique Qualcomm Adreno 741
Mémoire vive 32 Go (soudée)
Stockage SSD 1 To
Connectique 2x USB 4 (USB-C) 2x USB-A 3.2 (USB-A) 1x HDMI 2.1, 1x Jack 3,5 mm, 1 MicroSD
Wifi / Bluetooth 7 / 5.4
Batterie 70 Wh
Système Windows 11 Home
Accessoires fournis Chargeur 90 W
Dimensions 352,6 x 226,9 x 14,7 - 15,9 mm
Poids 1,42 kg

Passons à la question cruciale qui suscite le plus notre curiosité : que vaut le Snapdragon X Elite au cœur de ce PC ? Pour commencer, nous n'avons pratiquement pas rencontré de difficultés dans le maniement de Windows. Les fenêtres de l'Explorateur de fichiers s'ouvrent sans temps de latence, l'interface est fluide, les réglages et autres utilitaires intégrés dans le système s'exécutent correctement et sans ralentissement. Ouf, on respire. Néanmoins, on se bat régulièrement avec quelques bugs d'affichage : la page d'ouverture de session de Windows se voit coupée en deux avec une grande bande noire au bas de l'écran, le tiroir des raccourcis (à gauche de l'horloge) demeure parfois vierge et impossible à fermer ou encore le champ de recherche de la barre des tâches devient insensible au moindre clic. Des petits pépins que les habitués de Windows peuvent rencontrer mais pas aussi fréquemment. Le ressenti général demeure toutefois assez identique à celui d'un PC animé par un processeur Intel ou AMD.

En revanche, force est de constater que Prism, qui permet normalement de faire tourner les applis X86 non prévues pour l'architecture ARM, n'est une fois de plus, pas tout à fait au point. Si certains logiciels tournent convenablement (Acrobat Reader, WhatsApp, OpenOffice, Glary Utilities, etc.), d'autres éprouvent plus de peine. C'est le cas par exemple du vénérable CCleaner mais aussi et surtout des jeux. Fortnite n'est tout simplement pas compatible comme nous l'indique une boîte de dialogue ; les Sims 4 se lance puis plante tout comme Level Zero, un jeu issu de Steam, qui de son côté fait lourdement planter le PC avec écran noir et ventilateurs bloqués à une cadence infernale. Il n'y a d'autre choix que d'éteindre l'ordinateur de force. Quant à notre titre de référence Genshin Impact, il n'a tout d'abord pas voulu se lancer. Puis après une mise à jour du firmware proposée par Qualcomm, le jeu a enfin démarré. Nous avons ainsi pu jouer avec un niveau de détails élevé à 60 images par seconde. Pas mal. Les jeux de type occasionnels comme Candy Crush se lancent sinon sans problème de la même façon que les applis écrites pour ARM comme VLC, Edge, Chrome ou Microsoft 365, évidemment. Tout n'est donc pas visiblement au point dans Windows sur ARM. Par ailleurs, Et mieux vaudra surveiller la mise à disposition de versions spécialement conçues pour ARM de vos applis favorites (si son éditeur veut bien s'y atteler) pour éviter toute déconvenue.

Côté benchmarks, les résultats ne sont pas non plus à la hauteur des promesses faites par Qualcomm. Le Snapdragon X Elite (modèle X1E78-100 dans ce Vivobook S15) repose sur l'architecture Oryon et est gravé en 4 nanomètres. Il embarque douze cœurs répartis en deux unités (8 cœurs performance, 4 cœurs efficience) et capables de grimper à 3,4 GHz. Côté GPU, c'est une puce maison Adreno compatible DirectX 12 qui est à la manœuvre. Avec Cinebench les résultats obtenus en multicœurs dépassent ceux des Macbook Air M2 et M3. Mais en monocœur, ils sont bien inférieurs. Notez au passage que nous n'avons pas pu évaluer les performances GPU avec Cinebench, le processeur Adreno installé sur le SoC de Qualcomm n'étant pas pris en charge par le logiciel.

Avec 3DMark, les résultats ne sont guère plus engageants. Nous n'avons pas pu effectuer tous les tests habituels (en raison une fois de plus de problèmes de compatibilité). Avec le test Steel Nomad, le GPU Adreno du Vivobook atteint un score inférieur à celui du Intel Arc associé au Core Ultra 7. Idem avec le bench Time Spy.

Gfx Bench présente de son côté des résultats plus encourageants mais là encore le PC se laisse distancer par les Macbook Air M2 et M3.

Reste Geekbench, test avec lequel Qualcomm s'était empressé de vanter les mérites de son processeur. Douche froide encore un fois. Si en multicœur le PC se montre effectivement plus efficace qu'un Intel Core Ultra 7 155H, un AMD Ryzen 7 et même les Apple Silicon M2 ou M3, en monocœur, il se fait largement distancer. Le constat est sans appel avec le test GPU OpenCL où ce Vivobook obtient 20395 points contre 31449 points pour le Ryzen 7, 32084 points pour l'Intel Colre Ultra 7 155H et 30514 pour l'Apple M3. Une belle gifle pour Qualcomm.

  Geebench 6.3 Mono Geekbench 6.3 Multi Geekbench 6.3 GPU
Asus Vivobook S15 Oled
Qualcomm Snadragon X Elite X1E78-100
2421 14355 20395
Asus Zenbook 14 Oled
Intel Core Ultra 7 155H
2342 12473 32084
Asus Zenbook 14 Oled
AMD Ryzen 7 8840HS
2407 11522 31449
Apple Macbook Air 13 (2021)
Apple Silicon M1
2374 8627 18906
Apple Macbook Air 15 (2023)
Apple Silicon M2
2657 10112 28668
Apple Macbook Air 13 (2024)
Apple Silicon M3
3115 12121 30514
Apple iPad Pro 11 (2024)
Apple Silicon M4
3675 14689 53431

Enfin, nous n'avons pas pu faire tourner le test multi-usage de PCMark qui a planté systématiquement lors de nos essais.

En résumé, l'expérience proposée par ce Snapdragon X Elite qui anime ce Vivobook S15 nous laisse un peu sur notre faim. Si le PC peut faire ronronner les applis courantes pour les travaux bureautiques, la navigation sur le Web et les réseaux sociaux, il en va autrement lorsqu'on lui demande des tâches plus lourdes malgré une configuration solide armée de 32 Go de RAM pour épauler le Snapdragon X Elite. Il apparaît évident également que les applis non optimisées pour l'architecture ARM de sont pas non plus prises en charge de manière à fonctionner en toute transparence. Au vu de ces résultats et de nos déconvenues, il apparaît urgent d'attendre pour ceux qui cherchent un regain de vitalité avec un PC Windows.

Asus Vivobook S15 2024 : une autonomie décevante

C'est l'autre point sur lequel on attendait le Snapdragon X Elite de Qualcomm. Et là aussi, c'est une déception. Ce SoC devait se montrer particulièrement économe et pourtant, ce Vivobook S15 équipé d'une batterie de 70 Wh qui promet une autonomie de 18h selon Asus parvient péniblement à tenir une quinzaine d'heure en streaming vidéo HD. Malgré trois tentatives, nous ne sommes pas parvenus à obtenir plus. Ce n'est guère plus satisfaisant que les PC équipés de Core Ultra 7 ou AMD Ryzen 7.

Côté recharge, ce n'est pas la panacée non plus. Si au bout de 30 minutes de charge avec le chargeur 90 W fourni nous avons récupéré 50 % de batterie, il nous aura finalement dû patienter 1h35 pour retrouver une batterie chargée à 100 %. C'est un peu lent.

Asus Vivobook S15 2024 : faut-il craquer pour ce premier PC Asus sous Snapdragon ?

Beaucoup de bruit pour rien. C'est ainsi que l'on pourrait résumer — pour le moment — le ressenti face à ce PC. La faute n'en incombe pas à Asus. Ce Vivobook S15 s'inscrit dans la lignée des PC de la marque avec des finitions soignées, un bel écran Oled (quoi qu'un peu trop brillant), un clavier confortable malgré un rétroéclairage RGB discutable et un large trackpad. On apprécie également la connectique très complète qui prépare ce PC à toutes les situations. Sur ce plan, c'est un sans-faute. Ce qui cloche, c'est ce qui se cache sous le capot. Le Snapdragon X Elite de Qualcomm qui devait, peut-être pas révolutionner le monde de la micro mais, à tout le moins, lui donner un bon coup de frais, déçoit. Quatre ans après l'arrivée des processeurs à architecture ARM chez Apple et l'indiscutable succès de la firme à la maîtriser pour en tirer le meilleur, on regrette beaucoup que le fondeur ne soit pas parvenu, avec tout son savoir-faire, à proposer une solution meilleure que celles des indéboulonnables Intel et AMD. Ce Snapdragon fait mieux dans certains cas mais la plupart du temps se contente de proposer des résultats équivalents voire inférieurs à ses concurrents. Côté jeux, le fondeur promet des mises à jour mensuelles pour le GPU Adreno et annonce aussi l'arrivée d'un Adreno Control Panel, un outil de gestion du GPU tel que le propose NVidia pour ses puces graphiques. Mais à l'heure actuelle, il n'est pas encore disponible.

L'autonomie n'est pas non plus transcendante. Ce Vivobook S15 parvient tout juste à se hisser au niveau des PC plus traditionnels animés par Intel ou AMD. Microsoft a, sans aucun doute, une grande part de responsabilité dans ce non-événement. Windows ne semble pas encore assez bien optimisé pour véritablement tirer profit de l'architecture ARM. En témoignent les nombreux plantages et autres problèmes d'affichage que nous avons rencontrés durant notre test. Certes, ce PC est conçu pour délivrer tout son potentiel avec l'IA de Microsoft, Copilot. Mais il n'en reste pas moins un PC avant tout. En attendant de voir ce dont est vraiment capable Copilot, qui sera mis en place dès aujourd'hui sur les PC compatibles, nous ne pouvons pas recommander ce Vivobook S15. Il existe une foule d'autres PC, chez Asus comme chez la concurrence d'ailleurs, eux aussi dotés de la fameuse touche Copilot sur leur clavier, capables de faire tourner cette fameuse IA sans toutes les mésaventures que rencontre Windows avec l'architecture ARM et surtout pour moins cher. Nul doute que Qualcomm va procéder à quelques mises à jour de firmware de son SoC pour le rendre plus performant. Mais il apparaît aujourd'hui prudent de se montrer patient au risque d'être fortement déçu.

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