Probleme reseau

Fermé
si hadj mohand - 22 avril 2004 à 16:19
 massinissa - 3 juil. 2008 à 23:04
bonjour!je voudrais savoir la relation entre la persoinne et le poste de travail.
merci!

8 réponses

Hubert KONKOBO
23 avril 2004 à 10:43
j'ai un portable sur lequel etait installer un win 98 SE que j'ai mis à jour avec un win 2000 PRO et depuis je ne parviens pas à avoir des pilotes appropriés pour ma carte reseau et mon modem
(3COM 3CN3AC *556 LAN/MODEM)
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jacquesmeyer
13 juin 2005 à 12:45
bonjour,
j'ai le m^me problème que vous, après avoir réinstaller w xp, je n'ai plus le driver de la carte reseau !
comment avez vous fait ?
merci
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65mateo Messages postés 32 Date d'inscription jeudi 31 mars 2005 Statut Membre Dernière intervention 13 mars 2011 4
13 juin 2005 à 12:54
je ne sai pa tro mai avez vouz essayer de les telecharger sur internet
o pire tenter ca et regarder si ca marche
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j'aimerai bien mais je ne trouve pas le driver de la carte : 3 com
3cn3ac !!!!!!!
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BigSeb Messages postés 614 Date d'inscription vendredi 16 avril 2004 Statut Contributeur Dernière intervention 22 juillet 2005 12
22 avril 2004 à 16:31
Il est ou la ton probleme reseau???

-°-_-°-_-°-_-°-_-°-_-°-
On the road again !!!!!!!
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Normal que ca marche pas, le windows 2000 Pro est un windows NT, il faut que tu cherche le pilotes pour windows 2000 ou windows XP et que tu les réinstalles. Pk tu as installé un win2000 pro, en as tu veaiment l'utilité?
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si hadj mohand
12 déc. 2007 à 23:01
GUERRE D’ALGERIE
1954-1962


« Amirouche, les fils de fellaghas et les chasseurs alpins»
Iferhounéne 1959


Témoignage historique
Par
Abdenour Si Hadj Mohand



Je me souviens très bien de ce jour, vers les années 1960.Alors que nous étions campés tous ensemble ,mes frères et mes cousins , au champ dit tamazirt – sur le versant sud du village Iferhounene – à 150 mètres seulement face au camp du même nom. Nous étions en train de garder l’unique chèvre qui restait de notre bétail, de notre fortune laissée par nos parents happés par le colonisation, lorsqu’une compagnie complète composée de soldats français d’origine européenne et de quelques harkis notoirement connus passait juste devant nous, en colonne par un, en direction de leur bivouac. Le hasard n’a pas pu éviter l’événement sempiternel de se produire à ce moment précis, cette chamaille qui mettait souvent aux prises, de façon presque cyclique telle un syndrome pathologique, mon cousin Hafid 10 ans à peine et, son frère mouloud 8 ans. – la bataille faisait déjà rage entre les deux frères ennemis quand les premiers soldats venaient de franchir l’endroit où nous étions surpris par cette file indienne de roumis égrenée de harkis. Mouloud, mon cousin l’intrépide , le nerveux aux réactions épidermiques, a la mémoire prodigieuse-il avait tout de même et surtout une facilité déconcertante à retenir les noms des personnages célèbres ou de ceux de larrons que des événements ont rendus tels,à des occasions exceptionnelles - C’est ainsi qu’il pouvait retenir dans sa petite mémoire d’enfant indigène non seulement tous les noms des harkis de la région mais aussi et particulièrement des hauts gradés du FLN et de l’armée française de l’époque - nous étions déjà en 1960-et notre enfant terrible n’avait que 8 ans- soit deux ans de moins que moi-même. Des noms comme celui De Gaulle, de Lacoste, ou encore Eisenhower (américain) n’avaient aucun secret pour lui. Messali Hadj, Abane Ramdane ou autre, non seulement il les connaissait très bien mais il pouvait leur adjoindre les caractères saillants de leur personnalité, de leur physionomie. Ainsi De Gaulle pour lui, était très long et avait un nez qui était hors du commun. Il disait souvent pour ironiser à quelqu’un qui le contrariait qu’il avait le nez De Gaulle. Ou bien encore les yeux de tel autre personnage .Mais celui–ci dont il finit par adopter définitivement le nom pour en faire une idole, au point de ne jurer que par sa tête était le redoutable Amirouche connu sous le surnom de Lion du DJURDJURA- pour lui les héros ne meurent jamais, quelque soit la puissance de leurs ennemis. Cet enfant intrépide, qui ne se souciait de rien n’a pas raté l’occasion inespérée, à ce moment précis, à l’endroit même où la compagnie venait de passer devant nous à quelques mètres seulement, pour se mettre à gueuler en vidant sa colère incontenable sur son frère qui le taquinait, en ces termes, à très haute voix et de façon très distinctive : « je jure sur la tête de Amirouche que je vais te tuer, oh Hafid de m… ! Je vais d’écrabouiller ton portait de Mohand ath M., harki ! Va tu n’es pas mon frère, tu es plutôt le frère à Ouali Ath O. ! » Cette avalanche de mots débitée sans interruption à voix porteuse n’a pas manqué d’attirer le regard de tous les soldats qui étaient à proximité du lieu où se déroulait la bagarre entre les deux ennemis et non moins frères de père et de mère. A cet instant précis- et comme à la parade, telle des joueurs de baby foot guidés par le même mouvement, tous les regards se tournèrent brusquement vers l’endroit d’où fusait ce terrible nom de Amirouche, d’une voix aigue et vibrante en même temps. Une sorte de réflexe conditionné avait saisi subitement la file de soldats qui s'était retournée comme s’ils s’apprêtaient à découvrir soudain ce redoutable guerrier en face d’eux , surgir de derrière un arbre , ou à travers un mur de ces mechtas alignées face au camp. J’avais deviné que tous les soldats F.S.E et F.S.N.A, tous grades confondus ou simples hommes de troupe connaissaient parfaitement le terrifiant nom de Amirouche. Enfant indigène de surcroît inculte que j’étais à cet âge car, privé de tout, j’avis vite compris l’ampleur du combat que livrait ce redoutable guerrier à une puissance pourtant surarmée. J’ai surtout compris que la suprématie, dans un conflit armée, ne résidait pas seulement dans la puissance de feu mais qu’aussi dépendait de l’audace et de l’intelligence des chefs militaires. En un mot de la stratégie dans la manière de livrer bataille à son ennemi. C’est cela la guérilla. L’onde de choc qui s’était répandue au sein de cette compagnie était telle que, nous, enfants insouciants étions d’un coup, saisis de perplexité - une atmosphère de méfiance, inexplicable, contagieuse s’était soudainement répandue autour de nous suivie d’un silence effrayant tant du coté de tous ces éléments de l’armée d’occupation que du coté de ces enfants indigènes que nous étions- tous âgés entre 7 et 10 ans.
Nous avions tous compris à ce moment soldats français et enfants de fellaghas que nous étions, qu’un monde séparait nos deux races, nos deux cultures, et surtout nos deux philosophies, nos deux religions. Ils sont les envahisseurs, nous sommes les autochtones, les propriétaires des lieux. Ils sont là pour nous asservir, nous exploiter, nous voler, nous martyriser. La terreur du colonel, était le remède au système inique, violent, criminel, qui s’installait progressivement dans notre pays. 4 ans déjà que le camp d’iferhounene a été installé chez nous, la situation allait pour nous de mal en pis :
Frères et pères tués, oncles emprisonnés, biens saccagés, il ne subsistait pour nous que les chamailles de frères et sœurs livrés à eux –mêmes et sans ce précieux intermédiaire conciliateur, nos pères. Il ne restait pour nous que la guerre, sans autre issue que la mort .Mon père avant de mourir nous a légué cette phrase lapidaire : « maintenant que Amirouche est mort, qu’il ne subsiste aucun d’entre nous ! Mourrons tous, car c’est l’unique alternative qui nous est laissée. Le colonialisme vit au détriment du colonisé. Il l’avilisse, il le martyrise, il l’appauvrit en un mot le détruit progressivement »
Nous, enfants indigènes et aussi enfants de fellagas, nous étions prédestinés à une autre vie.pas celle de pacifiés, assimilés aux européens. Nous sommes mis dans un état de rébellion pathologique par les conditions de dénuement total qui nous sont imposées par l’envahisseur.
L’école française que nous avions commencé à fréquenter n’a fait que réveiller en nous les braises d’un feu mal éteint : la haine de celui qui nous a privé de tout : d’abord de l’affection de nos pères, ensuite des moyens de survie. Nos biens ont été lapidés et nos maisons confisqués.
La puissance coloniale, aura réussi, de reproduire en nous, enfants innocents, ce que, eux, appellent par confusion délibérée, préméditée, des futurs terroristes que par conséquent il faudra, tôt ou tard penser à éliminer. Des Rebelles à vouer à la corvée de bois.
La corvée de bois ! Quelle subtilité barbare ! comment , l’esprit d’enfants d’indigènes insouciants peut il admettre , que l’on puisse montrer sa force , sa puissance devant un homme sans arme, et pardessus tout faire croire à l’humanité toute entière , à l’histoire de l’homme , que le condamné, victime d’une exécution préméditée , sans aucun jugement , qu’il a tenté de fuir. Pis encore, l’infortuné est tué avec cet espoir d’être libéré pour retourner à ces enfants chéris qui l’attendent pour continuer à vivre
Comment des dirigeants d’une puissance militaire, d’une nation qui a vu naître et grandir les droits de l’homme, puissent-ils admettre que de tels crimes aient lieu sous leur commandement ? Peut être avaient ils été les commanditaires ? Quelle grandeur pourrait on reconnaître à ces stratèges politiques et militaires qui ont été formés dans les écoles de Victor Hugo, Ronsard, Montaigne, Voltaire et Pascal ? Mon Dieu, quelle sauvagerie est cette culture occidentale ?!

Et ces soldats français, dont la plupart avaient moins de 30 ans, peut être à peine 20 ans malgré proches de nous, en tant qu’êtres humains pensants, n’avaient ils pas d’autres alternatives que celle de nous réduire à néant. Ils étaient en fait conditionnés pour cette mission. Il ne faut pas leur en vouloir, car moi même j’ai été jeune, et de surcroît orphelin et fils de fellagha, je ne suis pas un saint, et pourtant je me souviens que mon seul péché était de dévaliser l’école primaire de ces plus jolis livres pour en arracher les images. Rien que cela. Je n’ai pas tué et préfère pour cela mourir que de mettre fin à la vie d’un être humain. Ces jeunes français appelés, sont pour la plupart comme moi, j’en suis sur. Pour preuve de soldats dont je n’ai retenu que le prénom ont pris notre partie. GUY, Marcel, Robert, Madame Boucher, femme d’un non moins lieutenant de SAS, étaient des soldats français FSE .Ils nous ont protégés et protégé nos mères et nos sœurs. Cette compassion des appelés français, enseignants, m’a évité de faire la confusion plutard entre les crimes, les nazis et les soldats français et réussit à faire la part des choses.

De ce coté là, paradoxalement, tout en tant un musulman entier, j’appliques le commandement qui est pourtant adressé aux chrétiens : tu ne tueras point !
Ces soldats FSE prendront assurément conscience de leur erreur plutard….quand le moment de la remise en cause inéluctable viendra. L’heure de vérité sonnera pour eux quand ils seront proches du tombeau. et feront leurs adieux aux vivants ici bas.
Mais que dire alors des harkis qui ont choisi , volontairement , ou sans se rendre compte de se positionner contre leur propre peuple , leurs propres frères, pour défendre une cause perdue d’avance, une cause injuste , des intérêts d’une nation en proie aux difficultés socio économiques. Et même les citoyens français engagés, temporairement, n’arrivaient pas a justifier vis a vis de leur conscience leur engagement, leur prise de position en faveur de l’Algérie Française. Ils étaient et continueraient à mourir pour certain pour des idéaux, des enjeux qui ne les touchaient ni de loin ni de près. Ils servaient un système qui perpétuait la domination et la servitude des hommes favorisés et bien servis par le système non moins exploiteur, non moins injuste et non moins ingrat déjà à l’égard de ses propres membres qui s’efforcent en vain de croire malgré eux , en l’honneur de la France dans cette affaire d’extermination d’ autres hommes, d’asservissement d’autres femmes et d’ enfants d’un pays soumis par la force et la tyrannie, le leur qui , leur a volé leur jeunesse , pour un résultat inutile., pis !déshonorant.

Pour ces français, harkis ou fellaghas, ce sont les mêmes doigts d’une seule main qu’il faut à défaut d’exploiter, éliminer.

Le colonialisme porte en lui les germes de sa propre négation, Amirouche était devenu un Dieu dans l’esprit de ces enfants indigènes, orphelins, ou privés de l’affection de leurs pères croupissant dans les geôles depuis déjà plusieurs années. Ils seront les futurs fellaghas, si la guerre venait à perdurer.
Le cas de 7 enfants alignés là devant cette puissante compagnie de chasseurs alpins, avec à leur tête un lieutenant foudre de guerre, livrés à eux-mêmes, se chamaillant pour briser la domination de leurs aînés, sous l’œil indifférent de ces chefs de guerre, roumis, mais ébranlés par cette culture terroriste qui classe l’enfant indigène kabyle déjà dans sa destinée de future fellagha, l’opposant du coup à celui des harkis. C’est cela ce que la propagande coloniale appelle l’opposition, ou le conflit fratricide.
Les noms de harkis tels que DOUMRA, OUALI ATH O…, MOHAND T., MOHAMED ATH M.. étaient déjà entrés dans la langage populaire, mais comme surnom chargé de tout leur poids péjoratif et il n’était pas surprenant de vous entendre, en ces temps de guerre, surnommé par des noms authentiques mais usés comme simple sobriquet.
Amirouche, même mort, par contre comme disait CONROUX continuait de faire peur. C’est le symbole de la justice forte, efficace opposée à la force tyrannique du colonisateur.
Amirouche, mort ou vivant a réalisé son objectif, celui de faire prendre conscience à son peuple que le mythe de la supériorité de l’envahisseur, désormais n’existe plus, que l’ennemi colonisateur n’est plus assuré des sa victoire dans son dessein diabolique d’instauration, contre la nature des choses, d’une Algérie française au risque d’aboutir à une « France nord africaine » ou des FSNA revendiquent une origine qui n’en est pas une, à tout égard. Je m’immisce dans des affaires françaises, car l’histoire m’y oblige.
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sihadj.abdenour
22 déc. 2007 à 21:29
France-Algerie : Des effets négatifs
du colonialisme français

par abdenour si hadj Mohand


Loin de moi toute intention de vouloir développer une polémique , que l’on serait tenté de penser à la lecture de ces lignes , en particulier , en ces moments de fortes interactions économiques, politiques et culturels induites par la mondialisation,Mais si mes propos peuvent en effet par hasard constituer une réplique ou un soutien implicite à quelque titre que ce soit , à des courants qui naissent ça et la ou des positions conjoncturelles d’institutions étatiques quand cela ne risque pas d’être interprété comme une attaque contre le silence , pourtant coupable devant l’histoire, sur ce drame vécu des peuples algériens et français dans cette longue et pénible colonisation de nos ex-députés , ce silence mortel inexplicable sur ces milliers de cimetières alimentés par la machine à semer la mort de ce colonialisme vile d’un siècle et 32 ans , et sur l’initiative malheureuse de la présente assemblée nationale de ce colonialisme et non moins fille héritière de la mère des droits universels de l’homme déjà en 1789 est tout simplement à regretter pour ne pas dire à blâmer si tant est que une organisation représentative peut être jugée , condamnée.

En effet , notre assemblée nationale inexpérimentée n’a pas eu suffisamment d’informations sur l’histoire de notre pays en particulier sur ce qui s’est passé durant le dernier siècle,pour défendre , seulement contre l’oubli, de nos générations futures , cette misère , la torture , la mort , la rénégation de nos ainés- pendant que , de surcroit , comme pour amplifier le mal de l’autre coté de la méditerranée l’on s’évertue à trouver des effets civilisateurs , salvateurs , lénifiants , bienfaisants à ce système violent , inique et génocidaire sans l’ombre d’un epsilon de doute.

Ces conséquences, tout le monde s’accorde à les reconnaître tant en métropole qu’en pays colonisés, toutes couches sociales et toutes philosophies et religions confondues sont désormais identifiées , inventoriées et étalées au grand jour :

1. coté algérien : 1500 000 martyrs et plus de 4 millions d'orphelins
Passons sur ces morts car ils ne souffrent plus malgré que beaucoup d’entre eux sont morts sous la torture ou brûles vifs avec des bidons de napalm ou jetés vivants d’un hélicoptère quand ce n’est pas simplement assassinés cyniquement dont ces soldats et gradés fse ou fsna ont cru pendant toute leur période aux bons et loyaux services envers la France, leur patrie, être un haut fait de guerre. tuer un homme non armé et de surcroît en le laissant croire qu’il est enfin libre et qu’il peut rejoindre ses enfants et son épouse terrorisés ; que le cauchemar est terminé , et trouver le mot pour le qualifier « la corvée de bois » pour lequel j’implore dieu tout puissant de le punir sans aucune clémence ni miséricorde- au risque de blasphémer , que cette sentence , j’ajouterai soit équitable que l’auteur soit musulman , chrétien , bouddhiste , juif ou communiste

Dieu ,entendez ma prière que ceux qui se sont comporté comme des dieux sur terre injustement soient à jamais livrés aux flammes et au froid de l’enfer et de la gehemme ; car cette pratique ne peut apporter à l’humanité que la haine , la mort, et la souffrance

2. cote français :

30 à 40 000 morts pour une cause perdue ou pas de cause du tout
A cela faudrait il ajouter des milliers d’estropies , d’handicapés physiques et mentaux , des orphelins et des épouses veuves que rien ne peut réconforter dans cette métropole retrouvée avec ses classes sociales , ses difficultés matérielles , ses nouvelles visions politiques qui vous laissent ruminer vos pensées sombres de tortionnaires , de paras ou de légionnaires dont seule la mission de votre vie définitivement , est terminée avec la fin de la guerre.
Pour beaucoup de survivants il reste le courage d’écrire malgré qu’ils voient s’estomper avec l’age la force et la mémoire.
Pour certains, moins coriaces des êtres humains sensibles ils n’ont plus le courage de revivre leur vingt ans happés par la folie meurtrière des stratèges convaincus de ce qu’ils appellent la mission civilisatrice mais qu’ils n’ignorent, au fonds d’eux mêmes qu’il s »agit d’une invasion d’un territoire étranger, une spoliation une destruction systématique de ce qu’ils appellent l’ennemi pour les besoins de la cause, une extermination un génocide, Pour s’offrir terres ; air, mer, montagnes, mais aussi des bras pour des travaux pénibles de l’expansionnisme et d’ esclavagisme

3. les harkis :

Le colonialisme exploite jusque à la détresse des peuples et des individus
C’est la faim, la torture, et la peur de la mort qui ont engendré ce phénomène mais plus criminel des castes , ce colonialisme, le crime contre l’humanité et cette attitude d’ingratitude envers ceux qui ont aidé la France coloniale non seulement à se libérer du joug nazi, mais surtout à l’assister dans sa sale besogne d’asservissement d’autres peuples. Et sans vouloir défendre les harkis qui pour moi ont bel et bien défailli envers leurs frères fellaghas,ils ont épargné à ce conquerrant des pertes énormes- ils ont servi la France sans aucune dignité , ils ont torturé et violé , tout cela certainement pour la France ou à cause de la France .je dois dire , car la répression coloniale , le système colonial , violent , criminel ; génocidaire n’a laissé aucune alternative aux colonisés- c’est à cause de la France coloniale et non pour la France coloniale que sont morts des milliers d’algériens et de français. C’est à cause de la France coloniale que sont violées des algériennes et des françaises et non pour la France. C’est aussi à cause de la France coloniale que sont torturés , exécutés de part et d’autre des êtres humains innocents. c’est également à cause de la France coloniale que des êtres humains ont perdu la raison. c’est enfin à cause de la France coloniale que des français ont pris le maquis au cote des algériens que l’on nomme fellaghas et des algériens ont fui la mort dans l’âme , affamés, pour se jeter dans les bras d’une France impérialiste , machiavélique , ingrate. , croyant en la clémence de la mort pour chercher refuge dans cette France qui n’est nullement leur patrie et qui n’en sera jamais, n’en déplaise aux gouvernants et harkis, ne sont jamais français et ne le seront jamais. Ceci étant, par contre ce qui est sur est qu’ils sont abandonnés à mi chemin voila les effets bénéfiques du colonialisme.

4.Economie :

la France coloniale a construit la colonie, développé son économique alors qu’elle n’existait pas
Oui ! En effet grâce à la sueur et au sang des indigènes, grâce aussi aux impôts perçus sur ces minables propriétaires de quelques arbres et de quelques têtes de bétail .Grâce également aux travaux forcés et aux corvées, beaucoup de routes, de bâtiments avaient été édifiés pour le bien être de l’humanité européenne

5.l’Education et l’enseignement :

la France coloniale a construit des écoles françaises et avait segmenté les filières et les niveaux scolaires

6.le commerce extérieur

la France coloniale a permis à l’Algerie d’exporter sa production ; en effet ; pendant que des enfants de fellaghas n’avaient rien à se mettre sous la dent, oui ! Nous n'avions rien à manger- le rapport de Rocard n’était sans doute pas parvenu entre les mains des décideurs français contiendrait il que des affabulations ?
La soldatesque française , sans doute aidée de ses précieux supplétifs qui connaissaient bien les habitudes de vie des leurs ex frères détruisent tout sur leur passage y compris quelques œufs cachés dans le trou du mur, sous prétexte qu’ils pouvaient servir aux fellaghas de repas copieux ignorant dans leur folie meurtrière ,leur inconscience pathologique que même ces enfants , ces bébés avaient un besoin à satisfaire ,celui de survivre- la France coloniale porte la responsabilité historique du crime contre les bébés,les enfants et femmes de fellaghas- un crime raciste qui ne dit pas son nom car livrés à la mort , des années durant où beaucoup d’enfants sont morts de faim, de maladie et de bombardement - je ne citerai pas de noms je garde le secret au jugement dernier
Oui pelardi ! Wolf et Favier, léger, Faure, de Gaulle ; Salan, et autres stratèges de guerre, vous portez la responsabilité du crime contre les enfants algériens.Pas seuelement contre les enfants de harkis que vous avez abandonnés.

Crime contre les enfants des harkis qui aujourd’hui, ne savent plus qui ils sont , d’où ils viennent et où ils se dirigent
Vous portez la responsabilité de centaines peut de milliers d’enfants nés du moment de plaisir de jeunes soldats égarés fse ou fsna.
C’est cela qui interdit à toute institution de faire l’apologie du colonialisme.
C’est cela qui , aussi, oblige les institutions d’un pays libéré à immortaliser dans ses lois, son histoire éternelle.
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sihadj.abdenour
10 janv. 2008 à 12:37
Guerre d’Algérie (1954-1962)




Chapitre 9 : Le Capitaine Wolf interroge des enfants de fellaghas.


Iferhounene (Kabylie ) 1960

1959 avec l’opération jumelle, l’année s’achève en emportant avec elle tous nos parents en age de travailler,
Mon frère chérif était déjà mort il y’a une année, en 1958 près du village ait Mahmoud, face exposé à l’imposant chaîne du Djurdjura, comme un témoin éternel, au chevet d’un jeune de 23 ans que l’envahisseur est venu de loin, de très loin, en brigand happer à cette luxuriante nature, cette paradisiaque contrée qui ne connaissait jusque là que la fraternité, la bonté, et les percepts de Dieu tout puissant.
Avec la disparition de Si Hadj Mohand Madjid, un autre parent cousin, tué sur le flanc du pic azro n thor, la France coloniale, nous annonçait ses intentions criminelles: Priver la Kabylie de ses hommes valides, instruits, constituant la force de ce peuple jaloux de sa liberté, de sa culture, de sa dignité. Il était enseignant de « la Parole de Dieu » selon le Coran sacré.
C’est au tour des plus âgés, ceux qui, avaient une famille nombreuse( !) . Ensuite viendra le tour des plus jeunes, ceux dont l’age se situe entre 23 et 14 ans
Une véritable mission d’extermination systématique, et il n y a pas meilleure phrase pour décrire cette folie meurtrière de l’occupant que ces vers de Kateb Yacine qui fait parler un stratège militaire de la France coloniale pour expliquer ses desseins haïssables :

« Notre devise est simple :
Tuer tous les adultes jusqu’à l’age de 15 ans.
Et déporter le reste sur les îles marquises
N’épargner que des chiens qui rampent à vos pieds
Telle est, mon colonel, l’unique solution,
Je puis me permettre une pensée politique »

Ainsi donc les enfants de moins de 15 ans seront livrés avec leurs mères à la faim, aux maladies et agressions de toute sortes. Un crime parfait contre l’humanité, il est vrai indigène mais non moins humaine pour ceux qui ignoraient que ces innocents, insouciants sont aussi les enfants des mêmes ancêtres EVE et ADAM.
Ils sont nombreux ces enfants issus de fellagas morts au maquis .dans cette famille que je connais, ils sont au nombre de 22 tous âgés entre 3 mois et 15 ans
La famille tout entière a été amputée de ses éléments actifs, généreux, croyants .ils sont au nombre de 9 à avoir été arrachés par le colonialisme français inique, violent, génocidaire à leurs enfant et épouses
Depuis 1956, année de l’installation du camp à iferhounene des chasseurs alpins en voici la liste :
Si Hadj Mohand Madjid -1956-1957 tué par l’artillerie du camp d’iferhounene
Si Hadj Mohand Chérif- tué en 1958 près du village de Ait Mahmoud après une course poursuite qui a débuté du village taghzoult. Il était commissaire politique, diplômée de la Medersa de Constantine. Il serait donné par un harki aux services de renseignements français, du nom de Ait S . Ce dernier ; serait passé par les armes, par les éléments du colonel Amirouche pour cette haute trahison.
Si Hadj Mohand Hanafi, exécuté en 1959, durant l’opération jumelle entre les villages de Ait Ouatas et Boumessaoud, non sans avoir été plusieurs fois incarcérés et sauvagement torturés.
Si Hadj Mohand Ouamar , abattu le même jour que Si Hadj Mohand Hanafi , lors d’un violent et long accrochage près du village Boumessaoud
Madame Abed zineb , sœur de Si Hadj Mohand Hanafi , tué lors d’une embuscade le même jour que son frère Hanafi. Elle revenait d’une mission d’approvisionnement des moudjahiddines à l’aube, durant l’opération jumelle.
Si Hadj Mohand Mbarek, sergent de l’ALN, tué près de ihlem, entre larba Nath Irathen et Ain El Hammam, en 1960. Enterré à ichariden. Sa pierre tombale indique aujourd’hui qu’il est mort en 1957, son père défunt père de son vivant l’avait déjà déclaré mort juste après son enrôlement dans les maquis, pour prévenir toute représailles sur les membres de sa famille. Ce qui n’avait empêché le gendarme de Michelet de gifler, mon oncle Mohand Ouali lors d’un contrôle des morts et des vivants (article paru sur le site Internet de la ligue des droits de l’homme de Toulon) pour a voir nié tout lien parental avec ce ‘ fellagha » pour reprendre l’expression de ce méme gendarme.
Mon cousin Mbarek est tombé dans une embuscade, donné et attiré par un harki du nom de Deh…dans un guet-apens ! « avancez, ne craignez rien, nous sommes frères » lui avait il lancé quand mon cousin Mbarek s’est trouvé nez à nez avec les chasseurs alpins qui lui avaient tendu l’embuscade, et qu’il leur avait crié « qui va là ?! »

Si Hadj Mohand Smail : mon beau frère , quant à lui , disparu à la fleur de l’age, son endurance ne lui a pas permis de tenir jusqu’à l’indépendance.
Pour ceux qui avaient refusé de se plier à l’ordre oppresseur, violent du colonialisme laissant derrière eux des enfants sans nourriture , sans soins ni protection , Le capitaine Wolf savait que leurs enfants pour le moment étaient inoffensifs. Sans danger pour les intérêts de la France coloniale. Mais ils doivent être surveillés de près. Ne sait-on jamais, car comme dit le proverbe, tel père tel fils et puis chez ces kabyles cet esprit belliqueux a quelque chose de séculaire. Il vaut mieux être préventif, vous diront ces scientifiques français qui avaient déjà réalisé par le passé « l’expédition scientifique »de la kabylie. Il faut accepter de les rapprocher du camp, de leur village natal, s’ls en exprimaient le besoin bien entendu, la demande. De la sorte nous pourrions prévenir tout risque de contagion. La culture française et la civilisation raffinée de l’occident adoucira leurs moeurs et surtout leur fera oublier leurs origines berbères ou arabes qu’importe.
Le capitaine Wolf, disons le sans aucune hypocrisie, à titre de témoignage historique avait répondu positivement à la demande de nos mères et chibanis trop âgés pour rejoindre le maquis choisi par les adultes.
La réponse était, reconnaissons le, des plus sincère et dans la logique des choses en même temps :« maintenant qu’il ne reste que les femmes, les enfants et les vieillards, il n y a aucune crainte à ce que qu’ils soient nos voisins, à coté de nous, même si le village iferhounene n’est guère à plus de 150 mètres de notre camp des chasseurs alpins.
C’est à la fin d’un hiver rude et impitoyable que nous avions rejoint notre village natal dont nous avions été privé pendant plus de 1 an. Ce qui nous avait contraints de perdre une des meilleures années de notre jeunesse à errer dans les villages voisins, sans ressources ni affection, ni instruction, ni éducation de nos pères. Le capitaine Wolf et le lieutenant, pelardi en ont décide ainsi. Ils en ont eu pour leur grade et la postérité.
Comme pour nous faire croire que l’approche du printemps signifiait pour nous que nous avions été suffisamment châties par Dame nature par le sort ou par la volonté du roumi pour enfin rejoindre ceux qui ont été apprivoisés, soumis, matés neutralisés , meurtris , après la démarche ambitieuse, démentielle des envahisseurs : car séduire ou réduire était l'alternative qu’offrait ce système inique aux villageois.
Nous enfants primitifs , naïfs , privés du savoir, de nourriture de soins et d’affection avions failli être conquis , envahis ; saisis de culpabilité , pour la mort de nos papas- le système colonial, cette machine organisée pour répandre systématiquement le mal , la torture et la mort nous a marginalisés , diable ! J’ai failli, dans mes pensées primitives naissantes, immatures, me sentir anormal, inadapté psychologiquement, attardé mentalement pour n’avoir pas épousé rapidement sans difficultés les idées de l’école coloniale française. Apprendre à lire et à écrire en français n’était rien devant la mission civilisatrice du Roumi. Fallait il passer par « balek ! Balek, disait un balayeur. C’était notre première leçon d’enfants barbares candidat à la culture Roumie.
Malek est un petit kabyle !mais j’avais compris vite que je n’avais pas besoin de fréquenter l’école française des soldats fse qui pourtant avaient beaucoup d’estime pour nous pour savoir que je suis kabyle moi-même et que l'arabe ne pouvait être , dans ce système colonial ,que ce balayeur. Nous avions été tous inscrits à l'école et, nos maîtres école : Robert , Marcel , Guy, Madame Boucher, Abderahmane ( appelé d’origine algérienne) , ne savaient sans doute pas que nous étions tous enfants de fellaghas morts pour l’Algerie meurtrie mais pour les fervents partisans de l’Algérie française , n’étaient que d'anonymes rebelles , hors la loi,criminels et donc méritaient d’être élimines -ils sont irréductibles ;ils se sont opposés aux desseins « philanthropiques » de l’humanité européenne , aux objectifs bénéfiques de la colonisation.
Mais ces enfants orphelins et non moins fils de fellaghas doivent être pris en charge au plan disciplinaire, surveillés discrètement car comme dit l’adage « tel père tel fils »
En effet, nos premiers réactions d’enfants révoltés, mal aimés, abandonnés, rejetés par le système colonial, car conséquence de dégâts collatéraux que les hommes politiques français doivent accepter généreusement pour l’avoir intégrée aux prévisions de la guerre, dans l’intérêt supérieur de la grande nation, l’empire français, au nom de la mission humanitaire civilisatrice.
Je dois dire que nos premières turbulences ne tardèrent pas à se manifester et en voila le récit authentique de l’une d’entre elles, « un jour, Saadi, fils de fellaga éleve de l’école primaire à l'age de 10 ans, s’est trouvé une idée géniale, insolite pour s’amuser, s’extérioriser, se permettre des folies d’enfant irrité, délaissé.
Ses frustrations contenues depuis des années, la peur, la faim et l’absence d’affection vont faire naître en lui un instinct de révolte, de destruction, inconscient.
Il décida, avec quelques uns de ses camarades de s’initier à la casse . En quoi faisant ?
Ils décidérent ,ces fils de fellaghas,de penetrer à l’interieur des baraques préfabriquées qui servaient de salles de cours pour s’emparer des livres de classes qu’illustrent de belles images en couleur.
Ils raflent tout ce que les bras d’enfants chétifs pouvaient enlacer et emporter en un seul voyage.
Une fois rentrés à la maison, ils s’empressèrent d’une main agile, avec des yeux écarquillés de plaisir et d’émerveillement, ils d’arrachèr toutes les pages illustrées par des photos en couleur criarde. Un délire de possession venait d'être guéri chez ces enfants démunis
Car ce cadeau du ciel que même nos aimants parents ne pouvaient nous offrir et surtout venant de ce roumi, ennemi juré de notre vie, notre jeunesse volée notre avenir empoisonné des années durant, dans un contexte de peur, de violence et de stress permanant.
Un cadeau qui nous vient de ce camp de chasseurs alpins, avec à leur tête le capitaine Wolf qui a réduit notre famille à la mendicité autant dire que ces images remplissaient pour nous les fonctions de jouet que nous ne rencontrions que très rarement, autant que cela assouvissait en nous l’instinct de vengeance puérile sur ceux qui avaient fondé tout ce mode d’organisation, cette philosophie, cette culture, ces images, ces livres
Cet acte réunissait en nous , en notre conscience refoulée , une double satisfaction celle de nous procurer d’abord un moment de plaisir psychologique immense , de posséder par des images des jouets , des biens pour enfants et celle de punir inconsciemment le roumi en lui soustrayant en cachette , en infraction de l’ordre établi , des règles de discipline de l’école coloniale , en hors la loi , ces biens , ces moyens , il est vrai , non violent d’asseoir son autorité sa domination, son regne.
Cette infraction a l’ordre politico militaire établi , cette école coloniale , comme instrument pacifique de domination trop révélateur du caractère dangereux de ces petits fellagas va être vite pris en mains par le capitaine Wolf lui-même commandant le sinistre camp des chasseurs alpins campé a iferhounene.
Il donna l’ordre, ce capitaine, d’enquêter et de lui ramener, présenter tous les suspects. C’est ainsi que mon cousin Saadi s’est retrouvé, à l’age de 10 ans, au camp, en face d’un célèbre capitaine.Choisi et emmené par un chasseur alpin selon le critère qu’il était difficile de ne pas soupçonner. Ce qui m’avait fait pencher pour cette hypothèse, secrètement manigancée c’est que tous les enfants de fellaghas, avaient été soupçonnés de ce crime de trouble de l’ordre établi
Pourtant Dieu sait que d’autres enfants « normaux » ont fait partie de cette bande qui avait ce jour mis à sac pas moins de 2 classes ou étaient entreposés de nombreux livres , tous aussi attirants les uns que les autres par la richesses de leurs illustrations - ce jour là , l’image de mon grand pére Mohand Saïd excèdé par l'expédition punitive lancée contre ses petits fils , tous orphelins de fellagas , n’ayant pu contenir sa colère , a failli s’impliquer dans cette affaire qui allait prendre une toute autre dimension , pour se terminer en un dramatique événement quand un soldat fse est venu nous enjoindre de nous présenter à notre tour devant le capitaine Wolf « vous allez cesser de traumatiser les enfants ou je vais faire un carnage- bande d’ennemis de Dieu « aadhaoune arrebbi » s'est-il exclamé en kabyle- Dieu vous fera payer un jour ce que vous faites endurer à la « oumma nenvi » puis « des enfant orphelins , par votre crime , et que vous pourchasser , terrorisez. Viendra, votre heure tôt ou tard. Par la grâce d’Allah tout puissant ! »
Le soldat qui était venu nous chercher, en entendant ces mots, mêlés de colère avait fini par abandonner la partie et a décidé de faire volte face pour se diriger Vers le camp, résigné, tête baissée, je ne peux comprendre ce qui s'était passé dans sa téte. Avait il craint d’affronter mon grand père excédé ? ou bien avait il compati à la douleur d’un vieillard , impuissant devant cette machine à tuer les adultes et a tyraniser leur progéniture , vulnérables, exposé aux dangers de la vie. mais pendant ce temps notre premier soupçonné , en l’occurrence Saadi était toujours aux mains du capitaine Wolf-Le capitaine Wolf est un homme dont la taille ne dépasse guerre 1m60. Il s’atelait à interroger notre petit cousin Saadi
« Allez dites moi la vérité, avez-vous participé à l’intrusion dans les classes ? »
Saadi » mon capitaine, si je vous disais que j’ai participé, est ce vous me relâcheriez ? »
Le capitaine Wolf « si vous me dites que vous avez participé, oui, je vous relâcherais »
Saadi « vous étes surs, mon capitaine, vous n’allez pas me retenir dans le camp »
LE CAPITAIEN WOLF « je vous relâcherais, si vous me dites que vous avez participé »
SAADI : Mais vous allez me relâcher Saadi « Je vous dirai que j’ai participé , mais c’est sur que vous me relâcherez ?
LE capitaine Wolf « je vous relâcherai »
Saadi » alors, je vous dis que j’ai participé »
Le capitaine Wolf « allez y sortez »
Ainsi Saadi avait été relâché non sans avoir été traumatisé par ce face à face avec le plus haut gradé des militaires de l’armée coloniale de la region . cette armée qui avait auparavant abattu son père en 1959 dans un accrochage près de Boumessaoud dans la région d’imessouhal
Au fonds de lui Saadi savait tout et surtout qu’il était fils de fellagha, que Wolf le savait aussi.
Il savait que cette rencontre n’était pas inopportune. Elle était même planifiée
Peut être la curiosité de voir en face de lui l’enfant dont le père avait été tué par l’opération jumelle , le meme jour que mon père et ma tante zineb dans une embuscade, n’a pu être contenue pour ce capitaine foudre de guerre, c'était egalement sur son ordre que mon père avait été fusillé « tuez le , c’est un fellagha !ils sont tous des fellagas dans la famille » et s’il s’en occupait pas personnellement , chargeant ses dociles exécutants , comme le lieutenant pelardi , de revenir sur les lieux du crime ; même symboliquement pour y être contraint , souvent par sa mauvaise conscience.
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je pense que la france coloniale a fait tellement de mal aux algeriens que la majorite n'arrive pas a oublier . les masscres commis par la france , l' institutionalisatoin de la torture . viol assassina direct prouvent que ces crimmes n'ont rien a envier aux crimes nazis cette france soit disant des droits de l'homme qui a classe l'algerien dans la categorie des sous- hommes et de sale indigene . je vois mal comment proceder un rapprochement avec france si au prealable il n'ya pas eu de travail de memoire et uner reconnaissance du genocide commis par les hordes coloniales francaises a l'encontre de tout un peuple laisse dans la misere la pauvrete .l'ignorance car l'instruction etait interdit aux algeriens sur 10 millions d'algeriens il n'yavaient meme 400 etudiant qui sont presque tout fils de bachagha de harkis .
je de la generation d'indepandance de l'algerie .quant à la kabylie la france a fait un genocide tout cour

je termine cette repnse en rendant hommage aux qui ont pris les armes contre la france ceux encore en vie et ceux qui sont tombes en martyres en particulier le colonel amirouche . abderahmane mira . yazourene .krim belkacem.
le colonel mohamdi said abane ramdane .mohamed boudiaf.
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