Formation - Ingénieur en cybersécurité
Bastien9898
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brucine Messages postés 14341 Date d'inscription lundi 22 février 2021 Statut Membre Dernière intervention 28 avril 2024 - 15 sept. 2021 à 23:49
brucine Messages postés 14341 Date d'inscription lundi 22 février 2021 Statut Membre Dernière intervention 28 avril 2024 - 15 sept. 2021 à 23:49
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Bonjour,
une licence pro cela n'a rien à voir avec un diplôme d'ingénieur, pour être ingénieur en cyber-securité il faut avoir un diplôme d'ingénieur info + 1 an de spécialisation, soit 6 ans d'études voir https://m.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/expert-experte-en-securite-informatique
une licence pro cela n'a rien à voir avec un diplôme d'ingénieur, pour être ingénieur en cyber-securité il faut avoir un diplôme d'ingénieur info + 1 an de spécialisation, soit 6 ans d'études voir https://m.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/expert-experte-en-securite-informatique
Bastien9898
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Le métier "d'ingénieur cybersécurité" peut se faire via un master, j'ai mis des guillemets car le métier à différents noms.
De ce que j'ai vu le titre d'ingénieur donne une crédibilité mais n'est pas obligatoire.
De ce que j'ai vu le titre d'ingénieur donne une crédibilité mais n'est pas obligatoire.
bazfile
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Non ce n'est pas obligatoire.
brucine
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bazfile
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15 sept. 2021 à 23:49
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Bonsoir,
On joue sur les mots parce que seul les termes "ingénieur diplômé" sont réglementés (CTI) sans quoi n'importe qui peut se baptiser "ingénieur" tout court.
Puisqu'on parle d'informatique, j'ai connu quelques auto-proclamés "ingénieurs technico-commerciaux" qui venaient vous vendre leur soupe matérielle et logicielle et qui y étaient régulièrement aussi analphabètes qu'en français.
C'est d'ailleurs un peu tendance, d'inventer des titres ronflants, les "Bachelor" en sont un bon exemple, ne consistant le plus souvent qu'à échapper aux spécifications du système LMD.
Mais c'est aussi vrai des Masters qui ont remplacé l'échelon Maîtrise + DEA/DESS, et où là aussi le meilleur côtoie le pire.
En définitive, et à défaut que malgré la VAE l'expérience professionnelle ait une importance aussi grande que dans les pays anglo-saxons, ce que l'on vend en France est en fait le plus souvent le nom d'une école, même quand pour certaines il est beaucoup plus difficile d'y entrer que d'en sortir et si la quasi-totalité attestera d'un certain niveau d'instruction, mais d'aucune qualité professionnelle.
Dans le domaine qui nous intéresse, l'armée peut former des professionnels de très bon niveau et sans difficulté de reconversion tant on leur aura appris à toucher à peu près à tout (les temps sont durs), mais l'âge est limite et, même s'il varie régulièrement, le recrutement sur titres et dossier d'officiers sous contrat est aujourd'hui de mémoire à M2 validé.
On joue sur les mots parce que seul les termes "ingénieur diplômé" sont réglementés (CTI) sans quoi n'importe qui peut se baptiser "ingénieur" tout court.
Puisqu'on parle d'informatique, j'ai connu quelques auto-proclamés "ingénieurs technico-commerciaux" qui venaient vous vendre leur soupe matérielle et logicielle et qui y étaient régulièrement aussi analphabètes qu'en français.
C'est d'ailleurs un peu tendance, d'inventer des titres ronflants, les "Bachelor" en sont un bon exemple, ne consistant le plus souvent qu'à échapper aux spécifications du système LMD.
Mais c'est aussi vrai des Masters qui ont remplacé l'échelon Maîtrise + DEA/DESS, et où là aussi le meilleur côtoie le pire.
En définitive, et à défaut que malgré la VAE l'expérience professionnelle ait une importance aussi grande que dans les pays anglo-saxons, ce que l'on vend en France est en fait le plus souvent le nom d'une école, même quand pour certaines il est beaucoup plus difficile d'y entrer que d'en sortir et si la quasi-totalité attestera d'un certain niveau d'instruction, mais d'aucune qualité professionnelle.
Dans le domaine qui nous intéresse, l'armée peut former des professionnels de très bon niveau et sans difficulté de reconversion tant on leur aura appris à toucher à peu près à tout (les temps sont durs), mais l'âge est limite et, même s'il varie régulièrement, le recrutement sur titres et dossier d'officiers sous contrat est aujourd'hui de mémoire à M2 validé.
