Qu'est ce qu'un x25?

Résolu/Fermé
fofie Messages postés 47 Date d'inscription jeudi 22 mai 2003 Statut Membre Dernière intervention 4 juin 2003 - 2 juin 2003 à 10:23
 moi - 16 juin 2016 à 12:47
Salut à tous,
je voudrai que quelqu'un m'expique clairement ce qu'est X25.
merci

18 réponses

YA SOUMIA le réseaux X25 c'est une topologie utiliser pour transmettre des paquet
et si tu veux mieux savoir IL FAUT QUE TU LIS SA:

A optimiser l'utilisation des ressources d'un réseau de transmission de données entre tous les utilisateurs. En fait, sur le réseau téléphonique, pour chaque communication, la bande passante nécessaire est réservée d'un bout à l'autre du réseau pendant tout le temps de la communication. Par contre tous les abonnés ne peuvent pas téléphoner en même temps, car le réseau est dimensionné en tenant compte du taux d'utilisation du téléphone de chaque catégorie d'abonné : particuliers et professionnels. Par contre sur un réseau de données comme X25 (et c'est également vrai pour Internet aujourd'hui) tous les abonnés peuvent communiquer en même temps mais ils se partagent la bande passante du réseau.

Quels sont les principes de fonctionnement du Protocole X25 ?
Comme sur le réseau téléphonique, le premier paquet échangé entre deux équipements informatiques (terminal distant et site central par exemple) est un paquet d'appel qui va permettre d'établir la route que vont emprunter les autres paquets de la communication de données dans tous les commutateurs utilisés pour cette communication. Les algorithmes de routage, qui vont déterminer vers quelle ligne de sortie il faut router le paquet d'appel pour qu'il arrive à destination, utilisent soit des tables de routage statiques soit des tables de routage dynamiques. Dans ce cas ces tables sont mises à jour par échange d'information entre les commutateurs à l'aide de protocoles propriétaires.
A l'inverse du réseau téléphonique il n'y a aucune réservation de puissance de commutation ou de bande passante sur les lignes de transmission entre les commutateurs. Ces ressources ne sont utilisées qu'en cas de transmission de données entre les abonnés. On a ainsi établit un circuit virtuel entre les deux abonnés.
Les commutateurs multiplexent les paquets de données des différents circuits virtuels sur les lignes de transmissions avec comme règle : premier arrivé, premier parti. Pour ce faire chaque paquet de données à une entête qui comprend un identifiant du circuit virtuel auquel il appartient et un numéro d'ordre afin d'être sûr de délivrer les paquets au destinataire dans l'ordre ou ils ont été émis.
Mais le multiplexage peut faire apparaître des engorgements dans le réseau suite à la saturation d'un commutateur ou d'une ligne de transmission. Afin de réguler ce phénomène, pour chaque paquet reçu, commuté et émis sur une ligne de transmission, le commutateur émet un acquittement à l'émetteur de ce paquet avec le numéro d'ordre du paquet reçu. Si l'émetteur ne reçoit plus d'acquittement, il va cesser d'émettre après avoir émis un nombre déterminé de paquets (pour ne pas freiner la transmission en temps normal), limitant ainsi la saturation du réseau. De plus, seuls les utilisateurs de la ressource saturée dans le réseau sont limités, les autres n'étant absolument pas affectés. Le dernier paquet de la communication de données est un paquet de libération qui va effacer la route dans tous les commutateurs du réseau traversés par cette communication. Ceci est le principe de fonctionnement du niveau Paquet (couche 3 du modèle OSI).

Avant d'être émis sur une ligne de transmission, chaque paquet est encapsulé dans une trame de manière à fiabiliser la transmission de données sur les lignes de transmission (entre l'abonné et son commutateur de rattachement et entre les commutateurs du réseau). Un nombre est calculé à partir des bits de la trame réellement émise sur la ligne et envoyés avec la trame. Ceci permet au commutateur qui reçoit cette trame, de faire le même calcul et de s'apercevoir d'une erreur de transmission, si le résultat de son calcul est différent de celui reçu.
Chaque trame, émise avec un numéro d'ordre, est conservée en mémoire jusqu'à la réception d'un acquittement du distant pour cette trame. Pour ne pas ralentir la transmission, un commutateur peut émettre un nombre de trames prédéterminé sans recevoir d'acquittement. Un commutateur qui reçoit des trames erronées, demande la réémission de cette trame et de toutes les suivantes qui ont été émises.
Ceci est le principe de fonctionnement du niveau Trame (couche 2 du modèle OSI)

Enfin, chaque port d'un commutateur contrôle le niveau Physique (couche 1 du modèle OSI), c'est-à-dire le fonctionnement avec l'équipement de transmission de données, principalement un modem.

Donc si une application informatique veut transmettre un fichier en X25 à un autre système informatique, elle doit : " découper le fichier à transmettre en paquets de données " demander l'établissement d'une connexion au niveau paquet, qui va générer un paquet d'appel " dès que la communication est établie avec le distant, transmettre les paquets au niveau paquet qui va rajouter l'entête paquet et gérer le protocole paquet " le niveau paquet va transmettre ces paquets au niveau trame qui va rajouter son entête et le nombre calculé sur les données à transmettre, pour contrôler les erreurs " le niveau trame va transmettre la trame ainsi constituée au niveau physique qui gère l'interface avec le modem et émet la trame sur la ligne de transmission. Ceci est schématisé par la figure ci-dessous.





Les commutateurs du réseau vont faire de même, c'est-à-dire : " recevoir la trame de la ligne du terminal distant, en gérant l'interface physique avec l'équipement de transmission " la transmettre au niveau trame qui va vérifier que les données reçues sont sans erreur de transmission et, si ce n'est pas le cas, demander au niveau trame du terminal distant la retransmission des données erronées " transmettre au niveau paquet qui va s'assurer du bon ordre de réception des paquets " transmettre le paquet au commutateur proprement dit qui va trouver, en fonction de la ligne et du numéro identifiant, le circuit virtuel en entrée, la ligne et le numéro identifiant le circuit virtuel en sortie, grâce à la table de routage établie lors du traitement du paquet d'appel " le commutateur va transmettre le paquet au niveau paquet qui va le traiter … " et ainsi de suite, jusqu'au niveau paquet du site central qui va pouvoir transmettre, dans le bon ordre, tous les paquets émis par le distant qui, une fois recollés, permettront de reconstituer le fichier transmis. Ceci est schématisé par la figure ci-dessous.





En résumé, voici les raisons du succès d'X25 :
- bien que tous les abonnés puissent être connectés au réseau simultanément, grâce au niveau paquet, le réseau limite l'émission des abonnés en cas de surcharge, sécurisant ainsi le fonctionnement du réseau
- l'intégrité des données transmises au réseau est garantie par la correction d'erreur du niveau trame.

TRANSPAC

Pour ce nouveau débouché de TRT, nous faisons référence au livre de Raymond Guirimand, dont l'un des chapitres a bien résumé le lancement. Nous nous contentons d'en citer des extraits :
" En 1975, TRT, consciente de l'importance qu'allaient prendre les réseaux de données, répond à un appel d'offres des PTT pour la réalisation d'un commutateur de paquets destiné au réseau de transmission de données par paquets (TRANSPAC) que l'administration des PTT envisage de mettre en place. La réponse est faite en collaboration avec les sociétés T.I.T. et SESA (pour les logiciels) et c'est ce consortium qui est finalement retenu par les PTT. L'étude débute en 1976 ; une équipe entièrement nouvelle est créée à TRT regroupant Edouard ASSÉO, Henri VANNETZEL, Pierre LAMOINE, Guillaume BROC... La réalisation du commutateur CP50 est une des plus complexes qu'ait entreprise TRT et, grâce au concours de M.B.L.E. à Bruxelles, la fabrication de circuits imprimés multicouches est mise au point pour des cartes de très grande dimension (près de 400 x 400 mm), comportant de 150 à 200 circuits intégrés. Le temps du cycle du processeur central étant de 250 nanosecondes, des problèmes nouveaux devront être résolus (temps de propagation, impédance des circuits, échauffement, etc...). Les 3 premiers commutateurs CP 50 permettront d'équiper le réseau expérimental début 1978 et le réseau sera mis en service à la fin de l'année. Ce fut une performance remarquable. Le succès de TRANSPAC se traduira pour TRT par la livraison de plus de 200 commutateurs CP 50 ; en huit ans, fin 1986, 40 000 abonnés auront été raccordés à TRANSPAC !

Forte de ses connaissances en commutation de paquets X25 (T.I.T. a repris son indépendance peu après 1979), TRT a développé pour les communications d'entreprise une gamme de matériels appelés COMPAC comprenant au départ deux commutateurs de faible capacité : le CP 8 et le CP 1. Ces deux commutateurs seront ensuite remplacés par le CP 9. L'arrivée en 1983 du processeur de réseau NPX 090 utilisant l'architecture SM 90 du CNET a permis de compléter la gamme COMPAC. Parmi les réalisations entreprises avec ces matériels, le changement de numérotation du réseau téléphonique français le 25 Octobre 1985 est une des plus spectaculaires. TRT assura la supervision de tous les centres principaux et régionaux et du centre national. En moins d'une heure 23 millions d'abonnés furent dénumérotés sans incident.

Auparavant, en 1982-1983, TRT avait participé à la réalisation du premier central du terminal annuaire à Rennes en fournissant les équipements frontaux. Ce fut une première mondiale et l'aventure du Minitel commençait : ce central était prévu pour accueillir 450 000 abonnés d'Ille et Vilaine. "

Le MINITEL

La transmission de données n'était utilisée alors que par les entreprises, du fait de son coût relativement élevé, mais également du fait que les particuliers n'avaient pas d'équipement informatique. Mais tous les particuliers que nous sommes ont utilisé TRANSPAC, et donc la commutation X25, lors de l'utilisation de leur MINITEL qui a été lancé en 1983. Là aussi TRT a été pionnier en transmission de données, en miniaturisant le modem, afin de l'intégrer dans le MINITEL réalisé par La Radiotechnique.
Le MINITEL ayant une puissance de traitement limitée pour des raisons de coûts, utilise le protocole Asynchrone qui se limite à transmettre des caractères codés en ASCII. Quand un abonné compose le 3615, il est connecté, via le réseau téléphonique, au point d'accès VIDEOTEX le plus proche de son commutateur téléphonique de rattachement. Le point d'accès VIDEOTEX transforme les données asynchrones en paquets X25 et établit la connexion avec le serveur demandé en X25.
La gratuité du terminal, le fait que les serveurs d'information étaient rémunérés par les PTT et le fait que les nouveaux abonnés ont mis deux mois à comprendre que le MINITEL pouvait coûter très cher, en découvrant leur facture téléphonique, ont permis un démarrage très rapide de ces nouveaux services.

En Juin 1985, TRANSPAC a eu de gros ennuis sur les commutateurs de son réseau dont certains se sont arrêtés, à cause de bogues du logiciel inconnus depuis le démarrage du réseau, 7 ans auparavant. En fait le trafic lié au MINITEL avait considérablement augmenté et devait être à l'origine du problème. La nature des communications MINITEL était en effet très différente de celles des professionnels ; ceux-ci établissaient la communication entre les sites distants et le centre informatique le matin, avaient du trafic dans la journée, et coupaient la communication le soir. Le MINITEL, au contraire, générait un très grand nombre de communications de faible durée. Mais comment reproduire les conditions d'apparition d'un tel bogue du logiciel ? Impossible en laboratoire, du fait du grand nombre de communications à générer.
En Juin 85, TRT était en phase finale sur le projet de la supervision du changement de la numérotation téléphonique à 10 chiffres, qui devait avoir lieu pendant la nuit du 25 Octobre 1985. Pour ce faire, une application de saisie des opérations de vérification du bon fonctionnement de la nouvelle numérotation avait été développée par TRT, pour les PTT, sur des équipements NPX90 déjà déployés dans chacune des 60 Directions Opérationnelles de la Direction Générale des Télécommunications, et raccordés via TRANSPAC en X25, au site de supervision national.
TRT proposa donc à TRANSPAC d'écrire un logiciel simulant des communications de type MINITEL, de déployer cette application sur les équipements NPX90 déployés dans les Directions Opérationnelles et de piloter certains paramètres, comme le nombre d'appels par seconde, depuis le centre de supervision national à Paris, pour permettre à TRANSPAC de reproduire le défaut.
Ce qui fut proposé fut fait ! TRT a ainsi réussi au cours du mois de Juillet 85, à progressivement charger le réseau avec des communications de type Minitel et finalement, à faire "tomber" le réseau TRANSPAC, ce qui a permis aux ingénieurs de TRANSPAC de comprendre d'où provenait le bogue du logiciel et de le faire corriger.

X25 et les RÉSEAUX PRIVÉS

Au milieu des années 80, la fourniture de CLE (Commutateur Local d'Entreprise) à TRANSPAC, permettant aux entreprises de raccorder plusieurs équipements X25 ou Asynchrone sur une seule ligne TRANPAC, a permis d'utiliser ces équipements CP1, CP9, puis les NPX90, et ensuite la nouvelle génération d'équipement MCX, pour réaliser des réseaux privés pour les entreprises.

La cible
Elle est constituée par les entreprises multi-sites, ayant besoin d'être raccordées à des applications informatiques centralisées depuis les sites distants. Exemples types : Banques, Assurances et Administrations.

L'existant
Ces entreprises ont déjà informatisé leurs sites distants en utilisant des protocoles de transmission souvent multipoints, comme SDLC pour IBM ou VIP pour BULL pour ne citer que les plus répandus, et des modems 4 Fils, pour la transmission sur des multipoints PTT ou privés. Quelques exceptions comme la BNP utilisaient déjà TRANSPAC et la norme X25.

Le contexte réglementaire
TRANSPAC était une filiale de L'Administration des PTT et les tarifs de ces deux entités étaient publiés au Journal Officiel. La comparaison des coûts de raccordement à TRANSPAC et des coûts de location de Liaisons Spécialisées aux PTT était donc réalisable et démontrait qu'une entreprise multi-site avait un intérêt économique à réaliser et exploiter un réseau privé.

Le positionnement de TRT
Leader du marché des modems, TRT venait de réaliser une première mondiale en produisant le Sematrans 9696: modem 9600 b/s duplex sur 2 fils. TRT était fournisseur de TRANSPAC pour les modems, les CLE et les commutateurs du réseau. TRT était un des trois acteurs majeurs sur le marché de la vente de modems aux entreprises (Voir l'article de Michel Stein dans Contact N° 36).
A cette époque, les forces de vente Informatique de Philips (ex Philips Data Systems) et les forces de vente Télécommunication d'Entreprise de TRT ont été regroupées dans la division Communication Systems et en France au sein de TRT-TI. Or d'un point de vue informatique, Philips était très présent dans le monde bancaire, pour la qualité de ses terminaux spécialisés dans cet environnement.

La stratégie de TRT
TRT décida de mettre en place une équipe technico-commerciale pour réaliser les offres techniques de réseaux privés dans la Direction Banques et Assurances de TRT-TI. Il apparut rapidement que le levier de décision dans l'environnement bancaire était le retour sur investissement.
Or TRT avait des atouts dans ce domaine, disposant des modems S9696 fonctionnant sur 2 fils (les lignes spécialisées, ou LS, 2 fils étant moitié moins chères que les lignes 4 fils), et des concentrateurs X25 qui permettaient de réaliser des réseaux constitués de lignes point à point.

Mais comment convaincre ?
La réponse fut apportée par les clients eux-mêmes qui cherchaient à optimiser les coûts d'investissements et de fonctionnement de leur futur réseau. Tout d'abord, TRT a loué l'utilisation d'un logiciel, développé par le CNET et commercialisé par Télésystème, qui permettait d'optimiser un réseau en double étoile.
Qu'est-ce qu'un réseau en double étoile ? Prenez un département imaginaire sur lequel une banque a ses agences (petits points noirs) qui doivent être reliées au site central (gros point noir) à moindre coût.





On peut réaliser une étoile (raccorder chacun des sites, par une LS, au site central) mais c'est ce qui coûtera le plus cher en coût de location de LS, puisque leur coût dépend de la distance à vol d'oiseau des sites à raccorder. Par contre l'investissement en équipements de concentration sera faible, puisqu'il n'y en a qu'un, au site central.
L'optimisation du réseau en double étoile consiste donc à déterminer quels sont les sites qui seront sites de concentration, pour optimiser la somme : coût d'investissement (modems, concentrateurs et installation) + coût de location des LS sur un certain nombre d'années. Ce qui se traduit dans notre exemple par neuf sites de concentration, dont un au site central pour les agences les plus proches.



Le logiciel du CNET n'a pas donné satisfaction sur le plan de l'utilisation : il n'était exécutable que sur un gros système et, sur le plan de l'ergonomie, il obligeait la saisie des coordonnées géographiques de tous les sites à partir d'un listing de l'IGN !!! La chance a souri à l'équipe technico-commerciale qui a fait la rencontre d'un étudiant de Sup Télécom faisant un stage dans une banque qui deviendra par la suite cliente de TRT et qui travaillait à l'optimisation du réseau de cette banque. Son approche avait été de réaliser un logiciel sur PC, utilisant un autre algorithme que celui du CNET pour l'optimisation en double étoile. Quelques essais ont permis de vérifier que les résultats obtenus avec cet algorithme étaient identiques à ceux obtenus avec celui du CNET. TRT a donc fait une proposition à cet étudiant pour acheter ce logiciel après quelques évolutions à réaliser, notamment l'intégration de la base de données de l'IGN contenant les coordonnées géographiques des 36 000 communes de France.
Cet outil fut déployé sur tous les PC des technico-commerciaux à Paris comme en Province.

La tactique commerciale
Les commerciaux, rencontrant les directeurs informatiques ou réseau des différentes banques, n'avaient plus qu'à leur demander quel était leur coût de location de LS, de prendre un air affolé à l'énoncé du montant et de proposer une étude gratuite d'optimisation du coût de leur réseau !
La force de vente commerciale et technico-commerciale était alors dans la place, pour travailler avec le client avant tout appel d'offre. Ceci nous permit de démontrer à nos futurs clients que le retour sur investissement était le plus souvent compris entre neuf et quinze mois !

L'adaptation des produits
Mais il a fallu, en parallèle, développer sur nos concentrateurs la prise en compte des protocoles utilisés par les terminaux de nos clients : SDLC, VIP, BSC,… et en assurer le transport en X25, ce qui n'a pas toujours été simple pour les équipes de développement. Il a fallu également mettre en œuvre, au niveau physique, les protocoles de basculement de la LS sur le réseau téléphonique commuté, tant sur les modems que sur les concentrateurs, pour rassurer les clients quand à la disponibilité du réseau.

La disponibilité des réseaux
Et dans ce domaine l'utilisation du S9696 a été remarquable car il possédait la fonction de secours de la Liaison Spécialisée par le réseau téléphonique commuté. Les développements mentionnés ci-dessus ont permis de mettre en œuvre des secours en cas de panne de concentrateur, en raccordant les sites distants, via le réseau téléphonique, sur un concentrateur de secours au site central. On a également mis en œuvre des secours de LS numérique en utilisant l'accès RNIS développé sur la gamme MCX. Le résultat du calcul de disponibilité était toujours supérieur à 99,9 % du temps. Ces techniques de sécurisation sont illustrées par le schéma suivant.





La gestion de réseau
Voilà un sujet difficile, car chaque client a des attentes différentes sur le sujet et un produit générique ne peut satisfaire tout le monde. De plus il n'existe pas de norme d'échange de données entre un commutateur / concentrateur X25 et le centre de gestion.
Néanmoins chaque équipement X25 de TRT disposait de fonctions d'exploitation. Certaines pouvaient envoyer des alarmes au centre de gestion, d'autres étaient régulièrement interrogées par le centre de gestion.
Cela permettait de visualiser l'état des différents éléments du réseau (lignes et commutateurs) et de faire des diagnostics sur des pannes. Par exemple, si un commutateur détectait une impossibilité de transmettre sur une ligne, il était possible de lancer des séquences de tests pour connaître l'origine du défaut : le modem local, le distant ou la liaison spécialisée, ce qui permettait d'appeler la maintenance TRT ou les PTT.
Il était aussi possible d'établir les secours par réseau téléphonique, sur décision de l'exploitant. Cela permettait également de recueillir des données sur les trafics supportés par le réseau, pour prévoir l'évolution de son dimensionnement.

Le déploiement de réseau
Enfin la réalisation du réseau était maîtrisée par une équipe compétente, pilotée par un chef de projet qui était l'ingénieur technico-commercial présent en avant vente. La maîtrise de l'offre technique tant du point de vue de la conception que de la réalisation du réseau, nous permettait de faire une offre forfaitaire avec engagement de résultats. Les clients nous ont mis à chaque fois en concurrence et il y a eu des appels d'offre, où TRT a toujours su se positionner au niveau des prix pour contrer la concurrence.

La réussite dans le domaine bancaire
Bien sûr, TRT n'a pas remporté tous les appels d'offre, mais a équipé au moins 65% des comptes bancaires en France, comme en témoigne ce graphique du chiffre d'affaire Banque.



La prospection dans le milieu des assurances n'a quasiment rien donné car elles n'ont pas de réseau d'agences, commercialisant leurs contrats au travers de courtiers parfois multicartes et qui sont indépendants. Tous ces courtiers utilisent TRANSPAC pour se raccorder aux sites informatiques des compagnies d'assurance. Seules les mutuelles ont un réseau d'agences et se sont équipées en réseau privé X25.
Les milieux financiers ont toujours été en avance, pour l'utilisation des nouvelles technologies, par rapport aux autres secteurs d'activité et le graphique montre bien comment ce secteur s'est quasiment entièrement équipé de 1988 à 1993.

Les réussites avec les Administrations
TRT, très présent sur le marché de l'administration, a heureusement pu compenser le chiffre d'affaire décroissant de la Banque, dans le début des années 1990, par de beaux succès dans l'Administration.
L'un des plus beaux contrats restera sans doute le réseau de La Poste. La Poste avait en effet décidé de réaliser un réseau privé, depuis sa séparation de France Télécom. La difficulté, pour les ingénieurs de La Poste, résidait principalement dans le manque de données concrètes sur les trafics de leur réseau. En effet, tant qu'ils étaient une Direction des PTT, le réseau était considéré comme de la consommation de ressources internes du Ministère, sans impact financier. Après leur séparation, il s'est avéré que La Poste devait toujours payer France Télécom en fin d'année, car La Poste consommait plus de ressources de télécommunications que l'inverse.
Il s'agissait donc de raccorder les 17 000 bureaux de Poste sur les différentes applications des différents métiers de La Poste. L'avant vente a construit, là aussi, une longue et fructueuse expérience. Environ deux ans de travail en commun ont permis de concevoir le plus grand réseau X25 privé européen.
L'optimisation de réseau, que nous avions pratiquée à grande échelle sur le secteur bancaire, les a évidemment séduits. Mais avec un niveau d'exigence que nous ne connaissions pas ! En effet gagner 1% sur le coût de fonctionnement du réseau, c'était économiser le coût de fonctionnement d'un département !
La sécurisation du réseau a également beaucoup intéressé La Poste, car c'est elle qui verse les aides sociales et qui avait déjà connu des débordements violents, dans certains bureaux de poste qui ne pouvaient pas verser ces aides à cause d'un problème informatique. La Direction du réseau ne voulait absolument pas être responsable de tels débordements.
En Octobre 1991, TRT a été retenue seule, suite à un appel d'offre pour réaliser un réseau Pilote sur le département de l'Ille et Vilaine avec les produits NPX09 et NPX90. Suite à la réalisation de ce premier contrat sans problème, La Poste a lancé un deuxième appel d'offre pour la généralisation. TRT a répondu avec des produits nouveaux de la gamme MCX 112, 212 et 212 redondant. Et nous avons été retenus avec la SAT. TRT fournissait plus de 1500 concentrateurs et la moitié des modems (17 000 Sematrans 256), la SAT fournissant l'autre moitié des modems, ainsi que l'intégration des équipements en baie et l'installation sur site.

Et il y en eut bien d'autres…, le Ministère des Affaires Sociales, la Direction Générale des Impôts, la RATP, le Ministère de l'Intérieur (après un premier échec face à la SAT), des hôpitaux comme le CHU de Lyon…

L'industrie
Le monde industriel, plutôt implanté sur de gros sites peu nombreux, n'a pas été intéressé par ce type d'offre.

Les ventes internationales
Les ventes internationales se font à travers 3 différents réseaux de vente :
1) Le réseau Philips : Ces organisations de petite taille ont des succès commerciaux principalement en : o Europe (Italie, Hollande, Belgique, Suisse) ou elles enregistrent des succès tels que :
- Italie : Réseau de la marine nationale
- Suisse : Réseau Migros
- Hollande : Volvo
- Portugal : " Portuges Railways "
o Asie
- Thaïlande (3 Grandes Banques : KTB,…)
- Japon (Sony)
- Indonésie : Grandes banques et Administrations
- Corée : Kia Motors
2) Les ventes indirectes : Au travers de distributeurs bien implantés dans leur pays :
- Angleterre (Métro de Londres, Bourse, Transpac UK)
- Allemagne (Universités)
- Afrique du Nord (Banques), etc…
3) Les ventes en OEM : Les produits de commutation de données ont été mis au catalogue de grands constructeurs :
- Stratacom (Société Américaine leader dans le domaine du Frame Relay) : Vente de plus de 3 000 produits d'accès TRT a travers le monde entier. On peut citer Télécom Italie, Rabobank en Hollande, Nedbank en Afrique du Sud qui ont été des réseaux d'environ 1000 produits d'accès chacun.
De plus, Stratacom a été racheté peu de temps après la signature avec TRT, par CISCO l'Américain, N°1 mondial de l'interconnexion de réseaux locaux.
Et TRT fut la seule société à avoir des produits au catalogue de CISCO.
- SPRINT (Une grande référence aux USA):
Vente de produits, en accès, pour le grand réseau Américain SPRINT, et gestion de réseau d'un des plus grands opérateurs "longue distance".
ALCATEL : mise au catalogue Alcatel des produits d'accès TRT. Vente de 2 000 produits à travers le monde entier. On peut citer de grands réseaux tels que : DISCO en Argentine (grande distribution), la poste du Venezuela, DPWH aux Philippines (Infrastructure routière), Banco Central au Pérou.



Les PRODUITS qui ont permis de réaliser tous ces succès


Le premier Commutateur du réseau TRANSPAC : le CP50
Il permet le raccordement de 360 lignes synchrones et 128 lignes asynchrones et commute 1000 paquets par seconde (à partir de 1985).
Un centre peut compter jusqu'à 32 commutateurs CP50, raccordés entre eux par un bus temporel à 10 Mhz, avec un débit utile de 26 Mb/s.
Il contient 5 cartes processeur du type RISC, réalisées sans circuits LSI. Le commutateur est composé de 2 chaînes identiques, l'une étant opérationnelle et la 2ème en secours. Le basculement est commandé par l'ordinateur de supervision (MITRA 125).
Photo d'un centre TRANSPAC équipé de 3 CP50 avec à gauche, les armoires MITRA 125





La saga COMPAC
(nom de la gamme des commutateurs de paquets de TRT)


Du plus grand au plus petit: 20 ans les séparent!

CP1 :
C'est la première brique du "LEGO COMPAC".
Monocarte, à base de microprocesseur Z80,
le Chargement du logiciel se fait à partir d'une micro-cassette.
Il a équipé le réseau de l'ANPE et fait denombreuses campagnes
Africaines dans le cadre du réseau ELF GABON.
CP8 :
C'est un mini CP50, bénéficiant de processeurs intégrés de type Z80, mais il a eu seulement 2 applications: les travaux publics Belges (le matériel était installé dans des cabanes le long des autoroutes) et le centre terminal annuaire à Rennes.
NPX 90 :
C'est le premier développement autour d'un processeur MOTOROLA 68 000. Le bus interne est du type "SM BUS", propriété du CNET. Le chargement du logiciel se fait à partir d'une disquette. Il est utilisé pour la supervision du réseau téléphonique, lors du passage à la numérotation à 10 chiffres en 1985, ainsi que dans le réseau RESEDA de l'armée (projet TRT/CSEE). Il constitue par ailleurs le nœud de transit international X25 de France Télécom.
NPX 09 :
Conçu autour d'un processeur de traitement MOTOROLA 68 008 et d'un co-processeur de signal TEXAS TMS320 qui gère les entrées/sorties, son logiciel est exécuté à partir d'une cartouche amovible. C'est le Concentrateur Local d'Entreprise de TRANSPAC, situé à la périphérie du réseau, et aussi la brique de base de nombreux réseaux privés bancaires. C'est aussi le module de gestion des faisceaux de télévision de TDF (un CP9 dans chaque relais hertzien). Etc...

LA GAMME MCX 100/200 :
Cet équipement est élu "HOT PRODUCT" par le magasine Américain DATA COMMUNICATIONS au SICOB 1992. C'est une machine bi-processeurs fonctionnant en parallèle (MOTOROLA 68 302 qui intègre en plus 3 canaux d'entrée/sortie série et la gestion mémoire associée). Très modulaire (12 à 108 lignes), elle est interconnectable facilement à l'aide de liens série (genre USB de nos PC), gérés par un TRANSPUTER INMOS.



MCX 212 Y :
Développé à l'occasion du projet pour La Poste, il assure la continuité de service en cas de panne d'un module, sans détériorer la capacité de commutation ni le nombre de raccordements. Il a fait l'objet d'un brevet international.
MCX 104 :
Equipement d'extrémité optimisé avec adaptateur RNIS intégré. En version 48volts, a équipé tous les centraux téléphoniques de classe 4 (petits centraux sans personnel) pour gérer les alarmes.
MCX 103 :
Le plus petit des équipements de la gamme COMPAC puisqu'il utilise le boîtier d'un modem. Cet équipement, avec accès RNIS intégré, a équipé tous les bureaux de tabac pour enregistrer les paris du PMU et les jeux de la Française des Jeux.
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brupala Messages postés 109458 Date d'inscription lundi 16 juillet 2001 Statut Membre Dernière intervention 26 avril 2024 13 624
14 janv. 2008 à 22:59
waouf, le passé qui saute à la figure .
Séquence nostalgie :
toute ma jeunesse,
salarié TRT pendant 10 ans .
me suis frotté pendant des années aux npx et mcx, frx aussi en frame relay, ils ont oublié car un peu hors sujet , époque glorieuse .
mais révolue.
Dommage, mais merci pour le copié collé .
0
merci chef
0
X.25 est un protocole de communication normalisé par commutation de paquets en mode point à point offrant de nombreux services.
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brupala Messages postés 109458 Date d'inscription lundi 16 juillet 2001 Statut Membre Dernière intervention 26 avril 2024 13 624
3 juin 2003 à 09:46
Salut,
avantages x25:
Réseau beaucoup plus sûr.
controle de flux au niveau 3 (acquitement à chaque noeud)
retransmission (par le lapb niveau 2) des trames erronées (sur la liaison concernée seulement)
assure l'ordre des paquets.
inconvénients:
fait trop de controles pour les lignes numériques actuelles.
protocole assez difficile à configurer, nombreux paramètres.
trop lourd pour pouvoir faire de la commutation purement hardware , commutation logicielle presque obligatoire, donc performances plus limitées que ATM ou FR

et ... Voili  Voilou  Voila !
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fofie Messages postés 47 Date d'inscription jeudi 22 mai 2003 Statut Membre Dernière intervention 4 juin 2003
3 juin 2003 à 10:32
merci à tous pour vos explications
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salam
X25 : est on fait un reseau a lui meme tel que les reseaux interbancaire ,ou bien transpac , mais mais peut servir egualement a transporter de l'IP , le paquet IP arivant sur un ligne X25 est encapsule ( intégré a un protocole )
puis transmis sur ce reseau .
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Étonnant personne a parlé de PROTOCOLE
X25 est un protocole de communication avant tout.

Il vous demande l'heure et vous lui expliquer le fonctionnement de la montre.
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brupala Messages postés 109458 Date d'inscription lundi 16 juillet 2001 Statut Membre Dernière intervention 26 avril 2024 13 624
11 avril 2005 à 15:05
il a aussi pour vocation ....... à disparaitre (réservé aux musées).
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Il n'y a pas que les applications "grand publiques"... Pour de nombreuses applications pointues (en l'occurence dans les réseaux de conctrole aéronautique, mais surement bien d'autres), ce protocole n'est pas pret de disparraitre.
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les reseaux de contrôles aéronautique veulent migrer vers L'ip
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C'est une technologie pour les wan qui n'est plus bcp utilisée

c tout ce que je sais
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une carte x25 est une carte permettant d'utiliser les réseau "transpac" qui sont des reseaux a commutations de paquets: intéret tu paye au volume envoyé et pas a la durée de connexion. Les entrrperises l'utilisent pas mal. Si je dis pas de connerie en plus contrairemnt a l'internet tu recois les paquets dans l'ordre sans perte du sequencement. (mode connecté je crois)
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sebsauvage Messages postés 32893 Date d'inscription mercredi 29 août 2001 Statut Modérateur Dernière intervention 21 octobre 2019 15 655
2 juin 2003 à 13:06
Et contrairement à Internet, il y a établissement préalable d'un chemin pour les paquets, une sorte de commutation à l'instar du téléphone, mais avec des paquets.
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choubaka Messages postés 39375 Date d'inscription jeudi 4 avril 2002 Statut Modérateur Dernière intervention 14 avril 2024 2 100
3 juin 2003 à 08:26
Donc pour résumer, X25 est un protocole de transport par paquets en mode connecté.

Chouba
Casque Bleu forumique
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C'est:

- un protocole de communication normalisé,

- un protocole de commutation de paquets,

- qui intègre les trois couches physiques du modèle OSI.

IL A POUR VOCATION:

- de banaliser le réseau de transport,

- de fédérer l'ensemble des réseaux,

- d'optimiser l'utilisation des lignes,

- d'augmenter la sécurité des communications,

- d'abaisser les coûts télécoms.
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salut à tous
moi aussi, je voudrai que quelqu'un m'expique clairement ce qu'est X25.
merci
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Toeic Messages postés 51 Date d'inscription vendredi 16 mars 2007 Statut Membre Dernière intervention 24 août 2007 2
9 mai 2007 à 14:53
ben je pense qu'en cherchant de la doc sur le net concernant X25, ca devrait donner de bonnes explications....

sinon, comme dit et redit et reredit au dessus, c'est un protocole de communication a commutation de paquets en mode connecte.

comme pour l'exemple cite au dessus avec le controle aerien, ca sert a des entreprises qui ont besoin d'acheminer de petites quantites d'information, mais qui doivent etre sures a 100% que ces informations arrivent.
Il me semble que c'est le protocole de communication utilise entre les banques et leurs distributeurs....

et je pense egalement (comme evoque plus haut) que le protocole va disparaitre parce que sa principale utilite etait de facturer le volume de data transfere, mais avec "l'avenement" de la fibre optique, on ne se souci plus vraiment des volumes et temps de connexion...(ce n'est que mon avis)
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lol ... pas mal ta réponse shérif ... même deux ans après
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Mais c quoi la transmission par paquet
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brupala Messages postés 109458 Date d'inscription lundi 16 juillet 2001 Statut Membre Dernière intervention 26 avril 2024 13 624
14 janv. 2008 à 23:06
on désigne la transmission par paquets (au niveau réseau car le niveau liaison reste des trames multiplexées ) en opposition à la transmission synchrone ou par blocs /trames qui nécéssitent une certaine synchronisation entre l'emetteur et le récepteur .
les paquets sont au contraire envoyés aléatoirement sur le réseau au hasard des capacités de transmission du support , donc certitude de l'acheminement mais sans garantie de délai .
en gros, ce sont principalement les réseaux x25 et les réseaux tcp/ip .
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bjr a tous
j ai lie et relie tt ca et je n arrive pas a comprendre encore c koi le x25 est ce ke kelk1 peut maider a meclaircir les idees sur ct affreux protocole je voudrais ke vous me le comparer a un autre protocole est ce ke le x25 et comme la pile tcp/ip,ou tcp,ou ip.
meci c urgent
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brupala Messages postés 109458 Date d'inscription lundi 16 juillet 2001 Statut Membre Dernière intervention 26 avril 2024 13 624
3 févr. 2008 à 23:58
Salut,
1- http://www.commentcamarche.net/ccmguide/ccmcharte ecriture.php3#ecriture
c'est très pénible de te lire .
2- Pourquoi dis tu que que X25 est un affreux protocole alors que tu n'y connais rien ?
sinon ,oui x25 est comme la couche tcpip , il agit au même niveau dans les réseaux , ils ont même été longtemps en concurence .
une fois on transportait IP dans X25 (RFC 877 et 1356) et une fois on transportait X25 dans IP (XOT)
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x25 X25 est un protocole de communication ,qui verifie trop les paquet au contraire de ip
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brupala Messages postés 109458 Date d'inscription lundi 16 juillet 2001 Statut Membre Dernière intervention 26 avril 2024 13 624
18 mai 2008 à 23:35
c'est principalement lié à un époque et des supports de transmission différents :
du temps où x25 a été mis en oeuvre les lignes de transmission n'étaient pas trés fiables et assez lents , il fallait détecter et corriger les erreurs le plus tôt possible afin d'éviter que les couches hautes n'attendent trop pour se charger ensuite de la fonction .
tcpip fonctionnera beaucoup mieux sur une liaison rapide et sans erreurs de transmission , mais si la liaison est de mauvaise qualité (pertes de l'ordre de 1 bit sur 10000) la connexion tcpip deviendra vite catastrophique et beaucoup moins efficace qu'un CV x25 .
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choubaka Messages postés 39375 Date d'inscription jeudi 4 avril 2002 Statut Modérateur Dernière intervention 14 avril 2024 2 100 > brupala Messages postés 109458 Date d'inscription lundi 16 juillet 2001 Statut Membre Dernière intervention 26 avril 2024
19 mai 2008 à 07:54
c'est pas faux ..
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C'est dingue malgré le temps qui passe, il reste toujours du X25 à remplacer par les nouvelles technologies, soit à cette date remplacé par des solutions VPN (SSL/TLS..)
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