Crise financiere Americaine

Fermé
BABY - 12 déc. 2008 à 15:56
 panphile - 2 févr. 2009 à 08:03
Bonjour, j'ai une recherche a faire sur la crise financiere americainne recente et je ne sais pas vraiment d'ou commence?? et je dois faire 2 page de synthese a la fin
si quelqu1 peux me donner un coulp de main sa serai gentille Mercii...

2 réponses

forum informatique ici
0
brudao Messages postés 524 Date d'inscription samedi 10 février 2007 Statut Membre Dernière intervention 16 octobre 2014 14
12 déc. 2008 à 16:48
tu pars sur google tu tapes crise financière et tu verras beaucoup de resultat comme ça: http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/la-crise-financiere-americaine-44624
tu selectionne, tu lis et tu prends ce qui t'intérresse
0
Annonce

Economie : Crise financière mondiale

Enfin une solution universelle à la crise financière mondiale !

Alerte ! Un nouveau marché électronique d’instruments économiques pour résoudre la crise financière mondiale dans un très court terme : SMART,
Un Marché intelligent et d’indice d’alerte appelé le Smart.

SMART!
Super Market-Advanced Regulation of trade
Passez à la vitesse supérieure!

Né d’une initiative d’innovation et de créativité hautement développée, SMART (Super Market - Advanced Regulation of Trade) est un marché de régulation automatique de l’économie mondiale, qui a été construit à partir de la Loi de la globalisation comme solution clé à la crise financière.

Alerte !

Suite à la crise financière qui affecte aujourd’hui l’économie mondiale, et qui a entraîné jusqu’ici la faillite de plusieurs entreprises, les pertes colossales de certaines banques, les chutes des valeurs boursières, la baisse du pouvoir d’achat, l’aggravation du taux de chômage avec l’annonce constante des vagues de licenciements à travers le monde, la baisse rocambolesque des prévisions de croissance du Fonds Monétaire international à 0,5% pour l’année 2009, contrairement aux attentes prévues jusqu’ici et qui étaient de l’ordre d’environ 2,2%, et sans toutefois oublier le climat général de méfiance qui s’est désormais installé au sein des marchés du crédit,
Je tiens à informer vivement l’ensemble des agents économiques, Gouvernements, Banques, institutions financières et institutions de recherches économiques et soucieux de la situation alarmante de crise dans laquelle l’économie mondiale se trouve plonger aujourd’hui, qu’une solution a enfin été trouvée.
Il est temps d’agir car la crise elle, ne cesse de battre son plein, causant ça et là des désastres considérables. Je pense ainsi aux personnes qui, faute de licenciement, ne parviendront plus à subvenir à leurs besoins ni à ceux de leurs familles à travers le monde. Je pense également aux enfants qui ne pourront plus bénéficier d’une éducation et un encadrement justes, faute de moyens financiers. Je pense aux famines qui vont davantage sévir à travers le monde sans oublier, l’aide au développement y compris l’aide humanitaire qui connaîtront sans doute une diminution. Je ne saurais terminer momentanément mes lamentations, sans penser à tous ceux là qui ont perdus leur logement ou leur fortune, fruit de plusieurs années d’efforts et de dur labeur et qui aujourd’hui, se retrouvent sans rien.
Par la grâce de Dieu, une solution importante de sortie effective à la crise financière mondiale est enfin mise sur pied et bénéfique pour tous. Bien vouloir y manifester un intérêt et la prendre au sérieux.
Lisez donc attentivement tous les détails inscrits dans cette annonce explicative et vous comprendrez peut-être. Merci !

Une solution qui vient d’ailleurs !

L’histoire biblique de l’humanité nous enseigne que l’Egypte par le passé, allait connaître une grande crise économique qui devait se traduire par une famine générale dans l’ensemble du pays. Le pharaon d’Egypte, en tant que leader de ce temps et qui fut avertit en songe par Dieu sur ce désastre à venir, ne fut cependant pas capable de traduire l’énigme de ses rêves qui ne s’articulaient qu’autour d’un seul sujet à savoir la crise à venir. C’est alors que dans la prédilection divine de Dieu, un seul homme, de rang social méprisable, un esclave dans la maison de pharaon et qui était habité par la connaissance de Dieu, fut le seul capable dans un premier temps, à traduire les songes de pharaon restés alors jusque là, indéchiffrables par les sages d’Egypte, magiciens et devins de toutes sortes. Et dans un deuxième temps, ce même homme fut apte à proposer une solution juste et apparemment ridicule aux yeux de Pharaon, mais dont le conseil de son entourage l’a rapidement convaincu de l’honnêteté et du courage d’une telle solution. C’est homme s’appelait Joseph dont le nom signifie : « celui qui ajoute ». C’est donc par l’ajout de cette solution miraculeuse et qui a consisté à la pratique des mesures restrictives en matière de prévisions, et visant à réaliser des prélèvements de l’ordre de 1/5 sur chaque récolte par habitant, que l’Egypte fut épargné de la grande famine (crise économique).
De nos jours, avec l’accroissement du développement et la haute technicité et la superindustrialisation de certaines sociétés et qui donnent naissance au système capitaliste, une crise telle que celle qu’a échappé par le passé l’Egypte, est assimilable aujourd’hui à la crise financière mondiale.

L’économie mondiale aujourd’hui est confrontée comme par le passé, à la même difficulté qui est celle d’expliquer :
- Dans un premier temps l’énigme de la crise financière notamment, à travers la globalisation dont, les lois du quantitativisme politique de son modèle économique, laissent paraître le grief de la globalisation.

- Dans un deuxième temps d’apporter des solutions concrètes, et convaincantes, bénéfiques pour tous et promptes à résoudre la crise financière mondiale.

Il s’agit donc là, d’un rôle donc l’action salutaire est supposée venir de n’importe quel personnage à travers le monde c’est-à-dire, la solution qui vient d’ailleurs.
Et comme le disais Einstein : « Aucun chemin ne mène de l’expérience à la création d’une théorie, mais une théorie peut être vérifiée par l’expérience ».

En un mot, D’où vient la crise financière ?

Au lendemain de l’entrée au troisième millénaire qui est celui de la mondialisation caractérisée par la globalisation des échanges, on assiste à des « vagues » pessimisme et optimisme de la part des agents économiques.
L’initiative de recherche du grief de la globalisation par l’union européenne, illustre bien l’un des cas du pessimisme qui pouvait bien naître des préoccupations des politiques concernant l’incertitude sur l’avenir, dans la globalisation des marchés.
Le comportement des marchés, par souci de se développer rapidement face à l’incertitude de l’avenir, tout en appliquant sur le plan politique des mesures plus ou moins restrictives, a aussi sans doute, d’une manière ou d’une autre, contribué à nourrir l’effet à la fois pessimisme et optimisme des différentes économies. Sans oublier les facteurs monétaires, les facteurs réels et les facteurs psychologiques susceptibles d’occasionner des fluctuations dans l’ensemble des activités économiques.
C’est dans ce contexte que nous pouvons expliquer de manière globale l’origine complexe de la présente crise financière de causes premières assimilables aujourd’hui aux subprimes et dont, les ambitions spéculatives et l’optimisme de certains agents économiques a empêché d’en évaluer la portée économique.



Comment comprendre et saisir les différents niveaux d’intervention pour résoudre la crise financière ?

Pour saisir de manière logique, les différents niveaux d’intervention pour résoudre la crise financière, appliquons le fameux principe de la circulation sanguine au fonctionnement de l’économie.
Cette démarche est nécessaire et indispensable pour des mesures de cohérence au niveau des explications, ainsi qu’à la justification d’un nouveau marché électronique d’instruments économiques appelé SMART comme, solution à la crise financière.

Application du Principe de la circulation sanguine pour la recherche des niveaux d’intervention pour résoudre la crise financière.

Le fonctionnement de la circulation sanguine dans le corps humain est régi par le cœur. En tant que organe de forme ovoïde, le cœur est constitué de quatre cavités : une oreillette et un ventricule droits qui constituent le cœur droit et, une oreillette et un ventricule gauches qui constituent le cœur gauche. Oreillette et ventricule communiquent par une valvule qui ne permet le passage du sang que de l’oreillette vers le ventricule.
Dans son processus de circulation, le sang arrive donc par les veines caves à l’oreillette droite, passe dans le ventricule droit, qui l’envoie au poumon, où il se débarrasse du gaz carbonique et se charge d’oxygène ; il revient ensuite à l’oreillette gauche, passe dans le ventricule gauche et est enfin envoyé dans tout l’organisme à travers les vaisseaux sanguins en passant par l’aorte.
C’est dire à titre récapitulatif que le sang suit dans l’organisme un parcours ordonné et constant sous l’effet mécanique du coeur.
En cas de disfonctionnement, la vitesse de circulation sanguine ne respectera plus la moyenne ou la normale.
Il faudra alors constater les perturbations par une éventuelle prise du pouls du patient c'est-à-dire, qu’on mesurera la vitesse des pulsations de celui-ci. A noter entre parenthèse que les pulsations en question se font ressentir au niveau des vaisseaux sanguins du bras à titre d’exemple et sur lequel est pris le pouls en question.
Du diagnostic ainsi élaboré, on adaptera ainsi un traitement approprié.
Quelques jours après apaisement, une prise nouvelle du pouls indiquera une régulation normale de la circulation sanguine de celui-ci, par une constatation des pulsations normales.
Il s’agit là de la régulation sanguine qui est son processus de normalisation.
Le même principe peut être assimilable au disfonctionnement du climat (effet de chaleur excessive ou de froid intense) par des mesures de régulation thermique.

Tout comme la régulation sanguine ou la régulation thermique, nous pouvons aussi appliquer dans le contexte de crise financière, caractérisée par le disfonctionnement général de l’économie, le principe de la régulation économique afin, de parer au profond déséquilibre économique que connaît le monde.

Mais comment est-ce possible ?

L’économie tout comme l’organisme humain constitue un ensemble vivant dont le fonctionnement est régit par un organe moteur qui est le capitalisme.
Le capitalisme est donc le cœur de l’économie mondiale.
Le disfonctionnement de l’économie mondiale, qui se caractérise par la contraction, explique bien la « panne mécanique » qui affecte aujourd’hui le capitalisme. Cette complication désormais née, a pour effet, le ralentissement du principe d’accélération général de l’économie et dont la vitesse, ne respecte plus la moyenne ou la normale d’où, la récession et ses conséquences.
Pour constater les perturbations de l’économie en général et du capitalisme en particulier, procédons à une prise du pouls de l’économie mondiale, aujourd’hui en désagrégation.
Attention, la prise du pouls de l’économie mondiale suppose examiner celle-ci par assimilation à un ensemble physique, c’est-à-dire qu’il nécessiterait alors de mesurer la vitesse des pulsations de ses vaisseaux conducteurs, par affiliation aux vaisseaux sanguins dans le principe de la circulation sanguine.

Les entreprises, vaisseaux conducteurs de l’économie mondiale et creuset de la révolution industrielle !

Cependant, et par compréhension, les entreprises en tant que creuset de la révolution industrielle et dont, l’action dans le temps converge à la formalisation puis, à la formation du capitalisme, constituent les vaisseaux conducteurs de l’économie mondiale.
C’est dire de manière claire que, dans l’organisme vivant que représente l’économie mondiale, le capitalisme en constitue le cœur et les entreprises les vaisseaux conducteurs.
De la précision ainsi apportée, nous pouvons ainsi repérer les différents niveaux d’intervention pour résoudre la crise financière, et poser à cet effet un diagnostic certain visant avec certitude à une opération de résorption adéquate.
La prise du pouls de l’économie mondiale consistera alors, à mesurer la force des pulsations de ses vaisseaux conducteurs que sont les entreprises.
Toutefois, en période de crise financière, les entreprises connaissent une baisse considérable de leur taux d’investissement entraînant ainsi, une réduction du principe d’accélération de l’économie. C’est ce qui peut alors expliquer les écarts considérables entre les offres et des demandes dans les marchés, et qui se traduisent généralement par la diminution des capacités d’action et de résistance des entreprises, ainsi qu’une baisse de leur niveau de gestion et rendement.
C’est cette attitude rétrograde et qui aura pour conséquence le disfonctionnement de l’économie mondiale et qui occasionnera alors par le même élan, une désintégration des marchés dans l’économie.

Le SMART, un stimuli 100% pour la régulation de l’économie mondiale !

Pour procéder à un véritable traitement, et qui consistera alors de manière appropriée à une régulation de l’économie mondiale, nous procéderons donc à l’injection d’un stimuli dans l’économie, et qui permettra alors un autoréglage des entreprises ainsi que des marchés.
Cette mesure résorbera alors à 100% la crise financière et, favorisera la reprise et l’expansion de l’économie ainsi que le rétablissement du disfonctionnement du capitalisme.
La résolution de la crise financière devrait donc au-delà de toute attente poser indubitablement, le problème d’existence de nouveaux instruments de contrôle et de régulation économique en tant que stimuli.
C’est dans cette optique qu’intervient la nécessité d’intégrer dans l’économie et cela, sous la base des recherches, un nouveau marché électronique d’instruments économiques appelé le SMART et dont, l’indice d’alerte est appelé le SMART.



C’est quoi le SMART ?

Le SMART (Super Market - Advanced Regulation of Trade) est une réponse universelle à la crise financière mondiale. Il s’agit d’un indice d’Alerte pour la régulation économique, et qui permettra de connaître et de suivre grâce à trois indicateurs qu’il contracte en son sein, l’évolution des pouvoirs polimétriques des marchés.
Les pouvoirs polimétriques sont constitués par l’ensemble des capacités d’action et de résistance des entreprises, ainsi que leur pouvoir de gestion, stimulateur de rendement, y compris, leur niveau d’intégration dans l’économie mondiale. Les informations quant à elles concernant ces marchés sont appelées données polimétriques des marchés.

Quel avantage de connaître les pouvoirs polimétriques des marchés ?

Pour la petite histoire, ce sont les lois du quantitativisme politique de la globalisation qui laissent paraître et connaître par programmation, l’existence de telles pouvoirs quantifiables et que regorgent les marchés.
Ces pouvoirs qui sont généralement oubliés, représentent cependant l’essence vitale des marchés, dont l’énergie motrice régit leur fonctionnement.
A travers ces pouvoirs, nous constatons que les marchés possèdent des facteurs variables qui définissent ainsi leurs mouvements. De ce fait, un marché connaîtra par exemple une forte capacité d’action lorsque, les biens et services échangés dans ce marché auront en fonction de la demande, une vitesse de circulation assez considérable. Les marchés peuvent aussi présenter une certaine résistance notamment face à la concurrence de la part des marchés voisins et des conjonctures diverses. C’est la diminution de la résistance des marchés qui conduit généralement au recul, en entraînant parfois une baisse même du niveau de la croissance économique puisque, l’effet de recul des marchés possède des répercussions sur l’ensemble de l’économie. Un tel marché aura donc réellement du mal à s’intégrer et connaîtra par conséquent, une baisse constante de son niveau d’intégration.
Dans un marché gigantesque et complexe tel que la globalisation, connaissance des pouvoirs polimétriques des marchés est indispensable pour l’application des mesures de régulation au mieux pour résoudre la crise financière mondiale.
C’est par abstraction extensive ou totale que nous parvenons à comprendre que, la perte continuelle des pouvoirs polimétriques des marchés, traduit l’effet de ralentissement de l’investissement dans l’économie et qui, a tendance à diminuer la demande, entraînant ainsi un recul du multiplicateur d’investissement et de son principe d’accélération. C’est ce mouvement ridicule des pouvoirs polimétriques des marchés et sous l’effet de plusieurs facteurs plus ou moins complexes, qui est généralement cause des crises à l’exemple de la crise financière mondiale.
Contrôler les pouvoirs polimétriques des marchés revient donc à contrôler de manière efficace, les mouvements de crises par des méthodes de régulation économique appropriées et dont fait preuve le SMART.

Quel est le rôle du SMART dans la régulation économique ?

En tant stimuli et élément fondamental dans la régulation économique, le SMART permettra d’élucider périodiquement grâce à un système automatique, les pouvoirs polimétriques des marchés, tout en y ressortant quantitativement les différents écarts, qu’accompagneront alors des graphiques ainsi que des niveaux d’interprétation économiques et d’importants commentaires.
Le SMART présentera de ce fait, à travers ses indicateurs, les tendances polimétriques des marchés dont la connaissance, permettra de savoir d’avance les tendances reflétées par les indices boursiers et d’apprécier par régulation.
Le SMART constituera ainsi un instrument de contrôle, de régulation et d’Alerte économique des fluctuations des marchés dans la globalisation. Ainsi, les erreurs commis dans le passé ne se répèteront plus.

Quels sont les rôles spécifiques du SMART dans l’expansion économique mondiale ?

Le SMART possède des rôles majeurs qu’il faut distinguer dans sa fonction notamment de régulation économique et qui permettront une expansion économique sans précédent.






Fini les placements à risque Pour les banques !
Désormais votre argent est garanti !
Avec le SMART, nous pouvons désormais évaluer la portée économique des spéculations.

La crise financière que connaît actuellement l’économie mondiale, est en partie la cause de l’irrationalité accordée aux bénéfices recherchés dans l’investissement. C’est ainsi que les spéculations boursières qui sont l’un des rouages du capitalisme financier, demeure sans outils économiques d’encadrement, dans un contexte aussi complexe qu’est la globalisation.
L’indice SMART à travers l’observation des ses niveaux de variation, viendra alors corriger cette erreur errante dans le libéralisme économique depuis des décennies, en concevant un véritable baromètre économique pour les banques, les investisseurs et les épargnants.

Le SMART, une assurance pour les Banques, investisseurs et épargnants.

Avec l’évaluation de la portée économique des spéculations, les investisseurs ainsi que les banques seront à l’abri des placements à risque mais aussi, des malversations financières, ainsi que des ruses frauduleuses liées à des dissimulations d’actifs. Cela est possible lorsqu’on sait que, pour que ces exactions soient plausibles, il faudrait qu’à une certaine période, les investisseurs soient envahis par l’optimisme des marchés né, du principe de dissuasion virtuel de la part de certains acteurs de la finance international par la diffusion d’informations qui parfois, présentent des données qui ne coïncident pas toujours avec le véritable climat économique en question ou alors, qui n’ont aucun impact majeur sur celui-ci. Or dans un contexte de globalisation, un véritable marché dans l’économie mondiale n’est pas celui là qui, se laisse exclusivement piloter par des instruments financiers et dont, la seule fonction de rentabilité repose essentiellement sur le jeu de variation des cours des devises et matières premières et bénéfique pour certains seulement, selon le principe de l’offre et de la demande. Ne pas aller au-delà de ces routines, sans toutefois négligeable dans la régulation économique mondiale, serait faire croître plus d’irrationalité imparfaite que d’irrationalité parfaite dans l’économie. Loin de là, la régulation actuelle de l’économie n’a cependant pas besoin d’irrationalité mais, de rationalité dont le SMART par son caractère supplémentaire viendra pallier.

Le SMART, un véritable stimulant pour la relance du crédit bancaire et l’investissement

Pour favoriser des mesures incitatives à la demande de crédit, certaines banques, pour stimuler l’investissement par l’attraction des capitaux pour la reprise et l’expansion, ont revu à la baisse leur taux d’intérêt. C’est à titre d’exemple, le cas de la Banque Centrale Européenne dont, le taux directeur est passé de 3,25% à 2,5%.
En Angleterre, on assiste également à une baisse successive des taux d’intérêt dans un premier temps de 3% à 2% et, par la suite, de 2% à 1,5%.
Cependant en période de crise financière, de faibles taux d’intérêt ne suffiraient toujours pas à stimuler l’investissement si la demande de fonds prêtables, même à ces faibles taux, ne se manifestait pas.
Bien au contraire, c’est la conjugaison de fonds prêtables en quantité suffisante de faibles taux d’intérêt et de stimulants à l’investissement qui suscite une demande de fonds prêtables, et qui favorise la reprise et l’expansion ainsi qu’une résorption du chômage.
C’est donc pourquoi, nous constatons jusqu’ici, et malgré l’injection des milliards en monnaie, une difficulté majeure à relancer la machine de crédit et de l’investissement et considéré comme solution majeure pour rehausser le pouvoir d’achat et résoudre le chômage, qui a pris des proportions considérables.
Ce frein est sans doute lié, au manque de confiance qui plane encore dans les marchés car, avec la crise financière, naît une seconde crise plus aggravante qui est la crise de confiance des marchés interbancaires et qui va davantage entraîner la faillite des banques puisque, celles-ci ne se prêteront plus d’argent.
C’est donc remettre en question les pouvoirs polimétriques que disposent aujourd’hui les entreprises et les marchés et dont, aurons nécessairement besoins les banques pour connaître exactement ce que valent désormais en terme économique les entreprises ou les marchés afin d’y accorder proportionnellement des crédits.
Cette précision du SMART qui, permettra une distribution proportionnelle du crédit par les banques, par rapport aux variations des pouvoirs polimétriques des marchés ou des entreprises, épargnera alors les banques et institutions financières, de nouvelles formes éventuelles de subprimes, susceptibles de surgir à cause de l’ignorance des pouvoirs polimétriques des marchés.




Le SMART un stimulant du pouvoir d’achat

L’une des incidences de l’investissement sur l’économie est la relance du pouvoir d’achat avec la restauration du multiplicateur d’investissement et du principe d’accélération économique.
En période de crise, la récession indique bien un ralentissement des activités et par conséquent de la production, et cela, à cause du manque de moyens financiers. Ce ralentissement a donc véritablement pour cause une baisse générale du pouvoir d’achat par l’ensemble des consommateurs à savoirs les entreprises non financières, les entreprises financières, les administrations, les ménages.
Une relance du crédit bancaire et l’investissement par l’effet stimulant du SMART, entraînera indubitablement une stimulation du pouvoir d’achat.


Le SMART un créateur intelligent de richesses et d’emplois !
Fini le chômage !

Le SMART permettra de créer intelligemment des richesses et emplois considérables à travers la création d’entreprises.
Le principe est le suivant : les Gouvernements qui opèreront dans un tel marché auront par convention, les droits d’application du principe d’imposition de la taxe SMART dans leur législation.
La taxe SMART est une taxe assez négligeable compte tenu de sa valeur très dérisoire et qui est prélevée à l’ensemble des agents économiques, compte tenu des services bénéfiques dont tous profiteront. Il repose sur un principe de prélèvement forfaitaire et mensuel de l’ordre de 0,02%.
Les revenus provenant d’une telle taxe permettront uniquement et dans la transparence, au financement des projets de créations de petites et moyennes entreprises pouvant dégager des bénéfices estimables.
Cependant, une partie des revenus issus de la taxe SMART sera reversé dans ce marché. C’est ce qu’on appellera les « réserves SMART ». Le taux de réserves SMART obligatoires est de 1% et permettra ainsi au marché de contrôler la création de richesses et d’emplois à travers le SMART.
Toutes les entreprises qui seront créées à partir des revenus provenant de la taxe SMART, bénéficieront immédiatement et par convention d’une cotation gratuite au sein du marché de régulation SMART, pour permettre ainsi l’entrée immédiate de nouveaux investisseurs.
Avec le SMART, créez des actions libres
A travers le monde !
Génial !

Avec le SMART naît donc de nouvelles formes d’actions dans le monde à savoir les actions libres. Il s’agit d’un système très attrayant de rémunération qui permettra à tous les agents économiques de prendre part, passant par le nouveau marché électronique d’instruments économiques, au capital des entreprises issus des revenus de la taxe SMART, par des apports plus ou moins considérables et percevoir proportionnellement à ces apports, des dividendes dans n’importe quelle partie du monde sans toutefois à se déplacer.
Ce système qui est garant à 100% de l’investissement, permettra de créer comme il n’a jamais été fait dans le passé, des rémunérations considérables à travers le monde. On atteindra alors dans l’économie, des pouvoirs d’achat sans précédent ainsi qu’une croissance élevée.
Le principe est le suivant : en considérant qu’il y’a dans le monde des millions de chômeurs comme c’est d’ailleurs le cas, l’ouverture de plusieurs centaines d’entreprises par les financements issus des revenus de taxe SMART, favorisera la création de milliers d’emplois. Cependant, la machine du marché de régulation SMART ne s’arrêtera pas là. A travers son système de cotation libre et obligatoire selon la convention SMART qui sera adoptée, l’ensemble de ces entreprises devra alors procéder dès sa création, à une ouverture de capital aux investisseurs à travers le monde. Toutefois, dans ce marché de régulation, un investisseur ne sera pas forcément un gros argentier mais, un simple agent économique et considéré comme, une unité ou un centre d’action et de décision élémentaire sur le plan économique.
Ce serait alors régulariser la globalisation en la dépouillant de sa négativité.
Par hypothèse :
Pour une petite ou moyenne entreprise créée par les revenus SMART, si l’ouverture pour la participation au capital de cette entreprise s’élève par convention à 500 euros en apport, par l’investisseur qui est l’agent économique, celui-ci pourra alors par exemple recevoir de manière proportionnelle à sa participation, des dividendes comme rémunération et cela mensuellement. Il se posera alors tout simplement le problème de calcul de ces formes de rémunérations qui d’ailleurs ne poseront aucun problème.
L’avantage est qu’une telle entreprise avec des participations considérables d’investisseurs, pourra très rapidement accroître son capital et devenir une gigantesque entreprise et cela, dans une période très courte.
Démonstration :
Une entreprise A, créée par les revenus de la taxe SMART possède à son ouverture un capital de fonctionnement s’élevant à 30 000 euros par exemple.
Au cours d’une année, cette entreprise enregistre des participations en apport de capitaux par des investisseurs à travers le monde et dont, le nombre est de 2000 participations. Sachant que chaque apport moyen s’élève à 600 euros. On constate alors pour cette année, une augmentation du capital de cette entreprise qui passe de 30 000 euros à 1 230 000 euros. Ce qui permet à l’entreprise d’une manière ou d’une autre d’accroître non seulement sa production, mais d’avoir recours à des crédits considérables pour son agrandissement. C’est génial !!!
Dans un contexte de crise financière qui jusqu’ici, a fait à travers le monde des millions de chômeurs de plus, le SMART, permettra alors à tous ces chômeurs de pouvoir investir sans gêne et percevoir mensuellement une rémunération dans n’importe quelle partie du monde car, le SMART n’aura pas de frontière. Si ces personnes n’ont cependant pas de quoi investir dans le SMART pour percevoir une rémunération, elles pourront alors avoir recours à un crédit auprès d’une banque et dont, le SMART couvrira techniquement en terme de garantie. Plusieurs agents économiques pourront ainsi multiplier leurs actions d’investissement et gagner plus.
Ce système de rémunération permettra à toute personne disposant d’une somme limite d’argent, de pouvoir procéder aisément à des placements à travers le monde. Ce qui constitue encore un autre moyen sûr de pouvoir investir sans gêne, ni gaspillage.
De ce fait, l’entrée d’une nouvelle action au capital d’une entreprise crée est prélevée de frais de commission de 1% seulement. Ce qui permet alors à n’importe quel actionnaire d’être tenté d’y participer. Cependant l’actionnaire qui voudrait revendre ses actions et par convention au SMART, ne versera aucune retenu de commission à ce marché puisqu’il s’agit d’un marché de régulation. C’est dire qu’avec le SMART l’entrée d’une action entraînera une retenu de 1% de coût négligeable en commission tandis que, la libération de cette même action à savoir sa vente, sera sans retenus.
Par convention, toutes les offres, opportunités, informations ou annonces diverses relatives aux entreprises issues des revenus de la taxe SMART, seront publiées à travers le site du marché de régulation SMART.
Pour y accéder aux informations relatives au marché de régulation SMART ainsi que des autres entreprises, les internautes ou visiteurs intéressés devront souscrire gratuitement à l’ouverture d’un compte SMART dans le site du marché et dont, l’accès régulier nécessitera un code d’accès.
C’est alors que des millions de cartes prépayées SMART d’une valeur de 1,5 euros seulement et refermant des codes d’accès seront disponibles dans des points de vente à travers le monde et cela, afin de permettre aux internautes d’avoir accès quotidiennement à toutes les informations requises ; tout en y postulant aux divers opportunités soit de financement d’entreprises par les revenus de la taxe SMART, soit d’ouverture d’action et biens d’autres.
Des milliers de titulaires d’un compte SMART à travers le monde pourront aussi bénéficier mensuellement et de manière élective, des primes SMART qui leur seront accordés par voie de transfert et cela, par le biais d’informations créditant leur compte et qu’ils seront appelés à découvrir.
Cette mesure visera à activer mensuellement la demande en amplifiant le pouvoir d’achat dans le monde car, 1 000 000 de personnes qui recevront une prime SMART, c’est encore 1 000 000 de personnes appeler à dépenser. Ce qui est donc pour le SMART, un véritable stimulant du pouvoir d’achat ainsi qu’un additif pour la régulation économique.


Avec le SMART,
Créez en moyenne 50 entreprises par mois et limitez l’immigration.
Génial !

Pour un pays A possédant une population de 300 000 000 d’habitants et appliquant, le principe d’imposition de la taxe SMART ou taxe négligeable sur l’ensemble de la population active et qui représente les 25% de la population totale.
Nous retrouvons une population active d’environ : 75 000 000 de personnes (c’est-à-dire les 25%)
Pour une participation à un taux mensuel de 0,02%, nous avons en moyenne pour ce pays A, une recette mensuelle issue de la taxe SMART et évaluée à 3 750 000 dollars par mois.
Ce qui permet de financer la création de 50 entreprises (petites et moyennes entreprises) par mois. Ce qui est donc un véritable exploit. Au bout d’une année, le principe intelligent de la taxe SMART permettra alors dans ces conditions de créer plusieurs entreprises qui regorgeront un effectif considérable d’employés.
Ce serait alors créer des emplois considérables puisque, la création d’emplois dans un système de libéralisme nécessite forcément la création d’autres entreprises.
L’entrée des investisseurs dans ces entreprises grâce au système d’actions libres permettra alors une croissance exponentielle de ces entreprises.
Ces entreprises participeront à des cotisations sociales ainsi qu’aux diverses charges fiscales.
Le SMART contribuera alors à limiter considérablement l’immigration grâce à la mobilité globale de son système qui permettra d’établir désormais des marchés communicants.


Quelle particularité pour le SMART ?

La particularité du SMART est que les marchés pour préserver l’équilibre, pourront désormais communiquer par un langage SMART qui est un langage d’Alerte.
De ce fait, un marché de l’union européenne pourra régulièrement envoyer des SMART d’alerte à un autre marché par exemple de la Sous région d’Afrique Centrale ou d’Amérique du Nord.
C’est dire qu’à l’heure de la globalisation des marchés, entendu comme le Grand Rendez-vous du Donné et du Recevoir, il est important que les marchés dans cette nouvelle interdépendance, développent des canaux de communication significatifs et accessibles à tous, afin de valoriser tout en protégeant l’équilibre des échanges et assurer de justes bénéfices.

Avec le SMART c’est une nouvelle ère
Pour le marché mondial !

La globalisation est un vaste réseau de liaison des marchés, qui devraient amener les agents économiques à parler tous parler un même langage, à savoir le langage SMART. Le langage SMART est donc est un langage d’Alerte dans la régulation économique mondiale et qui trouve son fondement dans la Loi de la globalisation.
C’est une étude précédente, qui a permis de construire le SMART et donc, je m’abstiens de développer le procédé ici. A partir de cette étude, j’ai découvert il y’a presque 7 ans, une Loi d’intégration économique appelée : Loi de la globalisation et qui s’est traduite par une formulation mathématique de l’intégration dans le contexte de la mondialisation. Cette Loi laisse paraître dans sa lecture graphique une désintégration et déséquilibre de la structure économique mondiale qui, est par rapprochement la crise financière mondiale et, par excellence le grief de la globalisation.
Une technique particulière a permis de trouver rapidement un point de résorption du déséquilibre de la loi de globalisation qui, présente sur le plan mathématique, une structure graphique dégradante. C’est en bref, à partir de ce point d’équilibre qu’a été mis au point une programmation technique du SMART qui fait de la loi de la globalisation, la clé par excellence de la crise financière mondiale ainsi que le creuset des instruments de régulation de l’économie mondiale.
C’est dire que la présente crise financière mondiale, comme le krach boursier de 1929, n’est donc pas une fatalité pour l’économie. Bien au contraire, elle renvoie à la mise sur pied de nouveaux instruments économiques qui permettront une véritable régulation économique pour la croissance du marché mondiale.
La présente annonce fait état d’une solution importante visant à résorber efficacement la crise financière dans un très court terme et permettre ainsi à des milliers d’agents économiques de retrouver un équilibre économique satisfaisant.
De ce fait, le SMART est mis à la disposition de tout intéressé par ce système attrayant et bénéfique à tous en tant que bien commun dans la globalisation et dont, le premier bénéficiaire disposera les droits d’établissement.
Tout en espérant que vous saurez porter une attention particulière à ces propositions altruistes, tout en sollicitant le projet dans son ensemble, veuillez croire à ma détermination qui est celle d’apporter des solutions de choix et incomparables sur le plan international ainsi que d’autres idées génératrices de richesses.

« Sous estimer la jeunesse, c’est mépriser l’avenir et les institutions »

Bien vouloir manifester votre intéressement au SMART (Super Market - Advanced Regulation of Trade) en appelant l’initiateur, Joseph Roger EBEMBI Au (00237) 22 01 09 67 ou au (00237) 22 05 85 91.
A défaut, bien vouloir prendre rendez-vous en appelant Monsieur EBEMBI Théodore au (00237) 96 85 03 56.
Ou écrire à l’adresse suivante : concept_ebembi@yahoo.fr
0