Les 7 Meilleurs Protocoles VPN les Plus Courants : Lequel Choisir ?
Choisir un VPN, ce n'est pas seulement comparer les prix ou les services. Le protocole utilisé joue un rôle central. Il influence la sécurité de vos données, la vitesse de votre connexion, ou encore la capacité à contourner un pare-feu. OpenVPN, WireGuard, IKEv2, PPTP… Chaque protocole VPN a ses forces et ses limites. Certains sont parfaits pour le streaming, d'autres pour les connexions mobiles comme sur un Huawei ou un GlocalMe. D'autres encore sont pensés pour les routeurs comme Netgear. Le c
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C'est quoi un protocole VPN ?
Un protocole VPN définit la manière dont votre appareil communique avec le serveur VPN. Il gère la circulation des données, leur chiffrement et leur protection. C'est lui qui assure la sécurité de vos informations pendant leur transfert.
Quand vous activez un VPN, vous ne voyez pas tout ce qui se passe en arrière-plan. Pourtant, c'est le protocole qui fait le gros du travail. Il établit la connexion sécurisée, chiffre les données avec un algorithme comme AES, les encapsule, les transporte via Internet, puis les déchiffre à l'arrivée. Sans lui, pas de tunnel, pas de cryptage, pas de confidentialité.
Le protocole influence aussi trois éléments clés : la sécurité, la vitesse, et la stabilité. S'il est mal conçu ou dépassé, vos données peuvent fuir, la connexion peut devenir lente ou instable. S'il est bien optimisé, vous profitez d'un réseau sécurisé, rapide, fiable.
Par exemple, certains protocoles privilégient la vitesse : ils utilisent le mode UDP, qui envoie les paquets plus vite, mais sans vérification. D'autres préfèrent le TCP, plus stable, avec vérification à chaque étape. C'est un choix technique, mais il a un impact direct sur la navigation, le streaming, ou l'usage de services web. C'est aussi pourquoi les fournisseurs VPN proposent plusieurs options selon le serveur et le pays dans lequel vous vous trouvez.
Certains protocoles sont très bons pour contourner les restrictions. Ils passent les pare-feu, masquent le trafic, se fondent dans les connexions classiques. D'autres sont moins discrets, mais très rapides. Il faut donc adapter le protocole à la situation : vitesse sur un réseau libre, discrétion dans un pays très filtré, stabilité sur une ligne fragile.
Un protocole efficace, c'est aussi un protocole régulièrement mis à jour, avec un code clair, stable, vérifié. Certains fournisseurs proposent des protocoles maison, d'autres s'appuient sur des standards ouverts. Dans tous les cas, le protocole doit être compatible avec votre offre VPN, vos usages, vos serveurs favoris, et vos appareils.
Il n'existe pas de protocole VPN unique qui fait tout parfaitement. Certains sont très sûrs, mais lents. D'autres sont rapides, mais moins fiables. Le protocole idéal dépend de votre utilisation : contourner la censure, sécuriser vos données sur un Wi-Fi public, ou gagner en vitesse pour le streaming.
C'est pourquoi la plupart des services VPN offrent plusieurs protocoles avec des réglages automatiques en fonction du serveur, du pays ou de la qualité du réseau. Si vous n'êtes pas sûr du choix à faire, le mode automatique est souvent suffisant. Toutefois, comprendre le rôle du protocole vous permet de prendre une décision plus éclairée, surtout si vous souhaitez optimiser vos performances.
OpenVPN : Pourquoi continue-t-il d'être le protocole le plus recommandé ?
OpenVPN est l'un des protocoles VPN les plus utilisés. Il est simple à comprendre, très sécurisé, et surtout flexible. Ce qui séduit avec OpenVPN, c'est son côté open-source. Chacun peut vérifier son code. Pas de mystères, tout est transparent, et c'est un bon point pour ceux qui cherchent un VPN fiable.
Côté sécurité, OpenVPN fait le job. Il utilise un chiffrement AES-256, très solide. Il protège bien vos données, même sensibles, lors de la navigation ou du streaming. Comparé à d'autres protocoles comme PPTP, plus rapides mais moins sécurisés. En plus, il fonctionne sur tous les appareils : PC Windows, Android ou routeurs Netgear. Peu importe le support, OpenVPN s'adapte. Si vous êtes sur Wi-Fi ou mobile, comme avec un service type GlocalMe, il garde une connexion stable.
Il est aussi solide quand il s'agit de maintenir une bonne connexion, même si vous changez de réseau. Si vous passez du Wi-Fi à la 4G, par exemple, OpenVPN gère bien la transition. Ça vous permet de rester connecté sans trop de coupures, même si votre réseau est instable.
OpenVPN brille aussi quand il faut contourner des restrictions géographiques. Pour accéder à des contenus bloqués, comme Netflix dans un autre pays, connectez-vous à un serveur local. Cela vous permet de regarder des vidéos normalement inaccessibles.
En matière de performances, OpenVPN n'est pas aussi rapide que WireGuard, mais il reste efficace. Si la vitesse compte, WireGuard est un meilleur choix.. Mais si vous privilégiez la sécurité, OpenVPN reste une bonne option.
De plus, beaucoup de services VPN comme ExpressVPN ou NordVPN utilisent OpenVPN. Cela vous offre un large choix de serveurs, avec une connexion stable et sécurisée. Ces services optimisent aussi OpenVPN pour vous, ce qui rend l'utilisation encore plus facile.
La configuration d'OpenVPN peut être un peu délicate au départ. Pas de souci, des guides en ligne vous aideront. Une fois installé, vous pourrez ajuster les paramètres selon vos besoins en sécurité ou vitesse.
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WireGuard est-il vraiment plus rapide et plus moderne ?
WireGuard fait partie de ces nouveaux venus qui bousculent un peu les standards établis. Ce protocole VPN, encore jeune dans l'écosystème, s'est rapidement taillé une solide réputation. Pourquoi ? Parce qu'il va droit au but : une connexion rapide, simple, et qui ne vous fait pas attendre trois plombes pour se lancer. Si vous avez déjà pesté contre les lenteurs d'OpenVPN ou les caprices d'IKEv2, vous verrez tout de suite la différence. Même sur un réseau mobile un peu capricieux ou une connexion Wi-Fi d'hôtel poussive, la stabilité reste étonnamment bonne.
Une solution pensée pour le streaming, le jeu… et les connexions qui bougent
WireGuard montre aussi tout son potentiel dès qu'il faut de la vitesse. Streaming, jeu en ligne, visio : tout ce qui demande une bande passante constante gagne en fluidité. Les vidéos HD se chargent sans saccade, même sur Netflix ou YouTube. Et que vous soyez en 4G ou sur une fibre musclée, la sensation reste la même : c'est réactif, sans latence inutile. Ce n'est donc pas un hasard si des services comme NordVPN ou ExpressVPN ont adopté ce protocole.
Mais attention, tout le monde ne le propose pas encore. Certains fournisseurs s'en tiennent à des protocoles plus anciens. Avant de faire votre choix, un petit détour par la fiche technique de votre VPN est conseillé.
Côté sécurité, WireGuard n'est pas en reste. Il utilise des standards de chiffrement modernes, réputés solides. La gestion des clés a fait couler un peu d'encre, notamment sur son fonctionnement statique. Rien de problématique en soi, mais cela nécessite un suivi rigoureux, généralement pris en charge par le fournisseur.
En revanche, dans des environnements très verrouillés, comme certains pays où l'accès à Internet est étroitement contrôlé, WireGuard peut rencontrer des difficultés. Il n'a pas encore la robustesse d'OpenVPN face aux pare-feux les plus coriaces. Dans ce cas, mieux vaut garder une alternative sous la main.
IKEv2/IPSec est-il le meilleur choix pour les mobiles ?
Quand vous passez d'un Wi-Fi à une connexion 4G, ou que votre signal saute d'une antenne à une autre, la plupart des protocoles VPN perdent la connexion. Il faut alors tout relancer. IKEv2, lui, tient bon. C'est ce qui en fait un bon choix sur mobile. Que vous soyez dans un café, dans la rue ou dans un train, il s'adapte sans se déconnecter.
Techniquement, il fonctionne avec IPSec, une couche de sécurité qui chiffre vos données pendant qu'elles circulent. Rien de révolutionnaire, mais c'est solide. Le cryptage AES qu'il utilise est reconnu, fiable et largement adopté. En clair, ce que vous envoyez sur Internet reste protégé, même sur des réseaux publics.
Ce qui le rend pratique, c'est sa capacité à rétablir la connexion automatiquement quand le signal change. Vous ouvrez une appli, vous commencez à streamer, puis vous passez sous un tunnel ou vous coupez le Wi-Fi sans faire exprès ? Pas besoin de relancer le VPN. IKEv2 reprend là où il s'était arrêté. C'est fluide, ça évite les coupures, et surtout, ça ne vous demande rien.
C'est pour ça qu'il est souvent recommandé sur les smartphones Android, les iPhones, et même les tablettes. Les applis VPN qui intègrent IKEv2, comme celles de NordVPN ou d'autres fournisseurs populaires, l'ont bien compris. Ce protocole ne consomme pas trop de batterie, garde une bonne vitesse, et ne vous lâche pas dès que vous changez de réseau.
Côté vitesse, il tient bien la route. Ce n'est pas le plus rapide (WireGuard fait mieux sur ce point), mais il reste performant pour tous les usages classiques.
Par contre, il a ses limites. Si vous cherchez à contourner des pare-feu très stricts, comme ceux imposés dans certains pays, il peut être moins efficace qu'OpenVPN. Ce dernier est souvent plus difficile à bloquer, surtout sur des réseaux filtrés. IKEv2 peut se faire repérer plus facilement, selon les paramètres du serveur. Mais pour un usage classique, sur un réseau public ou domestique, ça ne pose pas de souci.
IKEv2 est simple à configurer. Sur la plupart des systèmes, il ne demande qu'un clic dans l'appli. Pas besoin de toucher au code ou d'installer quoi que ce soit manuellement. Il est aussi stable dans le temps, avec peu d'erreurs ou de bugs.
L2TP/IPSec est-il encore utile aujourd'hui ?
L2TP/IPSec a longtemps été un protocole VPN courant, souvent proposé par défaut dans les paramètres des systèmes comme Windows ou Android. Il combine deux éléments : L2TP, qui crée le tunnel, et IPSec, qui chiffre les données. Ensemble, ils offrent une connexion sécurisée, mais aujourd'hui, la question se pose : est-ce encore un bon choix ?
Techniquement, L2TP ne chiffre rien à lui seul. C'est IPSec qui fait le travail de sécurité. Le chiffrement AES utilisé avec IPSec reste solide. C'est d'ailleurs pour cette raison que L2TP/IPSec est encore toléré dans certains environnements, notamment dans des entreprises ou administrations qui ont gardé une infrastructure un peu ancienne.
L2TP/IPSec reste compatible avec beaucoup d'appareils. Sur Windows, Android, ou iOS, il peut être activé facilement sans devoir passer par une appli tierce. C'est aussi un des rares protocoles encore proposés dans les paramètres VPN intégrés des téléphones.
Voir aussi : notre comparateur de prix des offres VPN
Mais soyons clairs : ce protocole est en perte de vitesse. La raison principale, c'est qu'il est lent. Le double encapsulage des données, d'abord par L2TP, puis par IPSec, ajoute une couche inutile qui ralentit la connexion. Si vous faites du streaming, jouez en ligne ou utilisez un VPN pour du travail à distance, vous ressentirez la différence par rapport à WireGuard ou OpenVPN.
Autre souci : L2TP/IPSec peut être bloqué facilement. Certains pare-feu ou réseaux publics filtrent les ports qu'il utilise, rendant le protocole inutilisable. Il est donc peu fiable dans les environnements filtrés, par exemple dans certains pays où les connexions VPN sont limitées. Contrairement à OpenVPN ou SoftEther, qui peuvent se faire passer pour du trafic web classique (TCP 443), L2TP/IPSec est plus repérable et donc plus facile à bloquer.
Il faut aussi mentionner la sécurité. Bien que le chiffrement utilisé soit solide, L2TP/IPSec repose sur des algorithmes plus anciens. Certains chercheurs estiment qu'ils ne sont plus à la hauteur face aux attaques modernes, même si aucune faille grave n'a été officiellement exploitée à grande échelle.
Faut-il encore utiliser PPTP en 2025 ?
PPTP, c'est le protocole VPN qui traîne depuis les années 90. Il a longtemps été l'option par défaut sur Windows, facile à configurer, rapide à établir. Mais en 2025, la question se pose : est-ce qu'il a encore une place aujourd'hui dans un usage sérieux ?
Ce protocole est rapide, c'est vrai. Il consomme peu de ressources, fonctionne même sur des connexions lentes, et demande peu de configuration. C'est aussi pour ça qu'il reste parfois proposé dans des interfaces très basiques. Si vous avez besoin d'établir une connexion rapide pour accéder à un fichier partagé ou un serveur privé sans exigence de sécurité, il peut faire le job. Mais ça s'arrête là.
Le problème, c'est que PPTP est cassé. Littéralement. Le chiffrement utilisé, basé sur MS-CHAPv2, peut être compromis en quelques heures avec des outils accessibles publiquement. Il suffit d'avoir capté un échange de données pour réussir à décrypter ce qui a été envoyé. Cela signifie que si vous utilisez PPTP sur un réseau public, vos données sont à risque.
Même Microsoft recommande de ne plus l'utiliser. De nombreux fournisseurs VPN comme ExpressVPN ou NordVPN ne l'intègrent plus dans leurs offres, ou le proposent uniquement pour les utilisateurs avancés, à leurs risques et périls. Sur Android ou iOS, il a même été supprimé des options natives. Cela montre bien que le protocole n'est plus considéré comme sécurisé.
Il ne faut pas oublier que la base d'un VPN, c'est la sécurité. Que vous utilisiez un VPN pour contourner une restriction géographique, pour sécuriser votre navigation, ou pour protéger vos données professionnelles, vous devez pouvoir faire confiance au protocole. Et PPTP ne peut plus offrir cette garantie. Même le plus basique des pare-feux peut détecter et bloquer une connexion PPTP. Il ne passe pas bien les filtres, il est facilement repérable, et il ne tient pas face aux outils de surveillance modernes.
Alors, faut-il encore utiliser PPTP ? Dans 99 % des cas, non. Il n'est pas fait pour une utilisation VPN sérieuse, même ponctuelle. Si vous le voyez dans les paramètres d'un service ou d'un appareil, ignorez-le. Ce n'est pas une option viable pour protéger vos données, ni pour naviguer en toute confidentialité.
PPTP appartient au passé. Il peut encore dépanner dans des situations très spécifiques, mais il ne faut pas le considérer comme un vrai choix aujourd'hui. Préférez toujours un protocole sécurisé, adapté aux usages modernes.
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Dans quels cas SSTP peut-il être intéressant ?
SSTP n'est pas le protocole VPN le plus connu, mais il a une place à part dans certains cas d'usage. Il a été développé par Microsoft et s'intègre bien à l'univers Windows. Si vous êtes sur un PC Windows, vous pouvez l'utiliser sans installer d'application tierce.
Techniquement, SSTP fonctionne sur le port TCP 443. C'est le même port utilisé par les sites HTTPS, ceux que vous visitez tous les jours. Résultat : difficile de bloquer SSTP sans bloquer l'ensemble du web sécurisé. C'est pour ça qu'il est souvent recommandé dans des situations où d'autres protocoles comme OpenVPN ou IKEv2 sont filtrés. Si vous êtes dans un pays ou un réseau d'entreprise où les connexions VPN sont limitées, SSTP peut passer là où les autres échouent.
Il chiffre les données avec SSL/TLS, comme OpenVPN. Le niveau de sécurité est donc solide. Il protège vos données contre les interceptions, même sur un réseau public. Vous pouvez l'utiliser pour sécuriser votre connexion sur des points Wi-Fi ouverts sans trop de souci. Le chiffrement AES est là, et la stabilité est plutôt bonne.
Sur le papier, SSTP coche plusieurs cases : il est sécurisé, intégré à Windows, passe les pare-feu, et fonctionne sans configuration complexe. C'est aussi pour ça qu'il a été utilisé dans certains environnements pro, notamment pour les connexions à distance vers un réseau d'entreprise.
Mais SSTP a aussi des limites. D'abord, il est fermé. Le code source n'est pas accessible librement. Cela ne veut pas dire qu'il est dangereux, mais les développeurs et experts en sécurité ne peuvent pas le vérifier comme ils le font avec OpenVPN ou WireGuard. Vous devez faire confiance à Microsoft. Pour certains utilisateurs, ce manque de transparence est un frein.
Autre point à prendre en compte : il ne fonctionne bien que sous Windows. Si vous êtes sur Android, macOS, iOS ou Linux, SSTP n'est pas forcément pris en charge ou demande des manipulations techniques.
Côté vitesse, SSTP n'est pas le plus performant. Il utilise TCP, ce qui peut entraîner des lenteurs, surtout sur les connexions instables ou lors de l'utilisation de services gourmands comme le streaming ou les jeux en ligne.
SSTP n'est pas toujours proposé par les fournisseurs VPN. Certains l'ont retiré de leurs offres, préférant miser sur des protocoles plus rapides et plus ouverts. Chez ceux qui le maintiennent, comme certains services compatibles Windows, il reste une option de secours utile, mais rarement mise en avant.
Le protocole Lightway est-il une alternative fiable et rapide ?
Lightway est un protocole VPN encore peu connu du grand public, mais il attire de plus en plus l'attention. Il a été conçu pour offrir à la fois de la vitesse, de la stabilité, et une connexion sécurisée. Contrairement à d'autres protocoles plus anciens, Lightway part d'une feuille blanche. Il a été pensé pour s'adapter aux usages actuels, notamment sur les appareils mobiles.
Ce protocole utilise le chiffrement AES ou ChaCha20, selon le type d'appareil. Cela garantit un bon niveau de sécurité tout en restant rapide. Il fonctionne aussi bien sur Windows que sur Android, iOS ou Linux. Même sur un routeur comme ceux de Netgear ou un modem mobile comme GlocalMe, les performances restent bonnes, à condition que l'appareil soit compatible.
L'un des points forts de Lightway, c'est la rapidité de connexion. Contrairement à OpenVPN qui peut mettre quelques secondes à établir un tunnel, Lightway démarre presque instantanément. Ce détail compte si vous activez et désactivez souvent votre VPN, surtout en mobilité.
Il est aussi plus léger que beaucoup d'autres protocoles. Son code est court, ce qui limite les erreurs, réduit la consommation de batterie sur les mobiles, et facilite les mises à jour.
En termes de performances, Lightway tient tête à WireGuard. Les vitesses sont stables, même en streaming, en téléchargement, ou pendant des appels vidéo. Il gère bien le trafic UDP et TCP selon les besoins. Vous pouvez l'utiliser sur les services de streaming, sur des plateformes web, ou pour contourner des restrictions géographiques. Il passe bien les pare-feu classiques, même si OpenVPN reste plus efficace dans certains pays très filtrés.
Lightway est aussi open source. C'est un point important pour la transparence. Les experts en sécurité peuvent analyser son code et signaler les failles potentielles. Ce n'est pas le cas de tous les protocoles récents. Le fait qu'il soit léger et lisible facilite son audit, ce qui renforce la confiance qu'on peut lui accorder.
Cependant, Lightway n'est pas encore pris en charge par tous les fournisseurs VPN. Cela limite le choix pour les utilisateurs qui souhaitent profiter de Lightway sans changer d'abonnement.
Ce protocole reste jeune. Il a moins d'historique que d'autres protocoles comme IPsec ou SSTP. Même s'il est prometteur, certains préfèreront attendre qu'il soit testé plus largement avant de l'adopter sur des usages sensibles.
Pour les débutants, le mieux est de ne pas choisir manuellement. Les fournisseurs VPN comme NordVPN ou d'autres proposent souvent un mode automatique. Le service sélectionne alors le protocole le plus adapté en fonction de votre réseau. Ce mode convient très bien pour un usage standard. L'important est de choisir un fournisseur sérieux, avec des serveurs fiables et une bonne politique de confidentialité.
Enfin, un bon protocole ne fait pas tout, mais il fait la différence entre une connexion lente et instable… et une navigation fluide, privée et bien protégée.