TEKDOME 100%arnaque si j'avais su...

Fermé
TunaMayo - 22 nov. 2007 à 14:10
 dgrfdg - 16 mai 2008 à 21:05
Bonjour,
J'ai commandé sur le fameux site Tekdome, le 13 octobre une camera SONY HDR-FX1E Pal pour 2644 €
Longtemps après paiement par virement sur un compte au US, j'ai reçu confirmation de leur reception du paiement.
Le 26 octobre, j'ai reçu confirmation de leur envoi sans aucun code de tracabilité ni détail de livraison.
A ce jour, le 22 novembre 2007, rien, rien de rien
Pas de marchandise, pas un avis de passage de livreur.
Et surtout aucune réponse aux multiples emails envoyés pour signaler le problème.
Qui peut m'aider?
En référence à cette discussion

14 réponses

Tu en es ou sur ton problème? Tu as pensé à contacter les associations de défense des consommateurs? style 60 millions de consommateur

J'étais sur le point de passer commande quand j'ai choisi de vérifier la crédibilité de tekdome et il semble qu'il y ait beaucoup d'arnaques. C'est clair je ne commanderais pas chez eux.
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Salut,
je vien de faire la meme betise ....
Idem, une FX1 E !!!!
T'en es ou ?????
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il m'a fallu plus de deux mois pour enfin obtenir la camera mais au prix de bien des emmerdes, du stress, du temps.
Ce ne sont qu'un ramassi de petits escrocs qui ne possède certainement rien d'autre qu'un peu d'astuce et un joli site raccoleur. aucun stock, tous les labels idylliques sur leur site sont bidons. J'ai du envoyer des mails quasi quotidient pour obtenir de temps en temps des réponses ambigues, des copies de messages déjà envoyés, en fait avant de payer tu recois dans la demi heure une réponse courtoise et claire à tout mail, mais après.... On m'avait envoyé le colis sans numéro de tracking! le colis s'est "égaré", Après multiples menaces de ma part plus quelques articles dans des sites de ce type, on a du gracieusement le renvoyer après un temps indéfini. Et après.... bloqué à la douane du port d'anvers ou zeebrugge parce qu'il n'y avait pas d'indication sur le contenu ni de facture avec le coli. donc rebelote il faut obtenir la preuve de paiement, plus les supplier d'envoyer une facture correspondant aussi non le coli est confisqué par les douanes. pour finir j'ai réussi a obtenir mon coli en payant une tva + une taxe d'import + frais pour 750 euros complémentaires!!! Il avait indiqué sur la boite quelle contenait un appareil photo digitale d'une valeur de 35 dollars!! super fraude qui retombe sur qui le pauvre pigeon de client.
J'ai reçu la camera que je souhaitais, un mois et demi après mon retour de l'étranger (elle était prévue pour partir) , je l'ai payée plus chère que dans n'importe quel magasin de belgique, et pour la garantie je peux toujours aller me brosser. plus tous les soucis, les nuits d'insomnies, etc

TEKDOME=ARNAQUE - TEKDOME=ARNAQUE - TEKDOME=ARNAQUE - TEKDOME=ARNAQUE



bonne chance à tous les pigeons comme moi qui sont tombé dans le panneaux du super moins cher
siignalez le autour de vous un maximum, aux associations de consomateurs, lisez les autres témoignages sur le net il sont édifiant et déprimant tellement c'est gros et bidon
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EOS40D > Fredericvk
26 mars 2008 à 14:51
Pareil pour moi.
J'ai commandé un Canon EOS 40D, payé en €uro TTC chez Tekdome.
15 jours après, je reçois un avis des douannes me demandant de leur présenter la facture pour règlement des frais de douannes et TVA !!! Après avoir envoyé la facture je reçois une sommation de payer une amende de 150€ ( en plus des frais, soit 350 € au total pour un e valeur de départ de 950 € ) pour fausse déclaration de valeur : ils avaient déclaré 26$ !!!
Il y a une adresse à Londres sur leur site. Un N° de Tel qui ne répond jamais. J'ai donc envoyé un copain qui habite là-bas pour voir. L'adresse correspond à un cabinet d'avocat qui sert de boîte aux lettres... Enfin, la grosse magouille bien ficellée. Je me demande à quel point cet avocat n'est pas partie prenante dans cette histoire.
D'autre part, j'ai fais une réclamation à l'organisme de surveillance de la concurence de la consommation et de la répression des fraudes ; ils m'ont répondu que ce n'était pas de leur ressort !!!
Conclusion ; en vous entube, l'état laisse faire, se sucre au passage et vous donne le tube de vaseline en prime.
Moi j'appelle ça du proxénétisme !
Par contre j'aimerais savoir s'il existe d'autres forum ou blogs, etc sur le net qui parle de cette arnaque afin d'essayer d'organiser et de rassembler tous ceux qui se sont fait avoir.
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NIKON AFS300D > EOS40D
1 avril 2008 à 20:59
Bonjour,
Je suis entrain de vivre la même chose que vous pour un objectif et un Flash Nikon.
Ils m'ont envoyé le mail suivant :

"**************** I M P O R T A N T : pour les colis envoyés en France ***************
Normalement le colis doit passer par la douane sans aucun problème. Toutefois, due à des changements des services de douane et afin de diminuer toute taxe supplémentaire, le montant déclaré sur votre colis est celui pour les détaillants.
Au cas où on vous demande la facture, veuillez nous contacter afin que nous vous envoyons par émail une Facture Modifiable en Word document, que pouvez modifier à votre guise puis l'envoyer à chronopost afin qu'ils retirent votre colis de la douane, avec des frais minimales ou sans frais dans la plupart du temps.
**************************************************************************"
Je trouve cela plus que louche. Avez-vous trouvé d'autres forum ou blogs sur le net qui parlent de cette arnaque afin d'essayer d'organiser et de rassembler tous ceux qui se sont fait avoir.
Merci
Bonsoir.
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picapica > Fredericvk
29 avril 2008 à 18:13
<BIENVENUE AU CLUB!
Je viens de faire la même expérience à mes frais. Ayant commandé un zoom Canon sur un site "européen" le matériel a été expédié des U.S.A, sans facture commerciale ni accord de paiement taxes CRBT. TEKDOME m'a envoyé par mail (après 4 ou 5 mails et 8 jours d'attente) une "facture" à présenter pour retirer le colis auprès de Chronopost International service disjoint douane avec la même remarque que ci-dessus. Bien entendu Chronopost a déclaré cette facture FAUSSE et a réexpédié le colis à A C C OPTICS (USA) leur fournisseur. Ils sont au courant du procédé louche pratiqué par TEKDOME. N'ayant pas reçu ce colis j'ai demandé le remboursement et envoyés plusieurs mails, toujours sans réponse. Sur les conseils de ma banque et de Chrono je m'apprête à entamer une procédure judiciaire pour mettre fin à ces procédés on ne peut plus louches et malhonnêtes si je ne suis pas remboursé dans les même délais pris pour l'encaissement de mon paiement.************TEKDOME 100%ARNAQUE + 25% = 125%ARNAQUE!A FUIR!!!!!
Je propose un regroupement pour les plaintes
la liste sera longue!
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eloialice Messages postés 3 Date d'inscription vendredi 28 mars 2008 Statut Membre Dernière intervention 28 mars 2008
28 mars 2008 à 15:42
j ai commandé un camescope il y a 15 jours , toujours pas reçu , j ai bien peur que cette camera soit ntsc et non pal. je n ai pas eu de numero de suivi ,

au niveau de la garantie c a se passe comment ?

je sens l arnaque...

faut rassembler tout les internautes et faire quelquechose...

merci
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eloialice Messages postés 3 Date d'inscription vendredi 28 mars 2008 Statut Membre Dernière intervention 28 mars 2008
28 mars 2008 à 16:09
si je refuse la livraison suis je dans mon droit merci de me repondre
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Vous pouvez toujours refuser le colis mais pas sur du tout d'être remboursé.
Moi je ne m'y suis pas risqué.
Pour ce qui est de mon appareil, il a finit par être livré, en bon état de fonctionnement ( jusqu'à maintenant ) mais avec notice en anglais et chargeur aux normes US !
Sinon, après recherche il existe un site qui est consacré aux arnaques Tekdome :
http://www.e-monsite.com/antitekdomeligue/accueil.html
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Bonjour,

Je viens de me faire avoir aussi !!!
Dois je refuser la livraison ?

Merci de votre aide
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Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?

Posez votre question
Commandé un caméscope en ligne le 22/03/2008 chez Tekdome et payé par CB.
Malgré une annulation dans les 2 jours après la commande, le prélèvement sur compte (supérieur au prix initial) a quand même été effectué 5 jours plus tard et toujours pas remboursé 15 jours après.

Site malhonnête et pratiques frauduleuses. Aucun scrupule à avoir avec ces gens-là.

A éviter à tout prix....

Procédure en cours (BP5000 dans un premier temps....)

Pour ceux qui regrettent d'avoir acheté:
. Annuler la commande avant l'avis d'expédition, en mentionnant le refus d'acceptation du colis.
. Refuser le colis à la livraison si déjà expédié (= pas de frais de retour et pas d'assurance sur le retour à payer), l'expéditeur restant responsable de l'acheminement du colis et de son retour.
. Faire bloquer le prélèvement sur son compte en banque ou demander à sa banque de récupérer le prélèvement auprès de la banque qui l'a effectué.
. Si prélèvement sur le compte effectué, colis reçu et renvoyé dans le délai légal de 7 jours et pas de nouvelles, s'adresser à une association de consommateurs ou envoyer un courrier à la Boite Postale 5000 de votre département (réponse assurée).

Bon courage!!
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annilor Messages postés 1 Date d'inscription jeudi 10 avril 2008 Statut Membre Dernière intervention 10 avril 2008
10 avril 2008 à 19:41
Bonjour,

Pas très réjouissant de constater que je suis dans le même cas que vous mais pour un objectif canon.... ah si la curiosité m'avait amené jusqu'à votre forum avant mon achat !!!
En tous cas j'ai pris note de vos conseils et déjà dans un premier temps je vais voir auprès de ma banque si je peux faire annuler le paiement en carte bleue (le prélèvement doit se faire fin de ce mois ci).

Merci de vos précieux conseils.
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encore un pigeon
24 avril 2008 à 18:45
moi aussi je viens de me faire avoir, j'ai commande un objectif nikon soi disant en stock (j'ai meme recu un courrier pour me dire qu'il n'en restait plus que 4).
j'ai passsé la commande je recois un numéro de tracking et je comprends alors que mon objectif est parti de san fransisco !!!! evidemment le colis viens d'ete bloqué en douane en raison de labsence de facture et d'une valeur déclarée bien inférieure a la valeur reelle.

je suis tt a fait d'accord ce sont vraiment des escrocs (avant la commande , m'étonnant de la différence de prix, je leur ai demandé s'il n'y aurait pas des frais à rajouté a ce prix, et ils m'ont envoyé un mail me disant qu'iln'y aurait rien d'autre à payer, je pensais que la tva était donc payée et jamais je n'aurais imaginé que c'était une grosse magouille...)

je vais donc moi aussi ete bon pour payer l'amende (ce qui est tout de meme fort puisque j'étais de bonne foi) ainsi que de rajouter la tva que je croyais avoir réglé!!!

comment faire pour que les gens ne se fassent plus piéger par ce site escroc ???

bon courage à tous
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MOI AUSSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!
je suis tout à fait d'accord avec vous , TEKDOME ne fait que frauder.
ils sont le plus grand arnaque du monde....
aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh j'ai perdu mon argent... ah mon Dieuuuu...
pour quoi personne ne fait rien pour le presenter à police d'internet?
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COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
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Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

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En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement hum
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COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

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avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

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Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

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En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement hum
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Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humAprès la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
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Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humAprès la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humAprès la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme




Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humAprès la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup
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c'est quoi le rapport avec le palu??
tu dois etre bien atteint pour ecrire 100 fois le meme texte....
pas trés efficace ta methode d'information, il ne faut pas forcer les gens, et toi dans le genre bourrin...
pas compris...
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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

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avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

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avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au Togo en decembre 2004 a reussi a faire passer le pourcentage global des familles disposant d'au moins une moustiquaire impregnee de 8 % .a 62 %.

Ensemble luttons contre le Paludisme

Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution de moustiquaires realisee au T
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Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

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dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

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avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
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Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

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En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
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Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans en sont les premières victimes.

Le PALUDISME est à ce jour une maladie mal connue et mal comprise du grand public. Aujourd’hui le Paludisme pose de front la question de sa médiatisation.
Il doit redéfinir la place du patient dans le monde médical. D’abord parce qu’il provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant une personne toutes les 30 secondes dans le monde et représentant chaque année entre 2 à 3 millions de décès dont 90/% en Afrique subsaharienne ; 600.000 étant des femmes enceintes et des enfants de moins de cinq ans. Parce qu’il affecte trois fois plus de gens que le Sida, parce que beaucoup ignorent l’ampleur et l’impact causé par le moustique Anophèle femelle vecteur du parasite Plasmodium Falciparum, qu'il est l’animal le plus meurtrier au monde loin devant des prédateurs pourtant craint par les humains.
Ensuite environ deux milliards d’individus soit 40% de la population mondiale essentiellement dans les pays pauvres sont exposés au Paludisme qui est l’une des principales causes de la pauvreté dans les pays à forte transmission entraînant la perte moyenne d’1,3% de croissance économique annuelle.
Enfin les conditions climatiques laissent présager à terme des risques de pandémie.
Sur la base de ces constats le label Metiss Soul & Sahryana Productions en France en collaboration avec Toofan Music Organisation au Togo, se sont reunis pour "mettre la lumiere sur les artistes du Togo en soutenant la campagne internationale de lutte contre le paludisme".
Pour ce faire, nous avons reunis quelques artistes talentueux du pays a titre humanitaire pour la realisation d’une chanson et d'un clip intitulé "EMOU" (moustique en Ewe une des langue du Togo).

La campagne internationale visant a faire reculer le paludisme a pour objectif la reduction de moitie du nombre de paludeens dans le monde d'ici .a 2010. Par ailleurs, les Objectifs du millenaire pour le developpement prevoient l'inversement de la tendance du paludisme d'ici a 2015. Grâce a la realisation de la chanson « EMOU » un Cd single est mis en vente par téléchargement. Les benefices realises par les ventes de la chanson EMou servent à l'achat et la distribution en Afrique de moustiquaires imprégnées d'insecticides, initiatives supervisées par l’O.N.G ADH (actions pour le developpement humain) pour l'achat des moustiquaires et par l’organisme P.N.L.P. (programme de lutte contre le paludisme au Togo) pour la distribution équitable.
En effet, le paludisme reste actuellement la maladie infectieuse qui provoque le plus de deces d'enfants en Afrique, 3 fois plus que le sida. La lutte contre le paludisme progresse, mais il reste beaucoup a faire pour reduire le taux de mortalite. En Afrique, la distribution des moustiquaires impregnees d'insecticide a ete multiplie par 10 au cours des trois dernieres annees et de nombreux pays ont realise des progres dans la lutte contre le paludisme. L'Afrique reste la region la plus durement touchee et la couverture de l'action preventive et therapeutique s'ameliore mais il faut generaliser les interventions qui ont fait leurs preuves si nous voulons reduire sensiblement le nombre des deces d'enfants au cours de la prochaine decennie. La campagne de distribution deTélécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou - Télécharger le single Emou -COLLECTIF D'ARTISTES TOGOLAIS POUR LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Toutes les 30 secondes une personne meurt du Paludisme dans le monde, et provoque 300 à 500 millions de cas cliniques tuant chaque année 2 à 3 millions de personnes,
dont 90 % résident en Afrique subsaharienne.

On rapporte l'existence de fièvres mortelles que l'on pense causées par le paludisme depuis que l'écriture existe soit 6000 ou 5500 avant Jésus-Christ. Les textes védiques datant de 1600 avant Jésus-Christ en Inde, et ceux d'Hippocrate datant du Ve siècle
avant Jésus-Christ, en font mention. Il semble plausible que les colonisateurs européens et les esclaves aient apporté le paludisme dans le Nouveau Monde, où le moustique Anophèle femelle, vecteur du parasite PLasmodium Falciparum, existait déjà.

Après la Seconde guerre mondiale, l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) avait été créée avec pour l’objectif principal d’éradiquer ce fléau. Soutenue par les Etats-Unis, la lutte contre le paludisme, qui s’effectuait notamment à travers des pulvérisations massives de DDT et l’utilisation de chloroquine bon marché, a en effet permis d’éradiquer le moustique vecteur de la maladie, essentiellement dans les pays du nord.
Les résultats ont été spectaculaires. A l’époque, on pensait que le paludisme ne tarderait pas à disparaître de la planète. Mais en 1972, en dépit des protestations de nombreux biologistes, l’Agence pour la protection de l’environnement américaine a interdit l’usage du DDT. Seule la chloroquine y avait été abondamment utilisée, mais malheureusement, depuis, cette substance est devenue inefficace, car le parasite a développé une résistance à la chloroquine. De nouveaux traitements ont ensuite été développés, mais il s’agit exclusivement de médicaments inabordables pour les populations du tiers-monde.

Le Paludisme est considéré comme l'une des principales causes de la pauvreté en Afrique subsaharienne; il a des répercussions sur toute la durée de la vie, en compromettant l’apprentissage et en augmentant l’absentéisme scolaire et professionnel dans les pays à forte transmission notamment au Togo.
Aujourd’hui il affecte trois fois plus de gens que le SIDA. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq
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Bonjour. J'ai été peu méfiante, et j'ai commandé chez Tekdome sans vérifier les forums car je l'avais trouvé par des moteurs de recherche connus. Au bout de 3 jours et aucune nouvelle de tekdome alors que j'avais donné ma carte bancaire, je me suis inquiétée et j'ai regardé les forums, j'ai alors compris, mais c'était trop tard. Je n'ai pas souhaité annuler ma commande car j'avais peur qu'ils ne me remboursent pas j'ai donc relancé à maintes reprises. Bien sur aucune possibilité de les appeler (numéro faux), le chat ne fonctionne pas, et contrairement à ce qui est écrit sur le site, ils ne répondent pas en 2h puisqu'ils ne répondent pas du tout ou alors répondent 5 jours plus tard. Je devrais finalement recevoir ma commande aujourd'hui, non sans difficulté. J'ai passé commande le 17 avril. Après 3 jours sans nouvelle une fois que j’avais passé la commande sur internet (en donnant mon numéro de CB), je me suis inquiétée, d’autant plus qu’ils se ventent de la dispo du colis en 2 à 5 jours. Ils ont été très longs à revenir vers moi, et le colis est finalement parti, des USA ! Je n’avais pas compris que je passais une commande à l’étranger. J’ai ensuite reçu un email de tekdome, avec le message suivant :
Camden, London, 19-04-2008, 11:10:01
Bonjour,

Votre article a été expédié directement par notre fournisseur (A.C.C. Optics Clearance) via USPS Express et Chronopost à l'adresse de livraison dessous, vous devrez le recevoir très bientôt.

**************** I M P O R T A N T : pour les colis envoyés en France ***************
Normalement le colis doit passer par la douane sans aucun délais. Toutefois, due à des changements des services de douane et afin de diminuer toute taxe supplémentaire, le montant déclaré par notre fournisseur sur votre colis est celui pour les détaillants, soit entre $100 USD et $149 USD.
Au cas où Chronopost vous demande la facture, veuillez nous contacter afin que nous vous envoyons par émail une nouvelle Facture qui permettra le passage de votre colis avec des frais minimales ou sans frais dans la plupart du temps.
Cela veut dire que Tekdome met de fausses factures dans ses colis pour éviter au client de payer la douane !
Quand j’ai reçu un courrier de Chronopost disant qu’il n’y avait pas de facture dans mon colis, j’ai communiqué la vraie facture avec le vrai montant. Je pense que Tekdome ne met plus de fausse facture car ils doivent bien savoir que tôt ou tard ils vont se faire prendre, et ils incitent les clients à mentir à la douane, mais ne le font pas directement. J’ai contacté tekdome en parallèle par email, pour leur demander de résoudre le problème avec la douane, mais je n’ai bien sur aucune nouvelle. J’aurais aimé pouvoir refuser le colis, mais j’ai eu peur de leur laisser retourner et qu’ils ne me remboursent pas. J’ai donc préféré perdre de l’argent, et prendre beaucoup de risques puisque je sais que rien ne fonctionnera avec les garanties, plutôt que de risquer directement de perdre le montant total de la commande. Mon colis devrait arriver aujourd’hui, je vais découvrir combien je vais payer pour les frais de douane, mais ce sera au moins 19,6% de TVA + frais de dossier et de douane, donc encore entre et 6% de la facture ! Autant dire que je n’ai eu que des problèmes pour finalement acheter un objectif quasiment au même prix que sur un site fiable, voire même plus cher. Et je n’ai aucune garantie, d’ailleurs je croise les doigts pour qu’il arrive en bon état.
Je suis consciente d’avoir fait quelques erreurs, j’aurais du lire les conditions générales de vente, et surtout je n’aurais pas du me laisser appâter par un site qui en jette et semble fiable avec des délais garantis, autant en terme de contact qu’en terme de commande. Désormais je lis tout le temps les CGV et je consulte les forums quand je veux commander par un nouveau site.
J’aimerais vraiment dénoncer ce site frauduleux, mais je ne sais pas comment m’y prendre…
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