CyberGhost obtient sa certification zéro-log : une avancée rare et mesurable
CyberGhost obtient une certification zéro-log indépendante, confirmant qu'aucune donnée n'est conservée. Une avancée rare qui renforce sa crédibilité et sa transparence.
Les éditeurs de VPN promettent tous de défendre la vie privée, mais rares sont ceux qui acceptent de placer leurs infrastructures sous le regard d’un auditeur indépendant. CyberGhost fait partie de ces exceptions. Le service vient d’obtenir une certification zéro-log vérifiée, qui atteste qu’aucune donnée de navigation n’est conservée, ni sous forme brute, ni dans des journaux techniques temporaires.
Cette étape marque un tournant pour un outil déjà largement adopté en France, et renforce sa crédibilité au moment où la collecte d’informations s’intensifie partout, parfois à l’insu même des utilisateurs. Une manière d’affirmer que la confidentialité n’est plus un argument marketing, mais une garantie mesurable.
Une vérification externe qui change la nature de la promesse
La mention “zéro-log” figure sur les brochures de nombreux VPN, mais elle repose souvent sur une simple déclaration interne. Chez CyberGhost, la logique est un peu différente. La société a choisi de faire vérifier ses systèmes par un tiers extérieur, spécialement mandaté pour analyser la façon dont sont gérées, ou non, les traces d’activité.
L’objectif était clair : prouver que les serveurs n’enregistrent ni adresses IP, ni historique de navigation, ni métadonnées susceptibles d’identifier ou de profiler l’utilisateur.
Cette validation apporte un élément concret : si la plateforme ne collecte rien, elle ne peut rien transmettre, même sous contrainte. Cela coupe court à un débat ancien, souvent alimenté par des soupçons ou des zones grises. Ici, les règles de fonctionnement ne reposent plus sur une promesse, mais sur une méthode observée et décrite.
Cette transparence intervient dans un contexte où la question du suivi invisible prend de plus en plus de place. Les smartphones génèrent des signaux permanents, les navigateurs multiplient les collectes discrètes, et nombre de services gratuits basent leur modèle économique sur l’analyse comportementale. Dans ce paysage, disposer d’un outil capable de ne rien conserver représente un contrepoids crédible.
Un abonnement plus accessible, sans compromis sur les fonctionnalités
CyberGhost accompagne cette annonce d’une offre commerciale particulièrement lisible : deux ans d’abonnement, complétés par quatre mois gratuits, pour un coût mensuel légèrement supérieur à deux euros. L’idée n’est pas de multiplier les promotions éclairs, mais de miser sur une formule longue durée stable. Ce type de tarification, souvent réservé aux périodes de forte concurrence, devient ici une stratégie durable.
À ce prix, l’utilisateur bénéficie d’un accès à un parc de serveurs répartis dans plus de 100 pays. Cette diversité n’a pas uniquement vocation à contourner les restrictions géographiques : elle permet d’éviter les nœuds saturés, d’améliorer les temps de connexion et d’offrir un choix suffisamment large pour répondre à des usages variés.
La possibilité d’utiliser le service sur sept appareils simultanément simplifie le quotidien. On active la protection sur l’ordinateur du travail, le smartphone personnel, la tablette et même certains navigateurs, sans avoir à jongler avec les licences. Les familles comme les indépendants y trouvent un avantage immédiat : tout est couvert avec une seule souscription.
Quand les besoins deviennent un peu plus exigeants, il existe des modules supplémentaires pour renforcer la configuration. Une IP dédiée peut faire toute la différence : certains services, notamment les portails pros ou les banques, supportent mal les adresses qui bougent sans cesse. La suite Windows, incluant antivirus, anti-malware et correctifs automatisés, complète la protection sans nécessiter d’autres abonnements annexes.
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Un fonctionnement simple, même pour un usage avancé
L’un des points forts de CyberGhost reste la prise en main. L’installation demande peu de manipulations, et la configuration initiale tient en trois étapes : choix de l’offre, installation de l’application, sélection d’un serveur.
Les utilisateurs plus pointilleux peuvent affiner leur expérience en choisissant manuellement des serveurs optimisés pour le téléchargement ou des flux vidéo exigeants, mais ce n’est pas indispensable. Le pilotage automatique fonctionne efficacement et reste suffisamment transparent pour ne pas perdre les moins technophiles.
L’assistance disponible en continu apporte une sécurité supplémentaire. Qu’il s’agisse de débloquer une connexion capricieuse dans un hôtel ou de configurer un appareil secondaire, les réponses arrivent rapidement. Cette présence continue n’est pas là pour décorer. Elle évite de se retrouver seul face à un problème, que ce soit en déplacement ou dans une situation vraiment urgente.
CyberGhost avance avec une idée claire : offrir un service complet, mais surtout prouver ce qu’il affirme. La certification zéro-log pose les fondations. Le reste ? une offre fournie, un tarif maîtrisé, une prise en main facile ? vient consolider l’ensemble. Dans un marché où les déclarations vont souvent plus vite que les faits, cette cohérence mérite d’être soulignée.