OFFICINES DE RECOUVREMENT : SE DEFENDRE
Résolu/Fermé
Utilisateur anonyme
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24 avril 2008 à 09:21
BmV Messages postés 90559 Date d'inscription samedi 24 août 2002 Statut Modérateur Dernière intervention 3 mai 2024 - 10 oct. 2008 à 19:01
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96 réponses
Utilisateur anonyme
23 sept. 2008 à 08:40
23 sept. 2008 à 08:40
AUX PERSONNES QUI INTERVIENNENT POUR CONSEILS : SOYEZ AIMABLES DE NE JAMAIS CONSEILLER D'APPELER AU TELEPHONE, JURDIQUEMENT CELA N'A AUCUNE VALEUR ET DANS LE SYSTEME ACTUEL TOTALEMENT BIAISE
LES REPONSES DU CREDITEUR SERONT CERTAINEMENT FARFELUES ET CELLES DES OFFICINES DE RECOUVREMENT CE SERA : PAYER. CE QUI EST VALABLE EST LA LETTRE RECOMMANDEE AVEC AR.
LES REPONSES DU CREDITEUR SERONT CERTAINEMENT FARFELUES ET CELLES DES OFFICINES DE RECOUVREMENT CE SERA : PAYER. CE QUI EST VALABLE EST LA LETTRE RECOMMANDEE AVEC AR.
Utilisateur anonyme
23 sept. 2008 à 09:00
23 sept. 2008 à 09:00
A Mehdi,
Br,
"Mais malgrès cela je ne sais que faire porter plainte?Leur signifier qu'ils agissent de manière illégale et les en menacer?"
--> Ils se permettent ce qui est illégitime et parfois illégal. Trop peu de personnes portent plainte contre ces officines. Le mieux est de résister et tenir bon par le silence, puisque le créancier et l'officine de recouvrement nient le droit d'informations aux débiteurs.
A Coco,
-->Tant qu'un officiel, avocat, Huissier de justice, ,ou juge d'instance ne vous convoque pas, comme aucun texte ne vous oblige à obtempérer à leur demande, faites comme bon vous semble. S'ils insistent demlandez leur le texte qui vous fait obligation de leur obéir.
A Natacha
"jusqu'ici, je n'avais pas répondu, pensant que ça leur passerait mais ça n'est visiblement pas le cas...
que dois je faire? "
-- > Continuer, pour 30 € vous ne risquez pas l'huissier de justice , ça couterait 10 fois plus cher de frais d'huissier au créancier par rapport au montant prétendument dû. Vous continuez par le silence et quand ils en autons marre ils s'arrêteront.
Avec ses affaires exposées liées aux officines privées de recouvrement, on tourne toujours en rond : c'est le silence ou des réponses ridicules aux demandes d'informations et pour les officines de recouvrement leur seul objectif faire payer le débiteur que la somme soit due ou pas, souvent service non rendue. Il serait qua,d même souhaitable d'éviter de passer des contrats qu'on ne peut respecter. Mais la situation sociale et économique étant également précaire parfois ce n'est pas de la faute des débiteurs et ce cas ne veut pas être retenu par les créanciers et officines de recouvrement, et ce qui favorise leur explosion, alors qu'il en est tenu compte par les professionnels.
Br,
"Mais malgrès cela je ne sais que faire porter plainte?Leur signifier qu'ils agissent de manière illégale et les en menacer?"
--> Ils se permettent ce qui est illégitime et parfois illégal. Trop peu de personnes portent plainte contre ces officines. Le mieux est de résister et tenir bon par le silence, puisque le créancier et l'officine de recouvrement nient le droit d'informations aux débiteurs.
A Coco,
-->Tant qu'un officiel, avocat, Huissier de justice, ,ou juge d'instance ne vous convoque pas, comme aucun texte ne vous oblige à obtempérer à leur demande, faites comme bon vous semble. S'ils insistent demlandez leur le texte qui vous fait obligation de leur obéir.
A Natacha
"jusqu'ici, je n'avais pas répondu, pensant que ça leur passerait mais ça n'est visiblement pas le cas...
que dois je faire? "
-- > Continuer, pour 30 € vous ne risquez pas l'huissier de justice , ça couterait 10 fois plus cher de frais d'huissier au créancier par rapport au montant prétendument dû. Vous continuez par le silence et quand ils en autons marre ils s'arrêteront.
Avec ses affaires exposées liées aux officines privées de recouvrement, on tourne toujours en rond : c'est le silence ou des réponses ridicules aux demandes d'informations et pour les officines de recouvrement leur seul objectif faire payer le débiteur que la somme soit due ou pas, souvent service non rendue. Il serait qua,d même souhaitable d'éviter de passer des contrats qu'on ne peut respecter. Mais la situation sociale et économique étant également précaire parfois ce n'est pas de la faute des débiteurs et ce cas ne veut pas être retenu par les créanciers et officines de recouvrement, et ce qui favorise leur explosion, alors qu'il en est tenu compte par les professionnels.
Bonjour Wazix,
Je vous écris pour information car j'ai eu une lettre nouvelle d'Intrum Justitia, nouvelle dans le sens que je ne l'ai pas encore vu relatée dans ce forum.
Elle suit les menaces de notre huissier de Kaltenbach...
ULTIME RECOURS AVANT DEPOT DE REQUETE
DATE LIMITE DE PAIEMENT: ...
Les différents avertissements qui vous ont été adressés afin de trouver une solution au recouvrement de la somme de 247,20€ (que je ne dois pas bien entendu), y compris l'intervention de notre huissier (sic), sont restés sans suite et sans contestation légitime de votre part. Nous en déduisons que sans motif légitime, vous refusez de procéder au règlement de votre dette (bien vu!, mais avec le motif légitime que je ne dois rien, mais ça...)
Comme annoncé par notre huissier, nous déposons par conséquent une requête en injonction de payer (il me semble bien que cet huissier m'avait annoncé qu'il me déposséderait de tous mes biens et salaires et sûrement pas qu'il déposerait... enfin bon) dont copie jointe, devant le tribunal (lequel?...).
Nous portons à votre information que cette procédure revêt un caractère irréversible. Une fois celle-ci enclenchée, nous ne pourrons plus "revenir en arrière". (bons princes...)
Cet ultime appel à régularisation va donc dans le sens de votre intérêt...
Nous serons également amenés à demander au juge l'attribution de dommages et intérêts à hauteur de 23,92€ (alors là c'est la meilleure, ils connaissent déjà le verdict du juge! Quelle efficacité!)
Compte tenu de l'urgence de la situation, votre règlement....
Avec ça, un beau fac similé d'injonction à payer : requête à Monsieur le Président du TRIBUNAL (on ne sait toujours pas lequel) , articles 1405 et 1425 du NCPC
quémendant une ordonnance conforme aux articles 1422 et 1423 du NCPC,
et intérêts légaux au titre de l'article 700 du NCPC pour frais accessoires (23,92€ je crois...)
Je suis curieux de voir la suite.... comme je suis curieux de voir si je ne vais pas porter plainte non plus car malheureusement, cette affaire me semble sans fin puisque Neuf Telecom continue de me facturer alors que je ne suis plus titulaire de leur ligne depuis près d'un an...
Je vous écris pour information car j'ai eu une lettre nouvelle d'Intrum Justitia, nouvelle dans le sens que je ne l'ai pas encore vu relatée dans ce forum.
Elle suit les menaces de notre huissier de Kaltenbach...
ULTIME RECOURS AVANT DEPOT DE REQUETE
DATE LIMITE DE PAIEMENT: ...
Les différents avertissements qui vous ont été adressés afin de trouver une solution au recouvrement de la somme de 247,20€ (que je ne dois pas bien entendu), y compris l'intervention de notre huissier (sic), sont restés sans suite et sans contestation légitime de votre part. Nous en déduisons que sans motif légitime, vous refusez de procéder au règlement de votre dette (bien vu!, mais avec le motif légitime que je ne dois rien, mais ça...)
Comme annoncé par notre huissier, nous déposons par conséquent une requête en injonction de payer (il me semble bien que cet huissier m'avait annoncé qu'il me déposséderait de tous mes biens et salaires et sûrement pas qu'il déposerait... enfin bon) dont copie jointe, devant le tribunal (lequel?...).
Nous portons à votre information que cette procédure revêt un caractère irréversible. Une fois celle-ci enclenchée, nous ne pourrons plus "revenir en arrière". (bons princes...)
Cet ultime appel à régularisation va donc dans le sens de votre intérêt...
Nous serons également amenés à demander au juge l'attribution de dommages et intérêts à hauteur de 23,92€ (alors là c'est la meilleure, ils connaissent déjà le verdict du juge! Quelle efficacité!)
Compte tenu de l'urgence de la situation, votre règlement....
Avec ça, un beau fac similé d'injonction à payer : requête à Monsieur le Président du TRIBUNAL (on ne sait toujours pas lequel) , articles 1405 et 1425 du NCPC
quémendant une ordonnance conforme aux articles 1422 et 1423 du NCPC,
et intérêts légaux au titre de l'article 700 du NCPC pour frais accessoires (23,92€ je crois...)
Je suis curieux de voir la suite.... comme je suis curieux de voir si je ne vais pas porter plainte non plus car malheureusement, cette affaire me semble sans fin puisque Neuf Telecom continue de me facturer alors que je ne suis plus titulaire de leur ligne depuis près d'un an...
A Saturnin,
Bonjour,
Soyez rassuré il ne s'agit que la suite du bluff d'Intrum Justitia, un imoprimé qui remplit leur placard et que le personnel envoie. Si, le cas de cet huissier alsacien a bien été évoqué dans un autre fil et dénoncé avec la démonstration des règles concernant la pratique des huissiers. Sachez qu'un huissier de justice ne peut instrumenter que dans le ressort de son tribunal d'instance qui seul lui permet d'effectuer sa procédure donc pour cet huissier son pouvoir se limite à Thann et les environs et pas au-delà. L'huissier n'est pas un avocat ni à disposition de personnes mais uniquement de la justice et est requis par elle. Dans le cas présent seul Intrum Justitia est mandataire et pas l'huissier qui prête probablement son nom, et le seul qui puisse demander une injonction de payer à condition que le montant dépasse les 500 €, en cause les frais d'huissier à payer par le créancier qui sont important le débiteur n'ayant lui que les frais d'actes et accessoires c'est à dire moindre, c'est le créancier et pour le montant de la somme prétendument due, il est très peu probable qu'une injonction de payer soit demandée. Sachez que le personnel de cette officine doit toucher des primes sur les rentrées d'argent, peu leur importe le légitime, le légal, alors il se permet tout.
Bonjour,
Soyez rassuré il ne s'agit que la suite du bluff d'Intrum Justitia, un imoprimé qui remplit leur placard et que le personnel envoie. Si, le cas de cet huissier alsacien a bien été évoqué dans un autre fil et dénoncé avec la démonstration des règles concernant la pratique des huissiers. Sachez qu'un huissier de justice ne peut instrumenter que dans le ressort de son tribunal d'instance qui seul lui permet d'effectuer sa procédure donc pour cet huissier son pouvoir se limite à Thann et les environs et pas au-delà. L'huissier n'est pas un avocat ni à disposition de personnes mais uniquement de la justice et est requis par elle. Dans le cas présent seul Intrum Justitia est mandataire et pas l'huissier qui prête probablement son nom, et le seul qui puisse demander une injonction de payer à condition que le montant dépasse les 500 €, en cause les frais d'huissier à payer par le créancier qui sont important le débiteur n'ayant lui que les frais d'actes et accessoires c'est à dire moindre, c'est le créancier et pour le montant de la somme prétendument due, il est très peu probable qu'une injonction de payer soit demandée. Sachez que le personnel de cette officine doit toucher des primes sur les rentrées d'argent, peu leur importe le légitime, le légal, alors il se permet tout.
Utilisateur anonyme
27 sept. 2008 à 23:46
27 sept. 2008 à 23:46
pour info on peut toujours faire opposition à une injonction de payer(Demande reconventionnelle si j'aii bonne mémoire)
je dis pour info car pour que l'injonction soit valable ill
faut apporte la preuve que les sommes sont réellement dues!!!!!
je dis pour info car pour que l'injonction soit valable ill
faut apporte la preuve que les sommes sont réellement dues!!!!!
Utilisateur anonyme
28 sept. 2008 à 17:52
28 sept. 2008 à 17:52
Re,
Exact Sydbarret, par voie officielle, la procédure est contradictoire quelle qu'en soit son niveau ce qui n''est pas le cas avec les officines privées dont le seul argument est : payer.
Exact Sydbarret, par voie officielle, la procédure est contradictoire quelle qu'en soit son niveau ce qui n''est pas le cas avec les officines privées dont le seul argument est : payer.
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
Bonjour,
Le 24/05/07 mon fils en garde chez sa tata a eu besoin de l'intervention d'une ambulance car il s'était blessé.
Nous n'avons jamais reçu la facture étant donné que le petit a été hospitalisé en notre absence donc n'ont pas eu les papiers. La société d'ambulance a commencé à appeler ma belle soeur pour réclamer le montant restant à notre charge de 26,89 euros. Ma belle-soeur a donc transmis nos coordonnées téléphoniques. Cette société nous a contactée sur un ton plutôt menaçant puis nous avons reçu un courrier de la société IRPIC (recouvrement) nous réclamant une somme très élevée par rapport à la dette initiale. impossible de les joindre, numéro de téléphone introuvable dans les annuaires téléphoniques : cette société n'existe pas ????
Pourtant des appels téléphoniques menaçant en numéro caché, de propositions d'échéanciers que j'ai fini par accepter de peur à une saisie mobilière.
Pour finir j'ai réglé tous les mois 25,40 euros du mois d'avril 08 à septembre 08, j'attends de voir si ils vont encore prélever quelque chose...
J'ai réclamer un duplicata de la facture car je rappelle que je ne l'ai jamais eu en ma possession : il me l'on transmise.
Que puis-je faire aujourd'hui ??? car je m'en rend compte que je me suis fait avoir. A aujourd'hui j'ai payé 152.40 euros pour une facture de 26,89 euros !!!!
Merci pour votre réponse.
Le 24/05/07 mon fils en garde chez sa tata a eu besoin de l'intervention d'une ambulance car il s'était blessé.
Nous n'avons jamais reçu la facture étant donné que le petit a été hospitalisé en notre absence donc n'ont pas eu les papiers. La société d'ambulance a commencé à appeler ma belle soeur pour réclamer le montant restant à notre charge de 26,89 euros. Ma belle-soeur a donc transmis nos coordonnées téléphoniques. Cette société nous a contactée sur un ton plutôt menaçant puis nous avons reçu un courrier de la société IRPIC (recouvrement) nous réclamant une somme très élevée par rapport à la dette initiale. impossible de les joindre, numéro de téléphone introuvable dans les annuaires téléphoniques : cette société n'existe pas ????
Pourtant des appels téléphoniques menaçant en numéro caché, de propositions d'échéanciers que j'ai fini par accepter de peur à une saisie mobilière.
Pour finir j'ai réglé tous les mois 25,40 euros du mois d'avril 08 à septembre 08, j'attends de voir si ils vont encore prélever quelque chose...
J'ai réclamer un duplicata de la facture car je rappelle que je ne l'ai jamais eu en ma possession : il me l'on transmise.
Que puis-je faire aujourd'hui ??? car je m'en rend compte que je me suis fait avoir. A aujourd'hui j'ai payé 152.40 euros pour une facture de 26,89 euros !!!!
Merci pour votre réponse.
Bonsoir,
Manifestement vous vous êtes fait avoir par ce genre d'officine de recouvrement plus malhonnête qu'honnête. le mieux est de demander à votre banque de cesser tout praiment concernant cette escroquerie. De toute facàon vous ne risquez absolument pas la moindre poursuite judiciiaire de leur part. Malheureusement à moins de porter plainte et de vous engager dans une procédure judiciaire, vous n'aurez certainment pas la possibilté de récupérer le trop payé.
Vous avez là, l'exemple le plus flagrant de l'escroquerie de ces officines.
La première idée qui doit venir à l'esprit du débiteur lorsqu'il reçoit un courrier lui réclamant une somme , il doit douter. C'est la raison pour laquelle il est conseillé de demander par lettre en recommandé avec AR tant au créancier principal, qui, qu'il le sache ou non, est toujours responsable juridique de la dette, qu'à l'officine de recouvrement aussi, et surtout exiger une réponse écrite, puis les attendre sans tenir compte des menaces et autres courriers qui seront- envoyés par l'officine, pas de risque judiciaire suite à défaut de règlementation concernant l'attitude du débiteur face à ces officines, et comparer les réponses.
Manifestement vous vous êtes fait avoir par ce genre d'officine de recouvrement plus malhonnête qu'honnête. le mieux est de demander à votre banque de cesser tout praiment concernant cette escroquerie. De toute facàon vous ne risquez absolument pas la moindre poursuite judiciiaire de leur part. Malheureusement à moins de porter plainte et de vous engager dans une procédure judiciaire, vous n'aurez certainment pas la possibilté de récupérer le trop payé.
Vous avez là, l'exemple le plus flagrant de l'escroquerie de ces officines.
La première idée qui doit venir à l'esprit du débiteur lorsqu'il reçoit un courrier lui réclamant une somme , il doit douter. C'est la raison pour laquelle il est conseillé de demander par lettre en recommandé avec AR tant au créancier principal, qui, qu'il le sache ou non, est toujours responsable juridique de la dette, qu'à l'officine de recouvrement aussi, et surtout exiger une réponse écrite, puis les attendre sans tenir compte des menaces et autres courriers qui seront- envoyés par l'officine, pas de risque judiciaire suite à défaut de règlementation concernant l'attitude du débiteur face à ces officines, et comparer les réponses.
Utilisateur anonyme
29 sept. 2008 à 14:43
29 sept. 2008 à 14:43
Merci pour votre réponse très rapide. Je vais appeler ma banque pour stopper ces prélèvements. Je suis tout de même très en colère de mettre fait avoir ainsi alors que je ne roule pas sur l'or, loin de là !!!! Je n'ai pas envie d'en rester là et je pense que je vais déposer plainte mais pouvez vous me dire comment faire ou puis-je me faire aider par 'une association car je n'ai pas les moyens de prendre un avocat ? Merci
Re, Fina
Difficile si vous avez accepté un prélèvement sur votre compte bancaire ce qu'il ne faut jamais faire avec ces officines.
Porter plainte au tribunal auprès du procureur, cela vaut mieux qu'à la police ou gendarmerie, vous pouvez vous renseigner dans un tribunal, soyez assurée d'en sortir libre..C'est comme les hôpitaux on n'aime pas ces endroits.. voir une consultation gratuite d'avocats, et vous pouvez demander l'aide juridictionnelle ( assistance possible gratuite d'avocat - en fonction de vos revenus). Il semble qu'UFC que Choisir du moins dans certains départements n'acceptent de défendre que leurs adhérents.. A voir dans votre région. De toute façon vous pouvez vous renseigner dans un tribunal.
Bonne chance.
Difficile si vous avez accepté un prélèvement sur votre compte bancaire ce qu'il ne faut jamais faire avec ces officines.
Porter plainte au tribunal auprès du procureur, cela vaut mieux qu'à la police ou gendarmerie, vous pouvez vous renseigner dans un tribunal, soyez assurée d'en sortir libre..C'est comme les hôpitaux on n'aime pas ces endroits.. voir une consultation gratuite d'avocats, et vous pouvez demander l'aide juridictionnelle ( assistance possible gratuite d'avocat - en fonction de vos revenus). Il semble qu'UFC que Choisir du moins dans certains départements n'acceptent de défendre que leurs adhérents.. A voir dans votre région. De toute façon vous pouvez vous renseigner dans un tribunal.
Bonne chance.
Bonjour à tous et merci de vos précieux conseils et en particulier M. Wazix23.
Je viens donc de me rendre compte en tombant sur ce site que je me suis fait avoir auparavant par nos amis d'Intrum Justicia, soit, ce qui est fait est fait...
Suite à un litige avec mon assurance moto, la société AMV, (fournissant des assurances par Internet; au passage évitez ce genre de sociétés d'assurances par internet ou téléphone); me réclame depuis un mois environ maintenant la somme de 167,10€ dont 20€ de "frais de recouvrement".
Ceux ci m'ont dans un premier temps adressé directement une lettre recommandée avec le bla-bla habituel et Ôh-surprise ce matin je reçois un courrier de la SFIRC (Société Française d'Intervention et de Recouvrement Contentieux), voici ce qu'ils m'annoncent:
Monsieur,
DERNIER AVIS AVANT POURSUITES
La société AMV (...) nous a transmis votre dossier aux fins de recouvrement.
(...)
En conséquence, si le paiement n'est pas parvenu à AMV Assurance", adresse, sous DIX JOURS, nous nous verrons contraints de vous poursuivre immédiatement devant le tribunal compétent selon la procédure accélérée de recouvrement et de saisie de vos biens et salaires.
(...)
AFIN D'EVITER TOUTE INDISCRETION
AUCUN RENSEIGNEMENT N'EST DONNE PAR TELEPHONE.
Je me doute bien que la S"FRIC", pardon la SFIRC est du même genre qu' Intrum Justicia & Co.; il semblerait même que cette soi disant société soit une invention du service contentieux d' AMV ; même ville, prière de ne pas appeler (de toute façon il n'y à pas de numéro de tél dans les coordonnées).
Merci tout de même de m'aider à me débarrasser du petit doute qu'il me reste...
Cordialement.
Je viens donc de me rendre compte en tombant sur ce site que je me suis fait avoir auparavant par nos amis d'Intrum Justicia, soit, ce qui est fait est fait...
Suite à un litige avec mon assurance moto, la société AMV, (fournissant des assurances par Internet; au passage évitez ce genre de sociétés d'assurances par internet ou téléphone); me réclame depuis un mois environ maintenant la somme de 167,10€ dont 20€ de "frais de recouvrement".
Ceux ci m'ont dans un premier temps adressé directement une lettre recommandée avec le bla-bla habituel et Ôh-surprise ce matin je reçois un courrier de la SFIRC (Société Française d'Intervention et de Recouvrement Contentieux), voici ce qu'ils m'annoncent:
Monsieur,
DERNIER AVIS AVANT POURSUITES
La société AMV (...) nous a transmis votre dossier aux fins de recouvrement.
(...)
En conséquence, si le paiement n'est pas parvenu à AMV Assurance", adresse, sous DIX JOURS, nous nous verrons contraints de vous poursuivre immédiatement devant le tribunal compétent selon la procédure accélérée de recouvrement et de saisie de vos biens et salaires.
(...)
AFIN D'EVITER TOUTE INDISCRETION
AUCUN RENSEIGNEMENT N'EST DONNE PAR TELEPHONE.
Je me doute bien que la S"FRIC", pardon la SFIRC est du même genre qu' Intrum Justicia & Co.; il semblerait même que cette soi disant société soit une invention du service contentieux d' AMV ; même ville, prière de ne pas appeler (de toute façon il n'y à pas de numéro de tél dans les coordonnées).
Merci tout de même de m'aider à me débarrasser du petit doute qu'il me reste...
Cordialement.
PPBoyington
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402
30 sept. 2008 à 15:47
30 sept. 2008 à 15:47
SOC FRANCAISE INTERVENTION RECOUVREMEN SFIRC 33700 MERIGNAC Activités juridiques
Voila ce qu'on trouve sur https://www.verif.com/index.php (pour avoir plus il faut payer)
donc la société existe en tant que telle.
Voila ce qu'on trouve sur https://www.verif.com/index.php (pour avoir plus il faut payer)
donc la société existe en tant que telle.
Merci à vous je n'avais pas trouvé ;-)
pensez vous que ce soit du même style qu' Intrum ?
pensez vous que ce soit du même style qu' Intrum ?
PPBoyington
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402
30 sept. 2008 à 17:52
30 sept. 2008 à 17:52
Vu le nom oui !
Activité juridique étant surement bien présomptueux !
Activité juridique étant surement bien présomptueux !
Utilisateur anonyme
>
PPBoyington
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30 sept. 2008 à 18:14
30 sept. 2008 à 18:14
oui Papy Poyington, il s'agit bien d'une officine privée de recouvrement sans pouvoir judiciaire. leur méthode directe, menace de poursuites judiciaires sans parler d'affacturage, là où le bât blesse, les situe au premier coup d'oeil.
De plus, je me dois de préciser que la société AMV m'avait donné un délai de 30 jours pour solder ma prime, et cette lettre de la SFIRC arrive avant que ce délai soit passé.
Bonjour,
J'ai survolé la discussion ( longggggggggguuue discussion), et j'ai envie de d'exprimer sur le sujet car j'ai travaillé ponctuellement dans une société de recouvrement de créance.
Déjà je suis choquée des méthodes de la société x et x fois citée. Mais c'est généraliser que de penser que toutes les sociétés agissent de cette façon. Je vous explique la procédure courante ( en tout cas où j'ai travaillé)
Une entreprise fournit les copies des factures impayés avec lettre de relance ( tout les documents prouvant le défaut de paiement). A partir de là, la procédure c'est une première mise en demeure, si il n'y a pas de réaction du supposé débiteur, une deuxième lettre de mise en demeure, ensuite on joint le débiteur par téléphone.
Si le débiteur nous explique qu'il n'est pas en accord avec la facture, on lui demande une contestation de facture écrite ou tout éléments de preuve qui va en ce sens, si celle-ci à été faite, nous contactons l'entreprise pour lui dire tout simplement = Là il y a tel preuve que Mr X a contesté votre facture sous X raisons, le seul recours que vous avez c'est l'action en justice. Mais une action en justice n'est pas envisageable si des preuves sont défavorables à l'entreprise donc nous lui déconseillons.
certains postes sont très sévères envers les sociétés de recouvrement de créance, et je pense sincèrement à tort.
c'est normal dans la mesure ou c'est justifié qu'une entreprise veuille récupérer son du. Et diaboliser ce type d'entreprise est être à coté de la réalité. La plupart de ces sociétés sont à l'amiable et donne des facilités de paiement si la personne débitrice à des revenus faibles, le but n'étant pas de mettre au tapis le débiteur.
Les méthodes du cabinet dont la plupart des personnes ont parlés dans cette discussion sont inadmissibles, utiliser des méthodes d'intimidation, harcellement, sans écouter les contestations , ça dépasse largement les limites. Si cette société créent tant de problème, pourquoi ne pas intenter une action en justice? il y a un nombre considérable de gens qui s'en plaignent!
J'ai survolé la discussion ( longggggggggguuue discussion), et j'ai envie de d'exprimer sur le sujet car j'ai travaillé ponctuellement dans une société de recouvrement de créance.
Déjà je suis choquée des méthodes de la société x et x fois citée. Mais c'est généraliser que de penser que toutes les sociétés agissent de cette façon. Je vous explique la procédure courante ( en tout cas où j'ai travaillé)
Une entreprise fournit les copies des factures impayés avec lettre de relance ( tout les documents prouvant le défaut de paiement). A partir de là, la procédure c'est une première mise en demeure, si il n'y a pas de réaction du supposé débiteur, une deuxième lettre de mise en demeure, ensuite on joint le débiteur par téléphone.
Si le débiteur nous explique qu'il n'est pas en accord avec la facture, on lui demande une contestation de facture écrite ou tout éléments de preuve qui va en ce sens, si celle-ci à été faite, nous contactons l'entreprise pour lui dire tout simplement = Là il y a tel preuve que Mr X a contesté votre facture sous X raisons, le seul recours que vous avez c'est l'action en justice. Mais une action en justice n'est pas envisageable si des preuves sont défavorables à l'entreprise donc nous lui déconseillons.
certains postes sont très sévères envers les sociétés de recouvrement de créance, et je pense sincèrement à tort.
c'est normal dans la mesure ou c'est justifié qu'une entreprise veuille récupérer son du. Et diaboliser ce type d'entreprise est être à coté de la réalité. La plupart de ces sociétés sont à l'amiable et donne des facilités de paiement si la personne débitrice à des revenus faibles, le but n'étant pas de mettre au tapis le débiteur.
Les méthodes du cabinet dont la plupart des personnes ont parlés dans cette discussion sont inadmissibles, utiliser des méthodes d'intimidation, harcellement, sans écouter les contestations , ça dépasse largement les limites. Si cette société créent tant de problème, pourquoi ne pas intenter une action en justice? il y a un nombre considérable de gens qui s'en plaignent!
A Sonia,
Vous et vos semblables oubliez des précisions d'importance sur le principe :
--> qu'à part un très modeste mandat qui vous permet de rappeler au paiement les débiteurs et de manière correcte, vous n'avez pas plus de pouvoir contraignant qu'un quidam de la rue. Alors vos mises en demeure de payer n'ont pas plus de valeur que la page des rubriques des chiens écrasés d'un journal accrochée dans certains lieux d'aisance.
--> Qu'aucune règle, pas le moindre écrit fait obligation au débiteur d'obtempérer à vos demandes et donc en conséquence ne peut donc être poursuivi par ces dites officines, malgré les menaces de bluff que certaines ne se privent pas d'utiliser, sans en mesurer les conséquences possibles,
--> Que seul le créancier principal est responsable juridique de la dette et en conséquence il lui appartient et à lui seul
de la décision de la suite à tenir sauf cas d'affacturage, pratiquement jamais effectué par les officines ( rachat de créances)
--> Que les documents et montants fournis par le créancier le sont sans contrôle d'un organisme indépendant comme un juge d'instance. En conséquence il est courant de se voir appliquer des pénalités, purement arbitraires, et pourtant strictement interdites. ce fut mon cas personnel de la part de mon ancien fournisseur d'accès qui continue son petit manège,
--> Enfin le principal et qui n'est jamais abordé par vous et collègues c'est que vous êtes une officine commerciale dont le but est la rentabilité, autrement dit en clair : faire payer à tout prix, pour assurer les salaires du personnel et peu importe l'origine honnête ou non des fonds...
Alors en conclusion vous êtes tous des grippe-sous. Je vous laisse le soin de vous attribuer le qualificatif, car en fait si vos officines n'existaient pas, le recouvrement ne s'en trouverait pas pour autant perturbé. La seule méthode c'est le bluff autant auprès des créanciers en leur laissant croire à votre pouvoir, qu' auprès des débiteurs quelque peu perturbés par des impayés et leur manque d'informations.
Les méthodes des uns et des autres ne sont par rapport à ces détails de principes que secondaires.
Vous et vos semblables oubliez des précisions d'importance sur le principe :
--> qu'à part un très modeste mandat qui vous permet de rappeler au paiement les débiteurs et de manière correcte, vous n'avez pas plus de pouvoir contraignant qu'un quidam de la rue. Alors vos mises en demeure de payer n'ont pas plus de valeur que la page des rubriques des chiens écrasés d'un journal accrochée dans certains lieux d'aisance.
--> Qu'aucune règle, pas le moindre écrit fait obligation au débiteur d'obtempérer à vos demandes et donc en conséquence ne peut donc être poursuivi par ces dites officines, malgré les menaces de bluff que certaines ne se privent pas d'utiliser, sans en mesurer les conséquences possibles,
--> Que seul le créancier principal est responsable juridique de la dette et en conséquence il lui appartient et à lui seul
de la décision de la suite à tenir sauf cas d'affacturage, pratiquement jamais effectué par les officines ( rachat de créances)
--> Que les documents et montants fournis par le créancier le sont sans contrôle d'un organisme indépendant comme un juge d'instance. En conséquence il est courant de se voir appliquer des pénalités, purement arbitraires, et pourtant strictement interdites. ce fut mon cas personnel de la part de mon ancien fournisseur d'accès qui continue son petit manège,
--> Enfin le principal et qui n'est jamais abordé par vous et collègues c'est que vous êtes une officine commerciale dont le but est la rentabilité, autrement dit en clair : faire payer à tout prix, pour assurer les salaires du personnel et peu importe l'origine honnête ou non des fonds...
Alors en conclusion vous êtes tous des grippe-sous. Je vous laisse le soin de vous attribuer le qualificatif, car en fait si vos officines n'existaient pas, le recouvrement ne s'en trouverait pas pour autant perturbé. La seule méthode c'est le bluff autant auprès des créanciers en leur laissant croire à votre pouvoir, qu' auprès des débiteurs quelque peu perturbés par des impayés et leur manque d'informations.
Les méthodes des uns et des autres ne sont par rapport à ces détails de principes que secondaires.
Les sociétés de recouvrement sont mandatées par une entreprise. l'entreprise ne fait que déléguer une tâche, la société de recouvrement n'a pas de pouvoir juridique, elle est juste par procuration celle qui va réclamer les dettes à la place de l'entreprise.
Seulement la dette en soi est une obligation et ce seul fait autorise à réclamer son exécution.
Les mises en demeure partent du fait qu'une facture à été établie et non payée, donc au nom de l'entreprise ( et non pas au nom de la loi), on réclame le paiement de la facture.
Et si les entreprises font appel aux sociétés de recouvrement de créances ce n'est pas parce qu'elles croient à un quelconque pouvoir mais parce que le temps et les personnes employés à gérer les impayés peuvent être beaucoup plus coûteux que de faire appel a qqun d'extérieur.
Seul l'entreprise décide de faire appel au pouvoir judiciaire c'est bien exact, la seule chose que fait un cabinet de recouvrement de créances c'est s'occuper de la procédure judiciaire mais en aucun cas elle a un pouvoir de décision.
C'est certain que le but est lucratif comme toute entreprise mais le recouvrement de créances est très réglementé et il ne doit pas dépasser le cadre légal, et c'est là que je ne suis pas d'accord avec " les méthodes des uns et des autres c secondaires", car c'est là justement où les dérives se font aux dépens de personnes qui ne sont pas informées sur le fonctionnement du recouvrement , ces méthodes sont primordiales et personnellement je ne suis pas d'accord avec ces dérives qui salissent la profession ( j'ai bien compris ton opinion wazzix et je sais ce que tu en penses si tu lis...). ( au cas où ça servirait, les appels téléphoniques ne peuvent pas être utilisés juridiquement).
Où j'ai travaillé, ce n'était pas des grosses boites qui nous employaient mais des petites sociétés et beaucoup se retrouve au bord de la faillite à cause de clients qui n'ont pas payés. c'est normal qu'on réclame le paiement d'une dette, Que diriez vous si après avoir travaillé un mois on ne vous payent pas?
Après sur les affaires que j'ai vu plus haut, le contentieux se situe en en amont de la demande de recouvrement. La société de recouvrement prend les éléments qu'on lui donne si ils ont la forme légale et c'est vrai que c'est là où la profession "merde" car l'entreprise peut décider de ne pas transmettre tout les éléments. Mais si il y a une contre preuve valable, le débiteur est hors d'état de cause.
Les sommes demandées correspondent aux conditions de vente écrites sur les factures, c'est à dire que les clients sont sensés savoir qu'après tel délai, tel pourcentage sera ajouté ect.
Enfin bref, je sais que mon discours ne t'auras pas convaincu, mais cette profession est utilisée à mon sens de façon différente et avec un état d'esprit différent selon les dirigeants..
cordialement
Seulement la dette en soi est une obligation et ce seul fait autorise à réclamer son exécution.
Les mises en demeure partent du fait qu'une facture à été établie et non payée, donc au nom de l'entreprise ( et non pas au nom de la loi), on réclame le paiement de la facture.
Et si les entreprises font appel aux sociétés de recouvrement de créances ce n'est pas parce qu'elles croient à un quelconque pouvoir mais parce que le temps et les personnes employés à gérer les impayés peuvent être beaucoup plus coûteux que de faire appel a qqun d'extérieur.
Seul l'entreprise décide de faire appel au pouvoir judiciaire c'est bien exact, la seule chose que fait un cabinet de recouvrement de créances c'est s'occuper de la procédure judiciaire mais en aucun cas elle a un pouvoir de décision.
C'est certain que le but est lucratif comme toute entreprise mais le recouvrement de créances est très réglementé et il ne doit pas dépasser le cadre légal, et c'est là que je ne suis pas d'accord avec " les méthodes des uns et des autres c secondaires", car c'est là justement où les dérives se font aux dépens de personnes qui ne sont pas informées sur le fonctionnement du recouvrement , ces méthodes sont primordiales et personnellement je ne suis pas d'accord avec ces dérives qui salissent la profession ( j'ai bien compris ton opinion wazzix et je sais ce que tu en penses si tu lis...). ( au cas où ça servirait, les appels téléphoniques ne peuvent pas être utilisés juridiquement).
Où j'ai travaillé, ce n'était pas des grosses boites qui nous employaient mais des petites sociétés et beaucoup se retrouve au bord de la faillite à cause de clients qui n'ont pas payés. c'est normal qu'on réclame le paiement d'une dette, Que diriez vous si après avoir travaillé un mois on ne vous payent pas?
Après sur les affaires que j'ai vu plus haut, le contentieux se situe en en amont de la demande de recouvrement. La société de recouvrement prend les éléments qu'on lui donne si ils ont la forme légale et c'est vrai que c'est là où la profession "merde" car l'entreprise peut décider de ne pas transmettre tout les éléments. Mais si il y a une contre preuve valable, le débiteur est hors d'état de cause.
Les sommes demandées correspondent aux conditions de vente écrites sur les factures, c'est à dire que les clients sont sensés savoir qu'après tel délai, tel pourcentage sera ajouté ect.
Enfin bref, je sais que mon discours ne t'auras pas convaincu, mais cette profession est utilisée à mon sens de façon différente et avec un état d'esprit différent selon les dirigeants..
cordialement
la preuve incombe à la personne en bon français le créancier d'établir le bien fondé de la créance et non au présumé débiteur
il est un peu facile de dire la sté prend les éléments qu'on lui donne!!!!alors ou est le supposé bien fondé de la créance
en cas de problèmes le mandant et le mandaitaire sont solidairement responsables
seul la justice est compétente pour établir le bien fondé de la créance ou la mauvaise foi du débiteur
cordialement
il est un peu facile de dire la sté prend les éléments qu'on lui donne!!!!alors ou est le supposé bien fondé de la créance
en cas de problèmes le mandant et le mandaitaire sont solidairement responsables
seul la justice est compétente pour établir le bien fondé de la créance ou la mauvaise foi du débiteur
cordialement
A Sonia
Vous devriez faire de la politique, vous infirmez des lieux communs, avec à l'appui des affirmations non démontrées, ce que l'on entend et lit à longueur de journée dans les médias.
Or que vous le vouliez ou non vous faites du pré-contentieux, ce qui fait doublon avec la procédure officielle qui elle aussi commence par une phase amiable avec des délais impartis beaucoup plus importants qu'une vulgaire semaine comme en décident certaines officines. Par ailleurs la procédure est contradictoire, toujours officielle, c'est l'une des garanties intangibles de la démocratie, alors que souvent les réclamations auprès des officines ne sont pas suivies d'effet, malgré les belles prestations de sermon la main sur le coeur du personnel de ces officines, coincé entre le besoin de "faire de l'argent" et un débiteur un peu retord qui risque d'aller au-delà de la simple discussion et de s'en référer à la justice. Or c'est bien de faire référence à cet arbitre, mais vous n'ignorez pas l'encombrement de cette administration et ses moyens ne répondant aux besoins, alors porter plainte pour des petites sommes réclamées à tort ont plus de chance de finir en classement vertical que dans un prétoire avec cette arrière pensée que ça n'en vaut pas la peine. Alors au simple quidam de se débrouiller avec les officines et leurs méthodes.
Ne parlez pas de cadre légal, ce qui gère l'activité c'est le décret 96/1 112 de décembre 1996 dont les quelques articles sont très succincts, le reste dépendant du code pénal : faux en écriture, usage de faux, harcèlement, fausse attribution de pouvoirs, usurpation de fonction, etc... Or une mise en demeure est comminatoire et donc est un faux de la part de ces officines. Malgré la propension au charabia franglais actuel, le français est riche de ses synonymes dont chacun se flatte d'une nuance. Donc entre une demande de paiement sous mandat et une mise en demeure, il existe une différence, car la mise en demeure laisse supposer un pouvoir contraignant qu'elles n'ont pas de la part des officines.
Le législateur qui n'est pas aveugle, n'ignore pas le problème de ces petits impayés. Si ce cas posait probléme et mettait en péril l'économie il aurait régenté la profession et élargit les pouvoirs, avec réserves comme c'est toujours le cas, à ces officines. S'il ne fait pas et laisse la situation en l'état c'est qu'il n'y pas de vraiment de périls.
Nous avions eu le témoignage d'un employé de l'une de ces officnes qui avec une faute à chaque mot avançait 6 ans de droit. Que faisait-il dans cette officine au salaire de misère car il pouvait prétendre à un doctorat de droit et une situation confortable. Officine d'origine suédoise et donc de création sous statut suédois, le méiiateur suite à ma remarque avait contesté en disant que son bureau respectait la règlementation française. Une personne qui s'arroge le droit de traiter des compromis ( voir autres sites) et qui ne sait pas faire la différence entre des statuts et l'application d'une règlementation dans une procédure, cela peut faire froid dans le dos sur le niveau de connaissance des personnes. C'est bac plus 6 ou bac moins 6. La question posée a sa réponse.
Ces officines naissent comme elles disparaissent aussi vite, mais en attendant persécutent, alors qu'elle n'en ont pas le pouvoir des personnes ignorantes de leur droit les amenant, et ce n'est pas rare au bord de la dépression. Le contentieux, voulu par le législateur, ce n'est pas cela.
Vous devriez faire de la politique, vous infirmez des lieux communs, avec à l'appui des affirmations non démontrées, ce que l'on entend et lit à longueur de journée dans les médias.
Or que vous le vouliez ou non vous faites du pré-contentieux, ce qui fait doublon avec la procédure officielle qui elle aussi commence par une phase amiable avec des délais impartis beaucoup plus importants qu'une vulgaire semaine comme en décident certaines officines. Par ailleurs la procédure est contradictoire, toujours officielle, c'est l'une des garanties intangibles de la démocratie, alors que souvent les réclamations auprès des officines ne sont pas suivies d'effet, malgré les belles prestations de sermon la main sur le coeur du personnel de ces officines, coincé entre le besoin de "faire de l'argent" et un débiteur un peu retord qui risque d'aller au-delà de la simple discussion et de s'en référer à la justice. Or c'est bien de faire référence à cet arbitre, mais vous n'ignorez pas l'encombrement de cette administration et ses moyens ne répondant aux besoins, alors porter plainte pour des petites sommes réclamées à tort ont plus de chance de finir en classement vertical que dans un prétoire avec cette arrière pensée que ça n'en vaut pas la peine. Alors au simple quidam de se débrouiller avec les officines et leurs méthodes.
Ne parlez pas de cadre légal, ce qui gère l'activité c'est le décret 96/1 112 de décembre 1996 dont les quelques articles sont très succincts, le reste dépendant du code pénal : faux en écriture, usage de faux, harcèlement, fausse attribution de pouvoirs, usurpation de fonction, etc... Or une mise en demeure est comminatoire et donc est un faux de la part de ces officines. Malgré la propension au charabia franglais actuel, le français est riche de ses synonymes dont chacun se flatte d'une nuance. Donc entre une demande de paiement sous mandat et une mise en demeure, il existe une différence, car la mise en demeure laisse supposer un pouvoir contraignant qu'elles n'ont pas de la part des officines.
Le législateur qui n'est pas aveugle, n'ignore pas le problème de ces petits impayés. Si ce cas posait probléme et mettait en péril l'économie il aurait régenté la profession et élargit les pouvoirs, avec réserves comme c'est toujours le cas, à ces officines. S'il ne fait pas et laisse la situation en l'état c'est qu'il n'y pas de vraiment de périls.
Nous avions eu le témoignage d'un employé de l'une de ces officnes qui avec une faute à chaque mot avançait 6 ans de droit. Que faisait-il dans cette officine au salaire de misère car il pouvait prétendre à un doctorat de droit et une situation confortable. Officine d'origine suédoise et donc de création sous statut suédois, le méiiateur suite à ma remarque avait contesté en disant que son bureau respectait la règlementation française. Une personne qui s'arroge le droit de traiter des compromis ( voir autres sites) et qui ne sait pas faire la différence entre des statuts et l'application d'une règlementation dans une procédure, cela peut faire froid dans le dos sur le niveau de connaissance des personnes. C'est bac plus 6 ou bac moins 6. La question posée a sa réponse.
Ces officines naissent comme elles disparaissent aussi vite, mais en attendant persécutent, alors qu'elle n'en ont pas le pouvoir des personnes ignorantes de leur droit les amenant, et ce n'est pas rare au bord de la dépression. Le contentieux, voulu par le législateur, ce n'est pas cela.
Utilisateur anonyme
6 oct. 2008 à 22:20
6 oct. 2008 à 22:20
les gens n'ont pas d'argent à perdre dans un procés
la sté de recouvrement qui vous a employé est vraiment bien quel respect vis à vis des présumés débiteurs 5(ACTORI INCUMBIT PROBATIO)CORDIALEMENT
IN HOC SIGNO VINCEs
la sté de recouvrement qui vous a employé est vraiment bien quel respect vis à vis des présumés débiteurs 5(ACTORI INCUMBIT PROBATIO)CORDIALEMENT
IN HOC SIGNO VINCEs
Bonjour,
je reviens avec mon affaire citée plus haut. J'ai donc appelé ma banque afin qu'ils stoppent ces prélèvements, ça m'en coûte 18 euros de plus !!!! Car ils ont encore prélevé ce mois-ci !!! j'ai adressé un mail à UFC que choisir leur expliquant la situation. Ils souhaitent me rencontrer mais leurs permanences ne correspondent pas à mes disponibilités !!! je vais tout de même trouver une solution pour m'y rendre car j'ai réussi à trouver les coordonnées téléphoniques de cette société de recouvrement. Je les ai appelé mais bien sûr ils ne répondent pas et malgré mes messages leur demandant de me transmettre mon dossier, je n'ai aucune réponse de leur part !!!
Voilà, je voulais juste vous tenir au courant et vous remercier encore pour vos conseils.
je reviens avec mon affaire citée plus haut. J'ai donc appelé ma banque afin qu'ils stoppent ces prélèvements, ça m'en coûte 18 euros de plus !!!! Car ils ont encore prélevé ce mois-ci !!! j'ai adressé un mail à UFC que choisir leur expliquant la situation. Ils souhaitent me rencontrer mais leurs permanences ne correspondent pas à mes disponibilités !!! je vais tout de même trouver une solution pour m'y rendre car j'ai réussi à trouver les coordonnées téléphoniques de cette société de recouvrement. Je les ai appelé mais bien sûr ils ne répondent pas et malgré mes messages leur demandant de me transmettre mon dossier, je n'ai aucune réponse de leur part !!!
Voilà, je voulais juste vous tenir au courant et vous remercier encore pour vos conseils.
BmV
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10 oct. 2008 à 19:01
10 oct. 2008 à 19:01
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Sujet très intéressant, mais topic désormais trop pléthorique pour que des "nouveaux" puissent s'y retrouver utilement.
Pour des raisons pratiques, il semble pertinent de le fermer, quitte à relancer le même sujet ailleurs.
Merci.
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Bonjour,
Je vois que vous avez fait un copier coller du texte de l'article que j'ai rédigé sur WIkipedia. Il me semble cependant plus judicieux de proposer aux lecteurs un lien direct vers cet article. Ils pourront en effet prendre connaissance de l'article dans sa totalité, c'est à dire en intégrant les liens hypertextes, les notes de bas de pages très nombreuses et très importantes, et tout ce qui fait la richesse de Wikipedia.
Voici le lien :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Recouvrement_de_cr%C3%A9ances
Cordialement
Je vois que vous avez fait un copier coller du texte de l'article que j'ai rédigé sur WIkipedia. Il me semble cependant plus judicieux de proposer aux lecteurs un lien direct vers cet article. Ils pourront en effet prendre connaissance de l'article dans sa totalité, c'est à dire en intégrant les liens hypertextes, les notes de bas de pages très nombreuses et très importantes, et tout ce qui fait la richesse de Wikipedia.
Voici le lien :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Recouvrement_de_cr%C3%A9ances
Cordialement
Utilisateur anonyme
8 sept. 2008 à 08:53
8 sept. 2008 à 08:53
Re,
"Mais ensuite, que faire? Car je pense que le sujet du recommandé sera: dette à payer dans les plus brefs délais sous peine de poursuites et bla bla bla..."
--> On ne peut dire ! C'est l'envoi en recommandé qui pose problème.. D'habitude les réclamations se font par lettre simple.
"Mais ensuite, que faire? Car je pense que le sujet du recommandé sera: dette à payer dans les plus brefs délais sous peine de poursuites et bla bla bla..."
--> On ne peut dire ! C'est l'envoi en recommandé qui pose problème.. D'habitude les réclamations se font par lettre simple.