Idées ?

Bonjour,
C'est encore moi ! Cette fois-ci, j'ai révisé assez... mais là, je sais plus comment avancer. Depuis des jours j'essaye de lire pour me creuser des idées, je sais pas, je reste bloquée. Voilà l'histoire, l'améliorée...

J'entendis l'aspirateur de ma mère. Je hurla de mécontentement.
Alexanadra ( moi ) - Mamannnnnn !!!! Ferme cet aspirateur à 100 décibels qui gâche ma grasse matinée !
Ma mère - Si t'es pas contente, fais toi même le ménage plutôt que de paresser et de laisser ta chambre en désordre comme une pouilleuse !
La fameuse réplique à ma mère. Le blabla sur mon ménage de ma chambre JAMAIS en désordre. Jamais rien ne traîne. Et c'est pas des mensonges ! C'est la vérité ! Mais ma mère paye mon satané de petit frère de 8 ans pour venir y foutre le bordel quand je suis partie. Quelques fois, je paye moi-même mon petit frère pour aller foutre le bordel de ma chambre quand je suis partie pour des jours. Ça m'amuse énormément de voir ma mère suer à grosse gouttes à ramasser ma chambre. Mais c'est ma mère qui s'amuse quand c'est moi qui ramasse. Entre mes horaires de cours et mes sorties avec mes copines, je fais le ménage bordélique. Pas cool... Mais quand c'est les jours '' Ménage complet de la maison et moi je sors avec mes copines laissant le boulot à ma mère '', ça me fait tellement rire ! Je regarde toujours ma mère effacer des taches imaginaires à travers la vitre du salon. Mais bon...
Alexanadra : Éteins moi tout de suite cet aspirateur à 100 décibels ou je te le fait avaler par force !
J'étais toujours très fâchée et de mauvaise humeur quand on me réveillait de ma grasse matinée plus tôt que prévu. Ma mère faisait exprès, chaque jour de ma grasse matinée, de prendre soin de me réveiller et ensuite sortir sa fameuse réplique qui '' tue ''. Mais aujourd'hui, je vais prendre soin de payer comme il le faut mon petit frère pour faire le bordel de ma chambre vu qu'aujourd'hui, je pars chez ma copine pendant un mois complet. Elle habite extêmement loin. Elle habite à Lavaltrie. Bon, je sais, Notre-Dame et Lavaltrie, ça prends 45 minutes pour faire l'aller et 45 autres minutes pour faire le retour, mais je m'en contre-fiche, tant et autant que je soive loin, très loin de la maison pour éviter de faire du ménage qui me tape sur les nerfs. Ce voyage me sauve la mise... À 11:00, je pris mon déjeuné, prit ma valise et sortit dehors. Le père à Emmannuelle ( ma copine ) était déjà arrivé quand je sortis dehors. Il sorta de sa voiture et, tout comme en homme galant, prit ma valise et la mit dans le coffre. Il m'ouvra ma porte et la referma avant de retourner dans la voiture. Le grondement du moteur quand on le démarrait se fit, et la petite voiture noire partit silencieusement vers l'autoroute. Tout le trajet se faisa en silence. Disons que le père à Emmannuelle était très cool et très galant. 50 minutes plus tard, on s'arrêta pour manger. Le père s'était trompé, et il fallait changer de route. On commencait à avoir faim, fait que, on s'était arrêtés pour déguster un bon dîner. Il était déjà 12:00. Après avoir finis, on se remettâme en route. Une heure plus tard, on arrivâme enfin. Emmannuelle bondit dans mes bras dès que je posa mon pied sur le trottoir, me faisant trébucher dans l'auto. Je me retrouva étalée de tout mon long sur le sol de l'auto.
Emmannuelle : Oups, je m'excuse !
Emmannuelle me releva, disant toujours des excuses.
Alexanadra : C'est bon, Emma, je te pardonne. Mais j'avoue que si j'étais à ta place, je serai crampée de rire !
On se regarda avant de pouffer de rire. J'en pleura jusqu'au larmes tellement je ria. Une douce brise fraîche se leva, mes cheveux blonds presque blancs longs jusqu'à mes fesses flottant dans cette brise rafraîchissante. Mes yeux bleus cristals brillèrent au reflet du soleil, les faisant miroiter comme si c'était de l'eau. Emmannuelle secoua ses cheveux bruns courts et, au passage, ses yeux dorés rencontrèrent le soleil, qui les fit briller. Moi et Emmannuelle étant très jolies, tous les garçons se jetaient à nos pieds. Mais, bon, passons à autre chose... Emmannuelle me montra ma chambre et me laissa à mon intimité pour défaire mes choses. Je regarda ma belle chambre acceuillante. Murs turquoises. Au fond à gauche, un bureau brun foncé où il y avait des étagères et pouvait contenir un ordinateur avec le support pour le clavier coulissant. Il y avait dans une des 5 étagères des livres avec des signets, dans une autre contenait des petits contenants pour mes crayons, stylos, etc..., la troisième contenait des cahiers pour dessiner, écrire, et tout pour prendre des notes. La quatrième et cinquième étaient vides, donc je pouvais mettre des objets personels. La chaise noire en cuir tournante était la chaise pour s'asseoir à ce bureau. Une commode se retrouvait juste à côté de la porte. Je rangea mes vêtements dans la commode avant d'installer mon ordinateur portable sur l'espace réservé. Je brancha mon ordi avant de regarder, satisfaite, le résultat. Soudain, le père à Emmannuelle débarqua dans ma chambre avec un lit aux draps blancs et à la couverture turquoise. Emmannuelle rentra en courant dans ma chambre et fonça vers moi. Elle s'arrêta brusquement devant mon visage à deux centimètres.
Emmannuelle : Et voilà ton lit ! N'est-il pas formidable et magnifique ?
J'hocha de la tête avant de sortir tranquillement de ma chambre, Emmannuelle me suivant au trot.
Emmannuelle : Veux-tu que je te fasse faire une petite visite de la maison ?
Mon amie ici présente avait déménagé à Lavaltrie, comme vous pouvez le voir. C'est la première fois que je venais et elle m'offrait une visite. J'ai tout expliqué clairement pour pas que vous prenez Emmannuelle une cinglée retardée mentalement ( même si elle l'est un peu ! ).
Alexanadra : Mais bien sûr ! Je serai en-chan-tée de visiter la maison pour ne pas me perdre !
( Moi aussi quelques fois je fais ma cinglée ! ). Emmannuelle m'empoigna durement et fermement mon poignet avant de m'entraîner au sous-sol. Au sous-sol avait sa chambre, la chambre de son petit frère et de sa petite soeur avec deux salles de bains. On remonta en haut. Elle me fit visiter le salon magnifiquement décoré. La cuisine juste à côté du salon. Le salon devant les marches pour descendre au sous-sol. Ma chambre et la chambre des maîtres était presque à côté de la cuisine, juste le mince couloir étroit les séparant de ma chambre et celle des maîtres.
Emmannuelle : Attends de voir dehors ! C'est encore plus beau !!!
Elle m'empoigna encore une fois avant de me tirer presque à terre sur le patio. Il y avait une piscine de plus de 31 d'hauteur et de profondeur avec, juste à côté, un beau patio brun noir rénové à souhait. Il y avait un cabanon un peu plus loin, avec des balançoires bleues à côté.
Emmannuelle : Tu as aimé ?
Alexanadra : J'ado-ore l'intérieur ET l'extérieur !
Emmannuelle eu un regard illuminé de joie. Oh oh... Son regard disait rien de bon.
Emmannuelle : Va mettre ton maillot, je vais te montrer un endroit fabuleux.
Je dodelina de la tête avant d'hausser des épaules et de rentrer à l'intérieur pour mettre mon maillot de bain. Pendant que je me changeais dans ma chambre, j'entendu aussi Emmannuelle rentrer pour mettre son maillot. Après avoir fini de mettre mon costume de bain, j'attendu Emmannuelle près de la piscine. Deux minutes plus tard, elle arriva.
Emmannuelle : Ferme tes yeux très forts et bouche ton nez pour... hum... voyons... Bref, fais juste bouchez ton nez et fermer très forts tes yeux.
Je sentis soudainement les mains d'Emmannuelle m'agripper mes hanches avant de me jeter à l'eau. Je cria avant de plonger sous l'eau. Je remonta ma tête à la surface pour prendre une bonne dose d'air fraîche. Je cria et cria.
Alexanadra : Tu vas le payer très cher !!!
Je sortis de l'eau avant de faire semblant de tomber à l'eau et d'empoigner fortement Emmannuelle et de la mettre à l'eau. J'entendu un plouf retentissant, montrant qu'elle était sous l'eau. Avant que je ne puisse m'aggriper à quelque chose, je tomba aussi à l'eau. Je sortis ma tête de l'eau et commenca à pouffer de rire, suivie de près par Emmannuelle. On continua tout l'après-midi à se faire des blagues pour essayer de mettre l'autre à l'eau. C'était un après-midi de rêve ! Comment pouvons-t-on rêver mieux que cela ? Après le souper, Emmannu m'amena visiter le quartier. Je vu de trop beaux garçons qu'on pourrait, peut-être, facilement s'avoir. On alla au parc et on s'y balançâme. Je vu soudain un trop, mais trop beau mec à l'autre bout du parc. Voici son apparence ; cheveux noirs avec des yeux bleu azur, une belle poitrine musclée et des vêtements pour ne pas être rejeté. Je chuchota discrètement à l'oreille d'Emmannu.
Alexanadra : He, Emmannuelle, ce beau mec, là-bas, est-il célibataire ?
Emmannuelle : Oui, heureusement ! Depuis des années je cherche à le séduire, mais personne n'arrive à accéder à son petit coeur tendre. Il a beaucoup d'amis, mais n'a jamais eu de petites copines. Comme toi, même si tu es extrêmement séduisante, beaucoup plus séduisante que moi.
Alexanadra : Es-tu une de ses amies ?
Emmannu me regarda et hocha de la tête.
Alexanadra : Très bien. Alors, présente moi le et présente moi à lui.
Emmannu soupira avant de se lever brusquement de sa balançoire et de marcher, l'air rude, vers le beau garçon. Je m'éjecta de ma balançoire avant de la rejoindre en courant. En arrivant près du beau mec, je remarqua qu'il était encore plus beau de près.
Le beau mec : Bonjour, Emmannu.
Le beau mec me regarda droit dans les yeux, l'air de chercher quelque chose dans mon âme. Je bloqua tout accès à mon âme.
Emmannuelle : Bonjour, Dylan. Je te présente mon amie de toujours, Alexanadra.
Il me regarda encore et fit un hochement de tête, comme en signe '' Je suis enchanté de te rencontrer, Alexanadra ''. Je lui renvoya son petit signe de tête avant de rester de marbre, écoutant la discussion entre Emmannu et Dylan.
Dylan : Ton amie Alexanadra à l'air très sympathique et fiable, ma chère.
Emmannuelle : Effectivement, Dyl.
Emmannu l'approuva d'un signe de tête.
Emmannuelle : Que faisais-tu dans le parc à une heure si tardive ?
Dylan : Je me promenai...
Emmannuelle : Oh ! très bien, alors. On va pas trop te déranger une minute de plus avec ta promenade, espèce de couche-tard !
Dylan renvoya sa tête par en arrière et éclata d'un rire cristallin.
Dylan : Très bien, alors. Bonne soirée, les coquines. À une autre fois.
Dylan nous fit un clin d'oeil avec un sourire radieux avant de recommencer à marcher. Après qu'il s'est suffisament éloigné, on reparla de lui. Emmannuelle me sauta presque dessus pour me demander mon avis sur lui.
Emmannuelle : Et puis ??? Comment le trouves-tu ???
Alexanadra : Sympathique, drôle, charmant, gentil, beau, mystérieux, bref, on peu de notre genre !
Emmannuelle : Ah oui ?? Tu trouves ???
Je hocha la tête avant de courir vers les toboggans.
Alexanadra : La dernière arrivée dans le parc est une poule mouillée !!!
Emmannuelle accoura vers le parc, me rattrapant de justesse. Je sauta dans le toboggan et le monta difficilement en glissant à plusieurs reprises. Enfin arrivée dans le module, je ne voya nul part Emmannuelle. Je parcoura le parc des yeux. Soudain, je sentis le module bouger, bouger, bouger. Je hurla de terreur. Le parc commencait à se détruire tellement il était vieux. Je cria des '' À l'aide ! '', mais je ne vu personne. Je sentai que déjà ma mort approchait. Le parc s'effondra, mais je sentis des bras puissants me rattraper en l'air. Je me cogna fortement ma tête sur le toboggan et tombit inconsciente. Quand je me réveilla, je me trouvais à l'hôpital. J'essaya de lever ma tête, mais un sacré mal s'imposa, me forçant à recoucher ma tête. Je grimaça de douleur en me massant l'énorme bosse sur ma tête. J'entendis quelqu'un pleurer de joie. Emmannuelle.
Emmannuelle : Tu... tu es... tu es vivante !
Elle sanglota encore quelques minutes. J'essaya de parler, mais on dirait que cela prenait tout mon énergie pour juste prononçer une parole, alors je me taisa. Je plongea mon regard dans celui d'Emmannu quand elle releva la tête.
Emmannuelle : Pourquoi ne parles-tu pas ? Tu es devenue muette ??!!
Je fis non de la tête. Mon non de tête me fit faire encore plus mal, alors je grimaça de douleur.
Emmannuelle : Ah, je comprends maintenant ! Chaque fois que tu parles ou bouges la tête, ça te fait encore plus mal !
Je lui souris, en montrant qu'elle avait effectivement raison. Je me rendormis sans m'en rendre compte. Mon autre réveil m'avait tellement reposé et fait du bien que je n'avais presque plus mal à la tête. Mais par contre, je ne vu personne à mon chevet. Quand une infirmière entra enfin pour voir si j'étais réveillée, je fû soulagée.
Alexanadra : Y a t-il de la visite pour moi ?
L'infirmière : Non, malheureusement. Pas pour l'instant. Je vois que tu n'as plus mal à la tête si tu parles et bouges.
Alexanadra : En fait, j'ai encore mal, mais pas aussi intensément.
Elle hocha la tête.
L'infirmière : Très bien. Tu auras de la visite dans quelque instant, alors, je te laisse. Au revoir.
Alexanadra : Au revoir, madame.
Je bailla et ferma les yeux, profitant du doux chant des oiseaux pépitant à l'extérieur. C'est comme si la nature me parlait. Soudain, je sentis un déplacement à l'extérieur, comme une sorte de danger. J'ouvra soudain mes yeux et, effrayée, me précipita hors du lit. Je jeta un coup d'oeil à l'extérieur et vu une personne avec du sang plein la bouche, ou plutôt un animal plein la bouche. Je hurla d'effroi avant de m'assir au sol et de me mettre en boule. Une infirmière pénétra soudain dans ma chambre, effrayée par mes hurlements. Elle me vut au sol et accoura vers moi.
L'infirmière : Que se passe-t-il mademoiselle ?!
Alexanadra : Je... j'ai... vu une... personne... manger un... oiseau... toxique.
Je bégaya ensuite des paroles incompréhensible. L'infirmière se leva et regarda dehors. Elle vut aussi la personne et hurla de surprise et de dégoût. Des médecins et des infirmiers arrivèrent et regardèrent aussi dehors après l'explication bégayante de l'infirmière. Ils le vurent aussi et déboulèrent les marches pour aller voir cette jeune personne. Ils remontèrent, l'air dépités.
Alexanadra : Vous l'avez vu ?
Le médecin Fortoot : Non... Il s'est sûrement enfui quand il nous a vu agglutinés à la fenêtre.
Un garde : On vous promets de surveiller les alentours pour pouvoir questionner cette jeune personne insolente.
Des gardes avaient vus les médecins et les infirmiers courir dans les couloirs et avaient décidés de les suivre jusqu'à dans ma chambre.
Le médecin Fortoot : Attention, messieurs les gardes, il est peut-être dangereux et armé.
Un autre garde : Ne vous inquiétez pas, Fortoot, on fera très attention.
Fortoot hocha de la tête avant de sortir, talonné par les infirmiers et les autres médecins. Les gardes restèrent dans ma chambre.
Un garde : Est-ce que vous vous sentez bien, mademoiselle ? Vous n'êtes pas trop sonnée, ou choquée ? Vous voulez qu'on reste ?
Alexanadra : Non, messieurs, vous pouvez partir. Je me sens très bien. Je suis juste bouleversée de la scène...
Le garde hocha la tête et fit un signe aux autres pour sortir. Après m'avoir regardée un moment, il sortit enfin. Je me remis au lit avant de soupirer.
Emmannuelle : C'est pas parce que tu as vu un cannibal dévoreur d'animaux toxiques que tu dois déprimer.
Je sursauta et poussa un petit couinement. Emmannuelle était rentrée et m'avait surprise.
Alexanadra : Je déprime pas, je fais juste soupirer.
Emmannu me regarda d'un oeil suspicieux.
Alexanadra : Je te jure que je déprime pas !
Elle me regarda toujours d'un oeil suspicieux. Je soupira avant de regarder droit dans les yeux Emmannu.
Alexanadra : C'est toi qui va finir par me faire faire une déprime.
Emmannuelle : Pourquoi ?
Alexanadra : Tu me décourages... avec tes phrases insensées et de ton sens '' inné '' de flairer une '' déprime ''.
Emmannuelle : Qui ça ? Moi ?
Je hocha la tête avant de soupirer de découragement. Je vu dans ses yeux qu'elle le savait que ça l'amusait de me décourager.
Emmannuelle : Oh et, j'ai oublié de te dire que tu as eue ton billet de sortie d'hôpital. Tu peux maintenant sortir. Et ne crains rien, le cannibal est parti et nous bouffera pas.
J'explosa de rire, suivie d'Emmannu. Je me leva de mon lit et Emmannuelle me tendit mon billet. Je m'habilla rapidement et nous nous rendâmes à l'acceuil pour confirmer mon billet. Nous sortâmes et nous partâmes en direction de la maison d'Emmannu ! Quand nous arrivâmes, Emmannuelle ne m'attenda pas et rentra directement dans la maison. J'allais rentrer quand je vu Dylan au coin de la rue. J'alla vers lui.
Alexanadra : Coucou Dylan !
Il se retourna et me sourit d'un air enchanteur.
Dylan : Coucou Alexanadra ! Comment ça va ?
Alexanadra : Je sors de l'hôpital... Oh et je voulais te poser une question.
Il haussa les sourcils et s'appuya contre l'arbre juste à côté de lui.
Alexanadra : Est-ce toi qui m'aie sauvée dans l'effrondrement du parc ? Il y avait juste toi qui était proche d'ici... Et Emmannuelle, je ne l'aie pas vue...
Dylan : Bien sûr que c'est moi qui t'ai rattrapée. Je te voyais et t'entendais... Alors je suis venu à ton secours. Est-ce une mauvaise chose ?
Alexanadra : Non ! Bien sûr que non ! C'est même une très bonne chose... Sinon, je serai peut-être morte à l'heure qu'il est. Je te remercie infiniment.
Après l'avoir remercié, je lui sauta au cou pour montrer encore plus ma reconnaissance de m'avoir sauvée. Il fut supris au début, mais il se laissa faire et m'enlaça ma taille. Il enfouit sa tête dans mon cou et je sentis l'haleine chaude de Dylan dans mon cou. Je frissona. Il me souleva avant de me reposer et de mettre fin au câlin.

Et bon puis voilà... Ideas ?