Recherche le texte d'un poeme: "Mon rossignol
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4 réponses
c'est un poeme extrait de ""pour dire entre homme "" datant de 1889
ecrit par Octave Pradels .
mon pere le contait souvent aprés l'avoir transcrit d'un disque en cire c'etait francoeur qui en est le recitant
la ponctuation et la diction est trés importantes pour ce texte
je decouvre seulment cette question
si l'original du texte vous tentes je peux le retranscrire ,
désolé althefrog , mais l'original comporte huit strophes de huit pieds
ecrit par Octave Pradels .
mon pere le contait souvent aprés l'avoir transcrit d'un disque en cire c'etait francoeur qui en est le recitant
la ponctuation et la diction est trés importantes pour ce texte
je decouvre seulment cette question
si l'original du texte vous tentes je peux le retranscrire ,
désolé althefrog , mais l'original comporte huit strophes de huit pieds
MON ROSSIGNOL
Je suis plein de reconnaissance
Pour mon papa, pour ma maman
Qui me firent dès ma naissance
Cadeau d'un compagnon charmant.
Son sort, digne d'envie
Nargue celui du grand Mogol.
Il m'est attaché pour la vie,
Mon rossignol.
Tout d'abord dès son jeune âge,
Il était nu, mal éveillé
Sans voix encore et sans plumage
Et semblait recroquevillé.
Mais depuis, traction d'enquête,
Quand ma main caressait son col,
Il relevait déjà la tête
Mon rossignol.
Pour lui pas besoin de bocage,
De pré vert de sentier fleuri,
Il faut d'abord le mettre en cage
Pour qu'il pousse de joyeux cris.
Oui, parfois c'en est ridicule
La peur le rend aphone et mol.
Devant les anglais il recule
Mais quand vaillamment il commence
Fier comme un vieil espagnol
Il pleure après chaque romance,
Mon rossignol.
Non, ce n'était pas une pomme,
Qu'elle tenait dans sa main
Quand Eve, grâce au premier homme,
Perpétra le genre humain
Sous l'harmonieuse ramée
Qui lui servait de parasol,
Maman Eve tenait, charmée
Mon rossignol.
Je suis plein de reconnaissance
Pour mon papa, pour ma maman
Qui me firent dès ma naissance
Cadeau d'un compagnon charmant.
Son sort, digne d'envie
Nargue celui du grand Mogol.
Il m'est attaché pour la vie,
Mon rossignol.
Tout d'abord dès son jeune âge,
Il était nu, mal éveillé
Sans voix encore et sans plumage
Et semblait recroquevillé.
Mais depuis, traction d'enquête,
Quand ma main caressait son col,
Il relevait déjà la tête
Mon rossignol.
Pour lui pas besoin de bocage,
De pré vert de sentier fleuri,
Il faut d'abord le mettre en cage
Pour qu'il pousse de joyeux cris.
Oui, parfois c'en est ridicule
La peur le rend aphone et mol.
Devant les anglais il recule
Mais quand vaillamment il commence
Fier comme un vieil espagnol
Il pleure après chaque romance,
Mon rossignol.
Non, ce n'était pas une pomme,
Qu'elle tenait dans sa main
Quand Eve, grâce au premier homme,
Perpétra le genre humain
Sous l'harmonieuse ramée
Qui lui servait de parasol,
Maman Eve tenait, charmée
Mon rossignol.
jlpjlp
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Modifié par jlpjlp le 3/05/2010 à 16:11
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