Power translator 11 pro ou Systran

Fermé
Edith - 20 déc. 2007 à 10:48
 YOUSFI - 11 mars 2010 à 15:06
Bonjour,


Je souhaite acheter un logiciel de traduction Anglais > français. 2 choix : Power Translator 11 pro et Systran. lequel est le meilleur, pour traduire des textes du Web, ou autres documents Word. Windows Vista
A voir également:

4 réponses

Bonjour Edith , je n'ai pas essayé systrant , mais par contre j'ai Power translator version 11 . Je crois qu'il sera te satisfaire même si le prix est un peu élevé . Est-ce qu'il traduit comme un huamin , non , malheureusement pas . Il faut aussi dire qu'il n'y a aucun traducteur qui sache faire la tâche avec autant de précision que les humains.


Tiens , voilà une petite traduction faite par Power translator !

Hello Edith, I didn't try systrant, but on the other hand I have Power translator version 11. I believe that him you be satisfy even though the price is a little elevated. Is what it translates like a huamin, no, unfortunately not. It is necessary to say also that there is not any translator who knows how to make the task with as much precision as the humans.

Ce logiciel fonctionne aussi très bien pour traduire des pages web . Mais attention , parfois , les pages traduite sont seulement traduites
en texte . Cela rrive très peu , mais je préfère t'en avertir .

This software also functions very well to translate some pages web. But attention, sometimes, the translated pages are only translated in text. It arrives very little, but I prefer to warn of it to you.

Dernier petit exemple , je vais traduire le texte que tu as fourni
I wish to buy a software of translation English > French. 2 choices: Power Translator 11 pro and Systran. which is the best, to translate texts of the Web, or other documents Word. Windows Vista

J'espère que cela à su répondre aux questions que tu te posais !
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Parallels Messages postés 9 Date d'inscription jeudi 29 mai 2008 Statut Membre Dernière intervention 29 mai 2008
29 mai 2008 à 12:25
En effet, Power translator, que j'utilise depuis quelques temps deja, m'as toujours comblé.
Il est largement suffisant pour toutes les utilisations que j'ais pu en avoir, de la traduction de mes devoirs d'anglais quand j'etais au lycée à la traduction complète de sites internet depuis que je suis webmaster...

Effectivement il n'est pas parfait et il est toujours préférable de repasser derriere lui, mais il permet de gagner un temps fou dans les gros travaux de traduction et à défaut d'etre irréprochable, les textes traduit sont toujours largement comprehensible...

Personnelement, c'est le meilleur que j'ais testé ...

VOila :)
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Tu seras surprise: ni Systran, ni Power Translation Pro!
Essaie plutôt Babylon 8.
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je cherche un progr de traduction.
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Ce texte est extrait du Kitâb al-‘Ibar, Discours sur l’Histoire Universelle d’Abd-ar-Rahmân Ibn Khaldoun (1332-1406), plus précisément du Livre I, La Muqaddima 1. A. Ibn Khaldoun, né à Tunis en 1332, était issu d’une famille originaire de la péninsule arabique, ayant longtemps vécu en Andalousie. Depuis l’avènement à Tunis de la dynastie hafside (1228), la famille Ibn Khaldoun a toujours été très proche du pouvoir en place. Le grand-père d’A. Ibn Khaldoun avait exercé les fonctions de Ministre des Finances et rédigé un ouvrage à l’intention des secrétaires d’État qui a, sans doute, nourri les réflexions du jeune homme. A. Ibn Khaldoun, comme il était de tradition dans les grandes familles tunisoises, a fait ses études dans la prestigieuse Université de la Zitouna où était dispensé un enseignement religieux. Le Maghreb vivait alors une période de stagnation économique et connaissait des conflits incessants, plus ou moins violents, entre les tribus et les pouvoirs centraux, entre les différentes dynasties du Maghreb. Le jeune A. Ibn Khaldoun en fut le témoin ; il avait 14 ans lorsque les conflits opposant les fils du Sultan hafside Abu Bakr pour sa succession suscitèrent l’intervention de la dynastie mérinide au pouvoir à Fès. Une fois achevées ses études, fidèle à la tradition familiale, il entra au service du Sultan hafside Abu Ishaq II ; il a alors vingt ans. Cette situation sera, en fait, provisoire, il saisira la première occasion pour quitter Tunis et rejoindre les hommes, et en premier lieu les professeurs, qu’il avait connus lors de l’intervention de la dynastie mérinide à Tunis. Dès lors, il ne va cesser de vivre dans la mouvance des différentes dynasties du Maghreb et de l’Andalousie, étant souvent au cœur de leurs conflits. Cette expérience fit naître, chez ce jeune homme curieux et cultivé, l’envie d’en savoir davantage, de mieux connaître l’histoire des sociétés, en premier lieu celles du monde musulman et du Maghreb. Mêlé souvent aux intrigues des pouvoirs maghrébins, ce qui lui a valu des périodes de disgrâce, il prit la décision de rompre avec la vie politique et de faire une véritable « retraite » pour s’adonner à la réflexion et à la lecture. Hôte de tribus du Maghreb central, il s’installa à la Qalaa-ibn-Salama 2. Critique à l’égard des travaux des meilleurs historiens du monde musulman, il nourrit le projet d’écrire une histoire universelle qui porte en premier lieu sur celle des sociétés du Machrek et du Maghreb. Mais, avant de s’engager dans le récit historique proprement dit, il s’attache, dans ce qui sera la Muqaddima, à défendre son projet et amorce une critique des travaux des historiens.
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